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17.février.201417.2.2014 // Les Crises

[Média] BFM Business, Les Experts – 14 février

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Nicolas Doze m’a invité à son émission sur BFM Business.

Avec Jacques Sapir

Voici la vidéo :

Partie 1 :

Partie 2 :


N’hésitez pas à réagir en direct par mail sur cette émission via ce lien – Nicolas Doze consulte bien les mails en direct, et est très demandeur 😉 :

http://www.bfmtv.com/emission/les-experts/

(cliquez sur Lui écrire à droite)

Utilisez aussi Twitter : https://twitter.com/NicolasDOZE

28 réactions et commentaires

  • Fabrice // 17.02.2014 à 09h29

    Très bonne émission mais il faudrait arrêter de traumatiser ce pauvre Nicolas Doze sur la croissance par habitant ainsi que la dette engendrée par ces à peine 0.3% sinon il va finir par nous faire un ko technique ou un déraillement si on le sort du modèle habituel 😉 :-D.

    Jacques Sapir, apporte son sens pédagogique et posé qui est vraiment agréable et vous Olivier le petit coup d’électrochoc qui permet de redresser la barre quand on vire vers le politiquement correct de l’économie.

    J’espère qu’un jour Monsieur Sapir pourra nous livrer son raisonnement sur la polémique Moscovici si il ne vous l’a pas déjà fait, car sur le site sa toute première phrase laissait penser qu’il aurait voulu plus développer.

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    • step // 17.02.2014 à 12h23

      ah il est certain que son panégyrique de la politique de l’offre risque de heurter le réel, dans une belle confusion de sa part.

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  • red2 // 17.02.2014 à 09h34

    Ça fait du bien d’écouter des choses aussi censées sur une radio grand public :-).

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  • perceval78 // 17.02.2014 à 09h52

    Sapir tres bien Olivier tres bien , mais il ne faut pas sous estimer Nicolas Doze qui impulse le rythme , je le trouve tres bon aussi , apres tout c’est comme une piece de theatre , tous les acteurs sont importants

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  • ghisse // 17.02.2014 à 10h38

    bon débat O B se lâche plus, le ton est plus tranchant et c’est ce qu’il faut. J S égal à lui même et le nouvel intervenant au moins il est jeune et défend un modèle d’investissement à échelle humaine ce qui le rend pour le moins utile …ça change des vieilles barbes qui s’auto-congratulent sur le dos des classe moyennes et qui moyennent de moins en moins !

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    • yvan // 17.02.2014 à 15h43

      Le « jeune » intervenant veut un mode de fonctionnement comme aux US, soit avec quasiment pas d’état MAIS SURTOUT au service des plus riches.
      (ce qui est normal car il défend SON beafsteaq de fond d’investissement en se plaçant en intermédiaire, et notez qu’il ne sait pas lire un bilan…)

      Bonne crise à vous.
      Le plus gros arrive.

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      • jmeransaigne // 17.02.2014 à 19h01

        « Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble une entité adéquate pour le faire »
        David Rockfeller,
        Newsweek, 1er Février 1999,
        Et on créa l’Euro…..en attendant le pont du marché transatlantique.
        Et comme les multinationales n’ont pas de nation, les multinationnales françaises partagent la responsabilité de ces propositions honteuses avec les multinationales américaines.
        Et notre gouvernement a prouvé sans que le doute soit possible, qu’il est le serviteur attentionné de ceux qui ont pour projet de détruire notre société.
        Au final, j’espère que l’attitude irresponsable, lâche, de ce président, sera suffisament dérangeante pour qu’à l’avenir, l’élection telle qu’elle se présente soit remise en question et (enfin) remplacée par un renouveau salvateur, non pollué par cette vieille politique qui sent le rance de ses accords passés en catimini, de ses délits d’intitiés et enfin, sortir de cette croyance que faire partie de l’élite est la preuve « qu »‘on se distingue par ses qualités », euh??? (mouarfffffffffff).
        Vive une nouvelle politique, mort à toutes les vieilles politiques menées par des conservateurs asservis au pouvoir des firmes!!!

