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19.mars.201719.3.2017 // Les Crises

Arrêt Sur Images : du grand Samuel Laurent…

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Le 10 février, Samuel Laurent, créateur du Décodex était chez Arrêt sur Images, avec Ruffin.

Je vous recommande vivement cette émission, dont voici le Best Of (avec ma réponse) :

Elle est consultable ici (vous pouvez la voir en prenant un abonnement à 1 € pour le mois, pour tester tout le site).

Annexe : vous avez ici la preuve que le 19/03, le résultat des Décodeurs sur les résultats de l’élection américaine (6 millions de voix de moins pour Clinton en 2016 que pour Obama en 2012 – alors que le total est le même) est toujours en ligne, malgré le fait qu’à plusieurs reprises cela leur a été signalé (ici, ici ou ici pour avoir les détails).

Enfin, hier, Samuel Laurent était sur France Culture, dans un débat féroce entre lui et quelqu’un encore plus d’accord que lui avec lui-même – une autre émission savoureuse :

J’ai donc demandé à la journaliste de France Culture, Caroline Broué @cbroue (qui a posé plein de très bonnes questions, vous jugerez les réponses…) si, déontologiquement, si elle comptait faire une autre émission avec 2 personnes contre le Décodex, pour équilibrer :

Si vous êtes d’accord avec ma démarche, vous pouvez appuyer celle ci en tweetant à la journaliste ce message (évidemment en restant poli et respectueux) :

@cbroue, je soutiens la demande de @OBerruyer de participer à un match « retour » avec des opposants au #Décodex

Elle a peut-être eu du mal à trouver des journalistes critiques pour intervenir, mais donner la parole aux premiers concernés pourrait bien intéresser les auditeurs, non ? Je compte sur vous – merci d’avance !

P.S. : ah, au fait, un petit détail (mais qui sera probablement complété, les fiches du week-end sont souvent mises à jour la semaine) à propos de l’intervenant Jérôme Bouvier, présenté seulement comme journaliste, fondateur de l’association « Journalisme et Citoyenneté » qui organise tous les ans les « Assises du journalisme » : il est aussi ancien Médiateur de France Inter et, a priori, toujours conseiller au cabinet de la Ministre de la Culture et de la Communication (Source) chargé de la presse et de l’éducation aux médias :

(édité)

Commentaire recommandé

Fritz // 19.03.2017 à 17h43

L’urgence, c’est les « fake news », « parce que vous avez vu ce qui s’est passé aux États-Unis, vous avez vu ce qui s’est passé en Angleterre » : oui nous avons vu, et alors ?

Voulez-vous dire, M. Laurent, que dans ces deux pays les médias ont essayé d’induire en erreur les électeurs ? Pour les détourner du Brexit, de Bernie Sanders, de Donald Trump ?

Rassurez-vous : les électeurs n’ont pas été dupes, le résultat en témoigne. Et tenez, le président de la commission du renseignement de la Chambre des Représentants vient de déclarer qu’elle n’avait trouvé « aucune preuve de collusion » entre Donald Trump et la Russie.

http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/monde/201703/19/01-5080143-aucune-preuve-de-collusion-entre-la-russie-et-lequipe-trump.php

Et une « fake news » de moins !

23 réactions et commentaires

  • Fritz // 19.03.2017 à 17h22

    Six minutes avec Samuel Laurent, c’est long…
    Le bonhomme est peut-être sympa avec ses potes, mais je retiens une chose de ses dires :
    Samuel Laurent n’est pas fiable.

    « Moi, je me permettrais pas de traiter quelqu’un de menteur »… Moi est un autre ?

    Quant à ses convictions, c’est vrai qu’elles ne sont ni très marquées ni trop affichées : ce ne sont pas des convictions personnelles, mais un air du temps conformiste et inquisitorial.

      +32

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  • damnijustfeltagain // 19.03.2017 à 17h25

    Samuel Laurent est au journalisme ce que Sarkozy a été à la politique : amener la société française un peu plus loin dans la soumission à l’idéologie neo conservatrice / ultra libérale, et ce au nom de la franchise, du pragmatisme, de la rupture avec la langue de bois.

      +28

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  • Fritz // 19.03.2017 à 17h43

    L’urgence, c’est les « fake news », « parce que vous avez vu ce qui s’est passé aux États-Unis, vous avez vu ce qui s’est passé en Angleterre » : oui nous avons vu, et alors ?

    Voulez-vous dire, M. Laurent, que dans ces deux pays les médias ont essayé d’induire en erreur les électeurs ? Pour les détourner du Brexit, de Bernie Sanders, de Donald Trump ?

