Les Crises Les Crises
5.juillet.20125.7.2012 // par Olivier Berruyer

[Intervention média] BFM Business, Les Experts – 4 juillet

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Nicolas Doze m’a invité à son émission Les Experts le 4 juillet à 9h00, sur BFM Business (la radio filmée, pas BFM TV).

Voici la vidéo (non montée pour une fois…) :


N’hésitez pas à réagir en direct par mail sur cette émission via ce lien – Nicolas Doze consulte bien les mails en direct, et est très demandeur 😉 :

http://www.bfmbusiness.com/programmes-replay/emission/les-experts

(cliquez sur Contacter l’émission sous le logo)

58 réactions et commentaires

  • Vénus-Etoile du Berger // 05.07.2012 à 07h31

    Question : ils abordent des « vraies classes moyennes ».
    Comment définit-on « la vraie classe moyenne » ?

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  • Vénus-Etoile du Berger // 05.07.2012 à 07h56

    La croissance des pays émergents, j’alerte attention à la rechute derrière qui n’est pas du tout anticipée, cette croissance sert de levier financier actuellement pour compenser, cependant cela ne durera pas et rien n’est prévu pour et la pondération est forte.

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  • Vénus-Etoile du Berger // 05.07.2012 à 08h17

    Concernant votre remarque sur les footballeurs, je ne suis pas en adéquation avec vous.
    Peu de footballeur au final ont des rémunérations importantes.
    Et une carrière de footballeur est courte. De plus, lorsqu’ils se blessent on les met vite au placard et la reconversation derrière est dure surtout s’ils n’ont pas misé sur les études ou bien une autre garantie en parallèle.
    La télé ne montre que la vitrine de ce sport mais pas la globalité de la réalité.
    C’est plutôt ceux qui s’occupent de leur carrière courte qui sont correctement bien rémunérés. 

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    • Brice Goe // 05.07.2012 à 10h31

      C’est vrai que la carrière d’un footballeur s’arrête, dans le meilleur des cas, à 35 ans. Mais le but n’est quand même pas de s’arrêter de travailler à 35 ans ! Un footballeur doit reprendre le travail après sa carrière footballistique s’il veut manger, ça ne me choque pas. D’ailleurs, c’est désormais vrai pour tout le monde : Qui peut encore aujourd’hui prétendre qu’il fera le même métier toute sa vie ?
      Et puis, le football d’aujourd’hui draine quand même beaucoup plus d’argent qu’il y a 50 ans. C’était beaucoup plus dur pour les générations Kopa et même Platini. Et c’était bien plus beau !

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    • Christophe Vieren // 05.07.2012 à 13h47

      M’enfin Brice, Gourcuff jouent 10 fois mieux que Zidane qui joue 10 fois mieux que Platini. C’est pour cela qu’il faut qu’il gagne beaucoup 😉  :
      En 1977 Michel Platini , à l’âge de 22 ans, percevait 6000 Francs par mois et au même âge en 1994 Zinédine Zidane gagnait 15 000 euros avec Bordeaux. Aujourd’hui, toujours à 22 ans le jeune Yoann Gourcuff, encaisse 175 000 euros par mois.
      Extrait de : Les footballeurs ne connaissent pas la crise
      Même en Euros constant, le gap est important
      Maintenant si c’est 100% d’argent privé (y compris la location des stades à leur juste prix) cela ne me gène pas . . . tant que l’impôt est suffisamment progressif jusqu’à des taux de 90% ou plus (comme à l’époque de Roosevelt, aux USA mais aussi dans nombre de pays de l’OCDE).

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    • Vénus-Etoile du Berger // 19.07.2012 à 08h05

      Bonjour,
      Peu de joueur sont rémunérés de façon considérable. 
      A lire sudouest le 19 juillet
       Ibrahimovic crève le plafond du foot français.
      Sa rémunération devrait rapporter des millions d’euros à l’Etat.
      http://www.sudouest.fr/2012/07/19/ibrahimovic-creve-le-plafond-du-foot-francais-773694-5137.php
      http://www.sudouest.fr/2012/07/18/sous-le-soleil-de-zlatan-772422-8.php
      « Une logique économique derrière tout ça »  d’après un économiste du sudouest(article non disponible sur internet, je l’ai sur papier)
      Je fais un tout petit résumé de l’article avec mes mots :
      Cela peut choquer un citoyen cependant en tant qu’économiste c’est différent.
      Ce ne sont pas forcément les joueurs les plus chers qui coûtent le plus cher.
      On associe la marque au personnage.
      Le propriétaire du PSG est dans une logique de marketing d’Etat, il utilise le média sport.
      La ligue 1 va ainsi renforcer sa compétitivité économique et sportive.
      Les clubs français pourront bénéficier de nouveaux stades pour l’Euro2016.
      Le psg va peut être permettre à la France de traverser ces 4 années.