    Rassurez-vous : les électeurs n’ont pas été dupes, le résultat en témoigne. Et tenez, le président de la commission du renseignement de la Chambre des Représentants vient de déclarer qu’elle n’avait trouvé « aucune preuve de collusion » entre Donald Trump et la Russie.

    http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/monde/201703/19/01-5080143-aucune-preuve-de-collusion-entre-la-russie-et-lequipe-trump.php

    Et une « fake news » de moins !

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  • Toff de Aix // 19.03.2017 à 18h45

    C’est bien connu, le journaliste ne juge pas, il informe. Il ne ment pas, il fait parfois des erreurs. Il n’est pas partisan, il est neutre. Il n’a pas de discours idéologique, il récite juste son catéchisme. Les faits on vous dit, rien que les faits.

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  • Mimolette2017 // 19.03.2017 à 18h45

    Bonjour,

    En voila un qui est rhabillé pour l’hiver si je puis dire…
    J’irais voir l’émission au complet mais de ce que j’ai entendu c’est pas très enthousiasmant.
    Le type a pas l’air méchant comme il a pas l’air de se poser beaucoup de questions, l’est pas belle la vie quand on bosse au Monde avec un salaire tout les mois avec le droit de faire quelques petites erreurs de tant à autre…
    La coolatitude comme une pensée prostituée et grimée dans un salon bourgeois.
    L’air du temps, peut-être, Olivier, j’ai quelques spécimens identiques au boulot.

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  • emm69 // 19.03.2017 à 18h47

    Difficile de dialoguer avec un adversaire de mauvaise foi :
    – Samuel Laurent à 4:07 :  » On décide pas quels autres médias sont fiables. On fait un guide.  »
    – Daniel Schneidermann :  » Si !  »
    – SL à 4:10 :  » Non, on dit selon nous ce média-là il est pas fiable.  »

    Ceci dit, SL a parfaitement raison de distinguer mentir et rapporter une contre-vérité sans savoir qu’elle est fausse (même si cette négligence n’est guère louable). Problème : son message du 14 juin 2013 ( » rapporter une information fausse, ça s’appelle mentir « ) est contradictoire.

    Les messages rassemblés par OB à partir de 4:55 au sujet de  » mentir  » ne sont pas convaincants si l’on admet que SL a dit implicitement à 4:42 que s’il sait que la personne qu’il accuse de mentir ment réellement, alors il se permet d’employer le verbe mentir (il a fait nettement oui de la tête). Il aurait dû le dire explicitement (il faudra lui poser la question pour lever le doute).

      +12

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  • Marvinik // 19.03.2017 à 20h14

    Il y avait eu une autre émission sur le fact-checking sur France Culture, dans le Grain à moudre (émission souvent intéressante, que je conseille!). Et c’était mieux (même si elle ne nous satisfera pas, nous lecteurs de ce blog).

    https://www.franceculture.fr/emissions/du-grain-moudre/qui-confier-la-verification-de-linfo

    (C’était le 27/02/2017)

      +2

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  • Yanka // 19.03.2017 à 20h25

    Le pire, le plus effrayant, est que ce Samuel Laurent ne voit pas où est le problème, ne comprend pas ce qu’on lui reproche. C’est un censeur et un inquisiteur sincère. « Puisque j’ai raison, vous avez tort. » Il est tout pénétré de sa propre idéologie, au point de ne pas la soupçonner dans son chef. S’il était cynique, je dirais : c’est un calcul, un moyen, une méthode. Mais il n’est pas cynique, il est convaincu de sa bonne foi. Comme un imbécile heureux. Ou comme un de ces types des années 40, bons pères de famille pourtant, bons citoyens, qui traitaient certaines catégories d’humains comme nous traitons aujourd’hui les rats et ne voyaient pas non plus en quoi c’était mal. Je n’exagère pas : c’est le même état d’esprit, c’est l’essence même du totalitarisme. Un totalitarisme souriant et cool, à la barbe naissante. C’est exactement cet état d’esprit qui a pu inciter Pierre Bergé (17 mars 2013), lors de La Manif Pour Tous, à retweeter ceci : « Vous me direz, si une bombe explose le 24 mars sur les Champs à cause de la Manif pour tous, c’est pas moi qui vais pleurer. »

      +49

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    • Caton l’Ancien // 20.03.2017 à 19h10

      Il se dit que « Any sufficiently advanced incompetence is indistinguishable from malice ». Pour ma part, je pense que savoir si Samuel Laurent croit les bêtises qu’il raconte est sans intérêt :

      I) Si je jette un caillou, le caillou n’a pas l’intention de tomber. Il tombe pourtant.
      Un chien qui pisse sait-il qu’il marque son territoire ? Peu importe, l’effet est le même. SL croit-il à ses mensonges ? Peu importe, il les propagera tant qu’il ne s’y cassera pas les dents.