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  • Vénus-Etoile du Berger // 05.07.2012 à 08h34

    Manchester United est rentré en bourse cette nuit pour se désendetter…
    http://www.latribune.fr/bourse/actualite/20120704trib000707273/manchester-united-jouera-son-entree-en-bourse-a-wall-street.html
    Le prochain club sera lequel ?

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    • step // 05.07.2012 à 11h32

      la bourse ne désendette pas, elle troque des dettes bancaires contre des dettes actionnariales. Cela est par contre probablement le symptome que les banques ne veulent plus préter à ces clubs de foot surendettés.

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  • A-J Holbecq // 05.07.2012 à 09h32

    Le football ? « Des Rmistes qui payent (cher) pour voir des millionnaires taper dans un ballon… » (je crois que c’est de Zemour)

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    • Vénus-Etoile du Berger // 05.07.2012 à 09h41

      Au final ils sont combien de millionnaires lorsqu’on regarde le nombre de licenciés au foot,Ils sont combien à réussir ?
      Des rmistes ? toute la population regarde le foot et pas besoin de se déplacer dans un stade forcément

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      • step // 05.07.2012 à 11h35

        Les réformes d’imposition ne doit concerner que les 1% qui réussissent. le problème économique est que nous avons une imposition quasi-linéaire pour une répartition de la richesse en exponentielle. Le problème éthique est que nous avons une « noblesse » footballisque de plus en plus riche et une population de plus en plus pauvre. A l’époque de la révolution il y avait aussi plein de nobles désargentés, cela n’a pas évité l’explosion sociale.

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  • BA // 05.07.2012 à 09h37

    Mercredi 4 juillet 2012 :
     
    Le ministère allemand des Finances a annoncé mercredi que le déficit public du pays serait vraisemblablement d’environ 0,5% cette année, moitié moins qu’une précédente prévision de 1%.
     
    En revanche la dette publique allemande va continuer à dépasser largement le plafond fixé par Bruxelles : elle devrait s’établir à 83,5% du PIB cette année, pronostique le ministère, contre 81,2% en 2011. La limite européenne est fixée à 60%.
     
    http://www.romandie.com/news/n/_L_Allemagne_abaisse_sa_prevision_de_deficit_public_a_05_pour_201237040720121708.asp
     
    Vous avez bien lu : la dette publique de l’Allemagne sera de 83,5 % du PIB fin 2012.
     
    Et la dette publique de la France ?
     
    « La Cour des comptes lance une alerte : la dette publique devrait dépasser 90 % du PIB fin 2012 (pour mémoire, elle était de 64 % fin 2007). La dette publique imputable aux programmes d’aide aux pays en difficulté (prêts bilatéraux ou par l’intermédiaire du FESF) devrait s’élever à 50,2 milliards fin 2012, contre 14,5 milliards fin 2011 – soit une hausse de 1,8 point de PIB. »
     
    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/07/02/20002-20120702ARTFIG00615-la-dette-depassera-90-du-pib-fin-2012.php
     
    Conclusion :
     
    Portugal, Irlande, Italie, Grèce, Espagne, Chypre, Slovénie : ces sept Etats européens sont en train de faire naufrage.
     
    Ces sept Etats entraînent les autres Etats européens vers le fond de l’océan.
     
    Le naufrage du Titanic continue.

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    • jean sur // 05.07.2012 à 10h31

      Le Figaro cite les pages 106 et 107 du rapport de la Cour des Comptes ( consultable sur le site www.ccomptes.fr 
      Merci de relever ces chiffres qui sont l’objet d’une véritable  omerta du monde médiatique et politique ( pas une ligne et pas un mot à ce sujet ni dans Les Echos ni dans le Monde., ni dans les innombrables débats sur la « dette insoutenable, écrasante » etc..)
      Bravo l’indépendance vis-à-vis du « monde de la finance sans visage »!
       Les mêmes qui hurlent à la mort à Paris toute le semaine avec des mines mortifiées  (« la dette, la dette, la dette ») se précipitent  le week-end à Bruxelles pour y engloutir l’argent des contribuables dans des bacchanales financières et  orgiaques au nom de « sauver l’euro ».

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    • Julian // 05.07.2012 à 13h32

      BA, les données que vous apportez et votre commentaire sont fondamentaux. Merci.
      ( hélas le Titanic coule bien) 

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      • Patrick Luder // 05.07.2012 à 13h56

          
        « ( hélas le Titanic coule bien)  »
          
        Mais non, ce n’est pas si grave, une petite remise à zéro de toutes les dettes ferait un bien énorme à l’humanité (la partie humaine et qui est en nous) et à tout ce petit monde de la finance …
            

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  • amorgos // 05.07.2012 à 09h39

    Assurément, le patron de BVA Opinion, invité par Nicolas Doze, a sa carte du PS dans la poche … un autre faiseur d’opinion.

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  • amorgos // 05.07.2012 à 10h02

    Olivier Berruyer, un grand MERCI pour votre intervention sur BFM, pragmatique, clair et sans langue de bois. Votre ton est juste dans l’analyse comme sur la forme. 

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  • Brice Goe // 05.07.2012 à 10h42

    A propos de fiscalité, puisqu’il a été question de la TVA et de savoir s’il s’agissait d’un impôt juste :
     
    Je pense que l’impôt le plus juste qui ait existé dans l’histoire de la fiscalité française a été supprimé par les socialistes (un comble !?) sous Jospin. Il s’agissait de la vignette auto.
     
    A l’heure de trouver de l’argent, il serait à mon avis de bon aloi de la rétablir. Bon évidemment, le lobby automobile criera au scandale en disant qu’on tuerait le marché et que les plans sociaux s’accumuleraient. Mais de toute façon, il me semble que les emplois sont déjà en train de filer à grand vitesse à l’étranger.

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    • Christophe Vieren // 05.07.2012 à 13h57

      Je confirme : c’est Fabius qui a supprimé la vignette auto, en 2000, pourtant très progressive et donc sociale et écologique (au passage cela a décidé mon paternel de s’acheter la Jaquar dont il révait !).
      Et concernant l’automobile, la France est le pays le plus diesélisé d’Europe (et probablement du Monde) avec un taux de 73,3% (dernier les pays bas : 28,1%) grâce à une taxation favorable au gasoil par rapport à l’essence. Et pourtant, l’OMS a confirmé que le diesel diffuse dans l’environnement de particules cancérigènes dont certaines ne sont pas filtrés par le FAP (filtre à particule) qui devrait équipé à l’avenir tous les modèles.
       
       

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      • Brice Goe // 05.07.2012 à 14h32

        Oui et en plus le bonus écologique (désormais interrompu) favorisait davantage les véhicules diesel que ceux à essence.
        Moins de gaz à effet de serre mais plus de particules toxiques.
        Entre peste et le choléra …

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  • Grégory // 05.07.2012 à 10h50

    C’est vraiment dommage que ce ne soit pas monté, je ne peux pas aussi facilement la puber, or c’est une de vos meilleures, à mon avis. L’enchainement « l’exemple Alsacien », « les n°2 à dix fois moins chers » « les dettes ne sont jamais remboursées » vaut son pesant de cacahouetes. Des choses pas nouvelles mais jamais aussi bien posées, il me semble.
    Bravo, merci, encore !

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  • yoananda // 05.07.2012 à 12h00

    Bon c’est très bien tout ça, mais ça me laisse un arrière goût de tête dans le guidon.
    La dette, la dette, la dette …
    La dette c’est notre monnaie principale aujourd’hui ! Encore heureux qu’on ne la rembourse pas.
    Cependant, ce n’est pas la monnaie qui fait tourner l’économie, c’est juste un vecteur d’échange comme un autre. C’est l’énergie.
    Et jamais je n’entends parler, au moins évoquer le pic pétrolier ! Sans pétrole, pas de croissance. Sans croissance, la dette se dévalue, ainsi que les actifs. On peut mettre toutes les solutions politiques et monétaire et fiscales sur le tapis… si l’énergie se fait rare, si le pétrole décline (ce qui est un fait avéré) on n’a plus de quoi faire tourner l’économie, et d’ici peu, nourrir les populations.
    Le problème de la dette Européenne, vu sous cet angle n’est que l’écume de la vague !

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    • Christophe Vieren // 05.07.2012 à 14h07

      sans vouloir chipoter : le prix du pétrole n’empêche pas, théoriquement, la croissance. Il la contrarie lorsque son prix monte trop vite par rapport aux gains de productivité (robotisation, diminuiont de l’intensité énergétique, ….). Ce qui n’est pas loin d’être le cas depuis 2007.

      Pour l’instant, sa rareté n’a pas conduit à la pénurie. En outre, gaz et charbon et pétrole non conventionnels sont encore en quantité abondantes
      Et c’est là le gros problème c’est la pollution et le changement climatique généré pas ces consommations d’hydrocarbures, sans cesse croissante (les BRICS, entre autre, en consomme de plus en plus. Seul le pétrole conventionnel stagne mondialement).
      Ca vaut ce que ça vaut mais cette étude universitaire parue dans Nature, n’est pas rassurante : Une étude prédit un effondrement planétaire irréversible imminent
       
       
       

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      • yoananda // 06.07.2012 à 00h02