      II) Se poser la question revient à valider ce que l’on appelle « strategic stupidity » : refuser de réfléchir pour pouvoir défendre l’indéfendable. SL voit-il la contradiction entre, d’une part, dénigrer Ruffin parce que, même si on ne peut pas lui attribuer un mensonge, c’est un militant et, d’autre part, épargner Leparmentier parce que, même si c’est un militant, on ne peut pas lui attribuer de mensonges ? Peu importe : s’il ne la voit pas, il se comportera comme le ferait un menteur ie il niera jusqu’au bout du bout.

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  • Long Jone Silver // 19.03.2017 à 22h05

    Hello,
    Plusieurs constats:
    1) Si le réseau mondiale de Decodex voit le jour, la masse des gens n’aura plus qu’une pensée unique. Il y aura les rebelles cachés sur le net. (Je veux être pilote de X-Wing au cas ou)
    2) On peut voire que les élites du monde on peur. Des gens de plus en plus nombreux se détachent de cette civilisation mourante et cherchent autre chose comme source d’information.
    3) L’appareil d’état comme le privé est utilisé contre les citoyens plus ouvertement. Cela devient un état policier.
    Donc continuons la lutte. Plus de gens informées = plus de liberté.
    Le prix de la liberté est une vigilance de tout instant pour pouvoir contre attaquer à n’importe quel moment.

      +12

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  • theuric // 19.03.2017 à 22h14

    Il est difficile de s’extraire de la narrative du groupe professionnel dans lequel on travail et où l’on est reconnu en tant qu’humain, d’autant plus quand on occupe un poste de responsabilité.
    Naturellement, ceux qui doutent sont écartés automatiquement par cette collectivité.
    J’appelle cette narrative collective une structure de socialité.
    Si cette structure de socialité fut, par le passé, soutenu par un discours collectif (que je nomme une composition de sens), il n’en aura que plus de poids.
    Mais si l’époque est au renversement des tendances des discours populaires, la confrontation entre la narrative et le nouveau discours deviendra flagrant puisqu’il y aura discordance entre les deux.
    Lentement, le nombre de ceux qui partagent cette narrative diminuera puis cette dernière ne sera plus, à la fin, que partagée par une minorité.
    Mais en attendant, celle-ci accentuera la vision du monde qui la soutient jusqu’à l’absurde, en tentant d’ostraciser le ou les discours concurrents, c’est là que survient la censure.

      +11

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  • VAZY Francky // 20.03.2017 à 00h26

    Je rappellerais seulement à Monsieur Samuel Laurent que la charte de Munich, c’est pas pour les chiens qu’on l’a mise en œuvre, mais bien pour préserver l’indépendance de la presse et la qualité de l’information. Mais bon, si ce type à envie de tuer son propre travail et sa profession, ça le regarde finalement. A la fin, on se passera de ses services, puisque plus personne ne l’écoutera, et il ira gentiment pointer au chômage en se demandant s’il n’aurait pas été vraiment trop bête pour croire que nous étions des ânes serviles et crédules…

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    • Vladimir K // 20.03.2017 à 21h04

      On est au delà de la charte de Munich. Je ne suis pas journaliste, je n’ai donc pas à suivre la charte de Munich, ou la Charte d’éthique professionnelle des journalistes [français], cela étant, ce n’est pas pour cela que je pourrais me permettre l’attitude que prend Samuel-Laurent.

      Le double-discours n’est jamais une bonne chose, dans le journalisme, ou ailleurs. Le mensonge n’est jamais une bonne chose, en journalisme ou ailleurs. La délation et/ou la diffamation ne sont jamais une bonne chose, en journalisme ou ailleurs.

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  • Speedeo // 20.03.2017 à 00h50

    La mauvaise foi elevee a ce niveau la c est de l art…

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    • Hellebora // 20.03.2017 à 03h27

      @Spedeo : Du lard ou du cochon ? Fake ou pas fake, là n’est pas la question finalement. En attendant, Le Monde (rappel : « groupe détenu depuis 2010 à 64 % par la société Le Monde libre, elle-même propriété des hommes d’affaires Xavier Niel, Pierre Bergé et Matthieu Pigasse, ainsi que par le groupe de presse espagnol Prisa. Comme de nombreux titres de la presse écrite, il bénéficie de subventions de la part de l’État français. » –> ça, ça ne passe décidément plus !) essaie de se racheter une pseudo virginité en déclarant la main sur le cœur « Notre fonction est de raconter, décrypter la complexité du monde. » https://www.franceinter.fr/emissions/l-interview/l-interview-18-mars-2017

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  • Kiwixar // 20.03.2017 à 03h27

    Ces débats entre un apparatchik et un type qui est encore plus d’accord que lui, ça rappelle quand même l’URSS. Avec cette vieille blague : Quel est le comble du bonheur? Etre réveillé à 3h du matin par le Decodex qui toque à la porte. « C’est ici, Berruyerovitch? » et de pouvoir répondre « Non, c’est l’étage au-dessus ».