        Tout a fait. Le prix montent, ce qui stimule l’investissement, et donc la production qui fait baisser les prix …
        Mais cette logique « de marché » a une limite : la géologie (ou EROEI). Cette logique de marché est a l’œuvre depuis 1979,, date du pic pétrolier onshore. Depuis 2005 c’est le pic pétrolier conventionnel. La logique s’essouffle et la loi des rendements décroissants s’applique. Maintenant il reste du pétrole sale et difficile d’accès.
        Bien sûr, l’histoire du pic pétrolier n’est pas si simple, il faut expliquer le lien pétrole / PIB, le lien pétrole avec gaz/charbon, il faut expliquer comment et pourquoi des sociétés s’effondrent (cf travaux de Jared Diamond), il faut ensuite montrer aussi que c’est une chose qui est déjà arrivée (un effondrement suite l’atteinte de la limite d’une filière technologique). Il faut examiner les autres alternatives non carbonées (nano technologies, thorium, hydrogène, etc…)
        Ensuite il faut regarder le « timing », et la géopolitique et les progrès techniques (jusqu’en 2008 l’intensité énergétique a diminuée en moyenne de 1%).
        Une fois qu’on a fait tout ce travail (que j’ai détaillé sur mon blog … je ne le mentionne pas pour faire de la pub, mais parce que ce serait trop long de tout reprendre) alors on peut affirmer (ou pas) l’imminence du pic pétrolier et surtout de ses conséquences.
        Et malheureusement, tout indique que le pic est la, a l’échelle de la planète bien sur, ça se compte sur plusieurs années. Le pic durera entre 10 et 20 ans, a commencer de 2005. L’APSO prévoit le pic liquide d’ici 2013/2015. Je pense qu’avec le gaz de schiste on va peut-être repousser jusqu’en 2017, mais je doute qu’on aille au delà.
        Vu la politique actuelle, toujours fondée sur la dette et la croissance, je ne pense pas qu’on va beaucoup améliorer notre efficacité énergétique. On a pour 1200 milliard de $ d’infrastructure pétrolière. On ne va pas pouvoir transitionner facilement, d’autant plus qu’il aurait fallu commencer il y a 30. L’exemple de l’Autriche est éloquent. Démarré en 1978 (la bonne date) elle en est a 30% de renouvelable et prévoit le 100% pour 2050 (bon, sauf que d’ici la il y aura quelques remous, mais ca donne un ordre d’idée).
        En 2050 il n’y aura plus une goutte de pétrole, et nous n’avons même pas vraiment commencé de vrais changements.
        Et tout cela, c’est sans compter les effets du réchauffement et de la dégradation avancée de la biosphère.
        Et en plus, il faut rajouter la propagande anti peak oil qui vient nous dire « tout va bien, dormez bien, et continuer d’acheter des gros 4×4 » tout ça parce que il y aurait pour 100 pseudo années de gaz de schiste (pure propagande). Ce qui fait qu’aucun véritable effort ne sera fait. Sachant qu’en plus avec la crise les investisseurs vont devenir plus prudent et exigeants … et le renouvelable avec ses rendements minables n’est pas prêt de décoller ni aucune autre solution d’ailleurs.
        C’est pour cela que j’essaye d’attirer l’attention sur ce sujet. Je sais qu’il y a des tas d’autres sujets de préoccupation mais tandis qu’on s’inquiète de la dette, du cirque politique, de l’austérité, on oublie qu’on risque beaucoup plus gros que quelques turbulences financières. C’est la survie de la société qui est en jeu, et celle de beaucoup de monde accessoirement. 
        Bien entendu, je suis prêt à prouver tout ce que j’énonce. Je fais des conférences sur le sujet (modestement).

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        • Christophe Vieren // 06.07.2012 à 18h12

          @Yoananda :  pour moi aucun besoin de démonstration, c’est tellement évident. La « crise » (pour ne pas dire la présumée crise) des dettes publiques, qu’il faudrait au plus vite traduire en défaut de paiement, ne fait que nous faire oublier l’urgence écologique ! En France 50 milliards d’euros sont consacrés annuellement au soutien à des activités particulièrement nuisibles pour l’environnement (énergie fossile, ….) soutiens qu’il est plus que temps de commencer à réduire. Et on racle des fonds de tiroir pour trouver 7 petits malheureux milliards.

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          • Patrick Luder // 06.07.2012 à 20h00

            Exactement et quand vous devrez démonter vos centralers nucléairees (dans 20 ans ? ) vus serz obligé de la faire à mains nues … par manque de moyens …

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    • Patrick Luder // 05.07.2012 à 14h54

      [Modéré : je ne fais pas de pub pour ce genre de manipulation des pétroliers… 😉 ]

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      • yoananda // 05.07.2012 à 15h40

        Ce n’est pas parce qu’on est en phase descendante du plateau ondulé que ça change quoi que ce soit au pic pétrolier.
        Les cornucopiens se contentent généralement de vagues idées et ne connaissent rien a l’industrie, l’investissement, la géologie, etc…
        Le gaz de schiste et autres « nouveautés » ne feront au mieux que décaler le pic de quelques années, 5 peut-être …
        J’ai déjà analysé et décortiqué tout ça sur mon blog, donc oui, pour moi c’est « acquis », sauf véritable nouveauté sur le sujet.

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      • Patrick Luder // 06.07.2012 à 06h32

        C’était dans un esprit critique, les journeaux ont déjà repris ces propos, il me semblait important de le signaler. La première phrase est sasn équivoque « Suite à la chute des cours du baril de fin juin, les antis Peak oil sortent de nombreux articles dans les médias, comme si une baisse des cours signifie un regain de production. »

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    • Gauthier // 05.07.2012 à 16h19

      Le sujet est énormément débattu dans le monde anglo-saxon (c’est un des thèmes importants de la campagne américaine).

      On en parle effectivement très peu en France ce qui est dommage car les conséquences économiques, sociales et géo politiques sont assez considérables.  

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  • jean sur // 05.07.2012 à 13h36

    désolé pour la vilaine faute de calcul dans ma réponse ci-dessus:
    50,2 Mds + 22Mds =72,2Mds ( et non pas 62,2Mds)
    Ces chiffres donnent le tournis…

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  • reset // 05.07.2012 à 15h08

    l’Allemagne vie sur le dos des pays du sud, faut pas pousser au delà de la mauvais idée de l’euro fort contre le mark certes très fort pour l’Allemagne, les cout de la vie en allemagne n’est pas le même que celui des rentiers du sud.

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  • lau // 05.07.2012 à 16h08

    Olivier,
    qu’alez-vous faire sur une radio comme « Ici et Maintenant »?……… 

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  • BA // 05.07.2012 à 16h51

    Vendredi 29 juin 2012 : le sommet européen se termine. Comme d’habitude, les investisseurs internationaux sont rassurés pendant quelques jours : les taux d’intérêt baissent pendant quelques jours.
     
    Comme d’habitude, ça repart très vite à la hausse.
     
    Espagne : taux des obligations à 10 ans :
    Lundi 2 juillet : 6,38 %.
    Mardi 3 juillet : 6,25 %.
    Mercredi 4 juillet : 6,41 %.
    Jeudi 5 juillet : 6,776 %.
     
    http://www.bloomberg.com/quote/GSPG10YR:IND
     
    Italie : taux des obligations à 10 ans :
    Lundi 2 juillet : 5,74 %.
    Mardi 3 juillet : 5,63 %.
    Mercredi 4 juillet : 5,77 %.
    Jeudi 5 juillet : 5,979 %.
     
    « Ce qui ne plaît pas trop aux investisseurs, c’est le jugement de la BCE sur l’environnement économique qui se détériore sensiblement », estime Patrick Jacq, stratégiste obligataire chez BNP Paribas.
     
    La BCE a baissé de 0,25 point de pourcentage son taux directeur à 0,75%, ce qui était largement anticipé.
     
    Mais, selon le stratégiste, la BCE est venue rappeler aux marchés les difficultés économiques des pays les plus fragiles de la zone euro, ce qui va compliquer sérieusement leur capacité à réduire leur déficit.
     
    Dans le même temps, elle a balayé les espoirs de nouvelles mesures exceptionnelles.
     
    « La perception positive du sommet européen a déjà commencé à s’éroder depuis le début de la semaine. La baisse des taux qui avait suivi la réunion européenne est derrière nous », constate M. Jacq.
     
    Pour preuve, aujourd’hui, l’Espagne a payé plus cher pour emprunter à dix ans, devant concéder un taux moyen de 6,430%, contre 6,044% lors de la dernière émission similaire, le 7 juin.

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    • Fabrice // 05.07.2012 à 19h08

      Récemment j’ai entendu sur BFM un investisseur qui disait je ne réponds plus aux appels de l’Allemagne car je suis perdant, l’Espagne, Grèce et Italie trop risqué du coup je réponds aux appel de la France qui à 3% reste intéressant.
       
      Franchement c’est quoi ce petit jeu entre pays européen, je sais que le malheur fait le bonheur des autres mais personne semble se rendre compte qu’on va tous finir mal à ce rythme.
       
      L’Allemagne qui n’ayant pas de consommation intérieur va le sentir passer en ayant scié la branche elle se trouve en poussant  ses client à ne plus acheter.
       
      La France qui croit qu’elle va passer entre les gouttes en jouant le funambule entre le sud et le nord pour résumer sans relancer son instrument productif, et en s’endettant toujours plus.
       
      Le Royaume Uni qui prie pour que personne ne s’intéresse à son cas et tape à tour de bras sur les eurolandais (dont ce cher Farage qui joue parfaitement son rôle).
       
      Je parle pas des grecs, espagnols, … car on tire déjà assez sur eux bien plus que nécessaire.
       
      On a beau me dire que l’Europe est une utopie et que les pays s’en tireraient mieux sans (ah bon la dette disparaîtrait ??? on nous prêterait sans compter ? ce serait open bar ?) j’ai quand même l’impression qu’en mutualisant les dépenses (défense, diplomatie, sécurité civile, douanes, infrastructures, …) on pourrait avoir un peu de marge et faire face là ou on ne le peut plus pays par pays. mais bon…
       
       
       
       

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      • Christophe Vieren // 05.07.2012 à 20h47