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  • Dorian // 20.03.2017 à 09h20

    Il y a une contradiction dans le discours de ce M. Laurent.
    À 1:16 il affirme : « L’urgence, c’est les « fake news ». Mais à 2:18 il dit : « C’est le problème de ce terme « fake news » et de sa polysémie extrême qui ne veut rien dire. » Si ce terme ne veut rien dire, alors il ne faut pas l’employer, sinon c’est comme si on ne disait rien. Or il se trouve que ce gars a toujours ce mot « qui ne veut rien dire » à la bouche (ou dans ses tweets). Autrement dit, il reconnaît sans même s’en rendre compte qu’il dit n’importe quoi.

      +7

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  • Franzy // 20.03.2017 à 10h35

    * Il utilise le mot « fake news » mais quand Schneidermann fait de même il se plaint qu’il utilise un mot aussi ambigu par son « extrême polysémie » .
    Il se sert á dessein d’un mot qu’il trouve inutilisable par son ambiguité ou il raconte n’importe quoi?

    * Il semble convaincu de l’identité entre « fake news » et « militant »., on dirait qu’il n’y a même pas de malice. Et ça explique ses appréciations incompréhensibles.

    * – Nous on fait pas l’info en consultant RT hein, on a des envoyés spéciaux.
    – ah bon? Vous avez un envoyé spécial en Syrie?
    – Oui oui.. euh enfin non on en a un qui regarde la tv syrienne depuis le Liban.

      +6

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  • Mircher // 20.03.2017 à 11h31

    Ils ont déjà perdu en réalité.
    Bien que ce soit pour l’heure désagréable pour O.B.

      +4

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  • LeFredLe // 20.03.2017 à 19h43

    C’est absolument pitoyable et ceci illustre une malhonnêteté intellectuelle flagrante.
    Quelle urgence à propos des élections?
    Quelle urgence?

    Urgence d’assurer la pérennité de quelque chose au détriment de ce que la majorité des gens (sans-dents) vivent?

    Dans l’intérêt de qui ou de quoi?

    C’est de la servitude.

    Inconsciente ou motivée.

    Dans tous les cas, c’est petit et mesquin

    Courage à vous O.B et à ce blog d’utilité publique, grâce à vous l’intelligence progresse.

    Et nous en avons grandement besoin.

    En attendant la virtuelle comptabilisation du vote blanc en France, nous devrons nous reporter sur un ou une candidat(e).

    Que chacun agisse en son âme et conscience mais surtout dans l’intérêt du plus grand nombre.

    Les « cas particuliers » ont déjà tout l’appareil nécessaire.

      +5

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  • RGT // 20.03.2017 à 20h03

    Je ne connaissais pas Samuel de Torquelaurent mais désormais je sais à quoi m’en tenir.

    A mon avis il serait prêt à mettre sa propre mère sur le bûcher si d’aventure il pouvait en retirer un quelconque avantage.

    Il fait partie de ces « zozos » qui prétendent être « investis » par la « Pensée Ultime » et, lorsqu’on leur pose une question précise noient le poisson en se lançant dans des grandes envolées lyriques auto-référencées.

    J’en ai connu des tas comme lui. Ils sont très nuisibles et peuvent convaincre certaines personnes peu informées de prendre des vessies pour des lanternes.

    Ce qu’il ne réalise pas, c’est qu’il fait partie des « consommables jetables » dont se servent leurs employeurs pour atteindre leurs objectifs.
    Et lorsqu’ils n’ont plus besoin d’eux (ou qu’ils se font démasquer) ils les jettent comme des vieilles serpillières usagées.

    Entre temps ils auront pu exercer leur pouvoir de nuisance et ceux qui en bénéficient resteront totalement « innocents » de ces manipulations faites « à l’insu de leur plein gré ».
    Les cas ne manquent pas, hélas.

    Par conte je ne plains jamais ces « pauvres victimes » quand elles viennent s’écraser sur le trottoir après une chute de 120 étages. Ils savent TOUJOURS ce qu’ils font et le font par simple cupidité.

      +7

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  • moshedayan // 22.03.2017 à 17h11

    Merci d’avoir rappelé cette émission arretsurimages. je l’ai vu et j’ai tout compris
    sur la démarche des « Décodeurs » égal à 0 si on est gentil mais moi
    je dis égal à la malhonnêteté totale par tartufferie.
    Donc 0 sur 20 à l’examen de sortie d’une école de journalisme.
    Et Ruffin au moins 18-19 sur 20.
    Mais lui certains dans les médias « mainstream » ne l’aiment pas du tout.

      +1

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