        Pour les douanes, je pense que la mutualisation est déjà faite. Parce que l’europe (en tout cas l’espace Shenghen a réussi à s’entendre pour des objectifs communs : drogue , contrefaçons, immigré clandestins, …).
        Pour défense, sécurité cicile infrastructure, je ne vois pas trop ce qu’il y a de mutualisable. Et quand bien même cela ferait pas grand chose. Mais pourquoi pas !
        Pour diplomatie, faudrait déjà être d’accord sur les objectifs politiques : tous les pays européens n’ont pas les mêmes intérêts géostratégiques.
        En revanche, ce qui pourrait être fait c’est une harmonisation fiscale et sociale pour éviter le dumping entre états européens. Mais lorsque on voit la réaction de Farage, se foutre devant le monde entier, dans un sommet censé être à la recherche de solution commune, de l’imposition de Hollande ‘ » j’accueilllerais vos exilés fiscaux à bras ouverts »), on se dit que le fédéralisme, est une utopie eu égard à l’urgence  et à la déliquescence de l’UE.
        Tans qu’on est dans les utopies : que se passerait-il si tous les pays européens décidaient, d’un commun accord, de faire défaut partiel sur leurs dettes ? Se ferait engueuler par Lagarde ? Par qui d’autres ? A qui ils prêteraient les créanciers ? Au états-Unis ? Au Japon ? A l’Argentine peut-être ! A la Chine qui n’a pas besoin de prêt. Bon allez, j’arrête de réver, il est tard.

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        • Fabrice // 05.07.2012 à 21h15

          Je pensais à une ambassade générale par pays dans le monde, au lieu d’une ambassade par pays européens dans chaque pays, …
           
          les Canadairs (dont récemment on a vu les manque des moyens) gérés au niveau européens par exemple, les unités d’interventions regroupés pour les grandes catastrophes (tremblement de terres, ouragans, …)
           
          un réseau ferroviaire enfin interconnecté digne de se nom avec une norme européenne pour éviter les changement de motrices à certaines frontières, une mutualisation des systèmes de raffinage (vu que chaque pays voit ses capacités disparaître à vitesse grand v)
           
          La défense et bien vu qu’individuellement chaque pays ne peut plus assumer les frais d’une vraie défense, alors que partout dans le monde les pays se réarment une mutualisation des dépenses va être fortement d’actualité où nous risquons fortement d’avoir une mauvais surprise d’ici peu (quand les USA vont attaquer l’Iran, le risque que cela dégénère n’est pas négligeable et pourtant je n’ai jamais été un militariste dans l’âme mais trop d’angélisme (comme en 39 vu qu’on se retrouve dans une crise identique à l’époque) nous coûtera cher.
           
           
           
           
           
           
           
           
           
           
           
           

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  • Alain34 // 05.07.2012 à 18h34

    Vraiment très bon, en particulier la 2eme partie. regarder la 1ere partie après la dernière est assez surréaliste…
    1ere partie : qui va payer, faire des efforts, comment, la compétitivité, le cout du travail, les taxes, etc…
    Dernière partie : de toutes façons, on ne pourra jamais payer et il faut réformer la façon dont on fonctionne, en France, et en Europe…
    A propos du taux d’imposition 75% de Philippe Portier dit « des rémunération calées sur les cours de bourses » 
    HA BON ?
    Il me semblait au contraire que ces dernières années, alors que la bourse plonge, les rémunérations des grands patrons augmentent…

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  • BA // 05.07.2012 à 19h50

    Dette publique de l’Allemagne :
    2002 : dette publique de 60,7 % du PIB.
    2003 : dette publique de 64,4 % du PIB.
    2004 : dette publique de 66,3 % du PIB.
    2005 : dette publique de 68,6 % du PIB.
    2006 : dette publique de 68,1 % du PIB.
    2007 : dette publique de 65,2 % du PIB.
    2008 : dette publique de 66,7 % du PIB.
    2009 : dette publique de 74,4 % du PIB.
    2010 : dette publique de 83 % du PIB.
    2011 : dette publique de 81,2 % du PIB.
    2012 : dette publique de 83,5 % du PIB.
     
    Dette publique de la France :
     
    Mercredi 4 juillet 2012 :
     
    Jean-Marc Ayrault déclare :
     
    « depuis 2007, la dette a augmenté de 600 milliards d’euros, et cette dette atteint aujourd’hui près de 1800 milliards d’euros, soit 90 % de la richesse produite par la France chaque année. Le poids de la dette est devenu écrasant : l’Etat verse ainsi près de 50 milliards d’euros par an à ses créanciers. Cette somme représente la première dépense juste devant le budget de l’Education nationale, elle est supérieure aux budgets de la recherche, de la justice et de la sécurité réunis. »
     
    http://www.gouvernement.fr/premier-ministre/discours-de-politique-generale-de-jean-marc-ayrault-premier-ministre-a-l-assemblee-

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  • Marcus // 05.07.2012 à 19h52

    Délire industriel (ça m’a été envoyé par les Bourguignon sur ma page facebook) :
    http://www.bastamag.net/article2502.html
     
    Amicalement.
    Marc

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    • Marcus // 05.07.2012 à 19h55

      J’ai aussi écrit un petit mot gentil et fait un peu de pub pour Olivier et son livre.
       

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    • Delphin // 05.07.2012 à 21h10

      Ce qu’on baptise pudiquement du nom de crise (écologique, sociale et financière), va se charger de mettre un terme à ce genre de délire.
       
      La méthanisation, transformation bactérienne sans oxygène, donne un engrais biologiquement « mort » (l’oxygène c’est la vie), qui sera épandu sur un sol lui-même en état biologique très faiblard. Sans réensemencement par des bactéries et microrganismes du vivant (du monde de l’oxygène), le dopage artificiel engrais pétrolifères du substrat concerné sera plus que jamais nécessaire.
       
      Delphin

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    • yoananda // 06.07.2012 à 00h06

      Génial, comme dans mad max 3 !!!
      Surréaliste !!!!

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  • SnoiD // 05.07.2012 à 20h24

    Bonjou Olivier et merci pour cette intervention qui par quelques phrase replace bien le problème.

    J’ai d’ailleurs savouré le recadrement du « problème » de compétitivité Français (qui est lié a vouloir jouer avec des règles différentes des autres pays).

    j’ai une question concernant l’interventiion de votre « opposant » en 2eme partie d’émission. Ce dernier expliquai que le problème des banque vis a vis du marché était que la loi via Bale II et III de renforcer leur fond propre « et comme le capital est en bourse ils deviennent dépendant des marchés et des emprunts » à cause de la loi.
    Ce que je ne comprends pas c’est pourquoi il semble dire que c’est mauvais de demander a des prêteur de posséder, au moins en partie, ce qu’ils pretent ? 

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  • Delphin // 05.07.2012 à 20h57

    Bonjour,
     
    J’ai trouvé, moi aussi votre intervention remarquable. Un OVNI du monde de la sincérité dans le monde de la communication.
     
    Mais une sincérité accompagnée de la compétence, de la volonté pédagogique (l’exemple fictif d’une Alsace au rabais) et d’une certaine finesse de débatteur.
     
    Il n’est qu’à voir Philippe Portier, parfait représentant du monde de la communication, cherchant continuellement à noyer le poisson mais acculé par la simplicité argumentaire que permet votre volonté d’aller droit au but, à surrenchérir apparemment sur chacun de vos arguments, pour tenter de s’y opposer par la bande.
     
    Après votre premier « recadrage » suite à sa longue tirade, il s’est d’ailleurs recroquevillé sur sa chaise, semblant traduire par cette posture son échec de communication.
     
    Nul doute que dans le contrat implicite que représente ce type d’intervention, « Je t’invite car tu renouvelles mon émission, au risque d’un débordement de son cadre idéologique, que je limite en te cadrant serré », votre avenir est assuré.
     
    Merci de porter ainsi, mine de rien, l’expression de ceux qui ne l’ont habituellement jamais.
     
    Delphin
     
     

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  • Le Yéti // 05.07.2012 à 21h10

    Bon allez, osons : émission BFM parfaitement insupportable et infantile. Des ados quadra qui se la pètent branchés envers et contre tout. Qui essaient désespérément de défendre leur pré-carré aux abois. Olivier Berruyer réduit à la portion congrue. Que les autres laissent intervenir sans lui répondre vraiment. Et pour cause.
    Moralité : le Berruyer des Crises.fr tout court se suffit amplement à lui-même, me semble-t-il 😉

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  • Delphin // 06.07.2012 à 09h58

    Tout cela, mais aussi une portion congrue servie à des téléspectateurs habituellement privés de toute portion, même congrue.
     
    Delphin

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  • Morziloeil // 06.07.2012 à 18h10

     
    Olivier,
     
    Pardon de jouer les rabats joie et de ne pas m’associer à vos fans, mais l’exemple du dumping Alsacien pour expliquer le succès de l’Allemagne est erroné.
     
    1) le coût du travail allemand n’est pas plus bas que le français, de toute façon le smic ne rend pas à lui seul compte des réalités des salaires d’un pays (il n’y a pas de smic en Suisse …)
     
    3) le succès de l’Allemagne vient de sa culture, de sa gestion des comptes publics, de son réseau d’entreprises intermédiaires dynamiques et mondialisées, j’en passe
     
    4) il n’y a pas de délocalisations d’entreprises françaises vers l’Allemagne
     
    5) le raisonnement est faux: à vous entendre, la Pologne, où les salaires sont plus bas, devrait phagocyter  les économies environnantes…
     
    6) De manière plus subtile, ce raisonnement tend à faire croire que la prospérité des uns fait la pauvreté des autres.
     
    7) En tout état de cause ce raisonnement ne s’applique spécifiquement ni au problème de l’Euro, ni aux problèmes de l’UE – je veux dire que pour suivre votre raisonnement, il n’est nullement besoin de supposer l’euro ou l’UE.
     
    Pire que tout, cette philippique contre l’Allemagne vise à détourner le spectateur des vrais problèmes structurels de la France et des pays du sud.
     
    Je ne comprends pas qu’un amoureux des chiffres comme vous puisse présenter un tableau aussi éloigné de la situation.
     

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    • Christophe Vieren // 06.07.2012 à 18h26

      La « culture » allemande aurait-elle changé depuis les années 2000 ? Etrange. Mais l’Allemagne – qui a fait certes certains bons choix -, ne perd rien pour attendre à cause du contrecoup à long terme induit par de mauvais choix. Voir l’article d’Alternatives Economiques : Dépenses publiques : la France doit-elle s’aligner sur l’Allemagne ?. (réservé au abonnés) Et l’article de mediapart :Comparaison France-Allemagne : quel modèle privilégier ?
      En tout état de cause, le taux de pauvreté a augmenté en Allemagne. Doit-on faire pareil ? Puis ensuite, un autre pays.  Cela s’appelle du dumping. A l’intérieur d’une « union », quelle farce !

       

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    • odeur_de_sapin // 06.07.2012 à 19h07

      Bonjour, beaucoup d’excellentes lectures sur ce blog, mais un peu dans la même veine que Morziloeil, cette propension d’Olivier a …(qque chose m’échappe peut-être ?),  par exemple comparer les salaires en Allemagne et en France, sans tenir compte du coût de la vie.
      La vie en Allemagne pour les produits de base de la vie courante est nettement moins cher qu’en France. C’est un constat que je fais chaque mois.
      Mise à part l’essence (et les autoroutes sont gratuites …), quand je fais mes courses en Allemagne, je constate minimum une différence de 20% à 30% pour l’alimentaire, produits ménagers, ect moins cher en Allemagne et pour une qualité en général meilleure.     
      Aller faire un tour à Kehl (juste de l’autre coté du Rhin à Strasbourg) , les Alsaciens repartent en France, les coffres pleins.
      Alors pourquoi juste comparer des salaires, Olivier je ne comprends pas votre approche.
      Je connais une boutique bio en centre ville de Kehl, je connais bien leurs produits, j’ai pas trouvé un seul article plus cher qu’en France.
      Parfois pour exactement le même produit, on peut constater des différences de 50%.

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      • odeur_de_sapin // 06.07.2012 à 19h20

        Mes propos se fondent évidemment sur une alimentation variée, si les repas se composent à 80% de fromages français accompagnés d’un Saint Emilion, évidemment … on sera peut-être pas gagnant.

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      • odeur_de_sapin // 06.07.2012 à 19h45

        Allez soyons fous … j’ai récupéré des tickets de courses France et Allemagne, qques exemples histoire d’être concret :
        Brocoli 500G : Allemagne 0,60 Euros / France 0,99
        Lait de soja Vanille 1L  : Allemagne 0,99 / France 1,24
        Sauce Soja : Allemagne (250ml) 1,29 / France … j’en ai jamais trouvé à moins de 2 euros même pour 125 ml
        Cranberries 250g : A. 1,99 / F. entre 2,50 et 3,50 euros
        Savon 1er prix  : A. 0,29 / F. 0,32
        Bircher muesli 600g : A. 1,89 / F. > 2 euros

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        • Patrick Luder // 06.07.2012 à 19h57

          Pas très équilibré tout cela … et sais-tu que la production de sojà pose d’énormes problèmes 🙂
          (je plaisante bien sûr)  

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      • Patrick Luder // 06.07.2012 à 19h54

         
        Oui, le SMIC ne peut concrètement pas être utilisé pour comparer l’Allemagne et la France, car tout est différent entre ces deux pays, mais il est juste utilisé pour imager aux Français le dumping social Allemand (et non le dumping salarial). Les différences entre le travail Allemand et Français ne se situe pas au niveau du salaire, mais aux conditions sociales, fiscales et autres facilités (dépenses) d’Etat. Par contre Olivier, pour un équilibrage il ne faut pas viser l’augmentation du salaire allemand, mais une réduction du social Français …
         

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  • Patrick Luder // 06.07.2012 à 19h37

    Merci Olivier d’un peu relever l’intérêt de ce genre d’émission, par de (trop) courtes vues sur les dérives du système. Sinon on aurait vite tendance à se laisser endormir par les discours semi-rassurants qui s’attardent sur des détails en oubliant l’essentiel. En résumé nous suivons encore une fois la voie largement ouverte par les USA, en faisant tout ce qu’il faut pour que la dette puisse continuer (en se faisant si possible oubliée). Je trouve choquant d’entendre dire que la dette n’est évidemment pas remboursable et que ce n’est pas un problème, puis on s’empresse vite de passer à d’autres sujets …

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  • Vénus-Etoile du Berger // 31.07.2012 à 08h04

    Le 31 juillet 2012
    Le gouvernement renonce à augmenter la CSG en 2013
    Jérôme Cahuzac ministre délégué au Budget a déclaré hier (30 juillet 2012) sur France Inter :
    « La hausse de la CSG ne fait pas partie du programme de la loi de finance initiale. »
    « Le budget 2013 n’envisage pas cette mesure-là ».

    Pour rappel, cette mesure envisageable a été étudiée au début de mois de juillet.

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