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  • Casquette // 17.02.2014 à 11h32

    Dans les années 90 la France importait moins de biens et était leader dans un tas de secteurs et de filières (auto , acier , petrochimie , agroalimentaire) qui ont été abandonnés par les mêmes gugus qui prennent l’Allemagne en exemple !
    Après bien sûr que l’euro n’est pas responsable de la stratégie économique adoptée depuis les années 80 qui a consisté à tout miser sur le tertiaire , commme s’il y avait une dichotomie entre ce secteur là et les autres (un jour faudrait analyser cette idée bizarre !) mais la monnaie unique a largement contribuée , dans le cadre pro libre-échange proné par les traités européens à éroder la base industrielle française.

    Petit apparté c’est toujours une surprise de voir des fédéralistes réclamer plus de centralisation à l’échelon européen alors qu’ils conchiaent juste avant l’étatisme , on retrouve la même incohérence chez les neolibéraux qui pestent contre le jacobinisme français tout en aplaudissant les megafusions et le modèle des banques universelles , pour ceux qui croient encore à un fédéralisme social , protecteur et keynésien je les invite à voir la réalité en face , une centralisation européenne ne peut mener qu’à un modèle ordolibéral ou l’administration est chargée de garantir la liberté du commerce ou bien à un modèle soviétique dans lequel la doctrine orthodoxe doit être preservée coute que coute , y compris au détriment de la démocratie…
    Continuons sur cette voie et l’UE se dirigera vers un mélange entre ces 2 modèles.

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  • Olposoch // 17.02.2014 à 12h18

    Bon échange…

    J’en retiendrai entre autres la phrase de J. Sapir « toute dépense de l’état est une consommation des opérateurs privés » (S. Dassault a-t-il jamais eu à répondre à une question dans cet esprit?)…

    Concept incompréhensible pour le jeune starteupeur ambitieux (pour lui-même et ses clients) qui veut surtout ne rien changer « en haut » pour pouvoir lui aussi se faire sa place au soleil avant collapse, et qui en appelle à un « pouvoir fort et centralisé »… pour être sûr que ses projets ne seront pas remis en question au sens de l’intérêt du plus grand nombre, des concepts dépassés comme la démocratie, de la survie de l’espèce ou autre retour en arrière non validé…
    Et qui commence par s’excuser de ne pas être du niveau de compétence requis avant de poser son diagnostic imparable et ultra prévisible, et contester les arguments de ceux qu’il a fait mine de respecter…
    Ce qui devrait lui assurer d’être réinvité sur BFM où il aura tout loisir de faire la promo de sa petite enterprise de spéculation.

    La question que j’aimerai voir poser à propos des banques:
    En 2008 le problème central, la faute, la dérive, la faillite du système financier avait un nom, les « produits toxiques », à un niveau tel qu’un président à allongé dans la demi-heure une garantie (qui court toujours) de plus de 300 milliards de marks. Ces « produits dérivés » plombaient mortellement le bilan des banques sans espoir qu’ils retrouvent une quelconque valeur d’échange.
    En 2014 les banques paradent et affichent leur bonne santé, donc la question que j’aimerais voir posée, parce que la qualité des réponses ferait un bon sujet de poilade:
    « Mais ou sont donc les produits toxiques? »
    questions annexes:
    « ont-t-ils retrouvé leur valeur? »
    « sont-ils toujours dans votre bilan? »
    sinon
    « qui les à repris et à quel prix? »
    « qui va prendre la paume? »
    …etc…

    Et si on ne peut pas séparer les activités bancaires, (sans aller jusqu’à la création d’un pôle public de financement qui n’aurait d’autre but que le service public, financer l’économie et les projets innovants, équilibrer ses comptes sans avoir à rémunérer des parasites) pourquoi ne pas créer un pool de banques qui s’engagent à ne faire que de la banque, libre au consommateur de confier sa richesse à des mégabanques qui iront jouer au casino avec…

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      • samuel // 18.02.2014 à 00h14

        le problème des dérivés restent le point de vue mathématique.
        Un individu lambda réfléchit en plaçant un zéro et tracera deux lignes perpendiculaire (une abscisse et une ordonné) et bornera ces lignes.
        Un intellectuel ce questionnera sur la possibilité de remplacer ces bornes par une flèche et ce questionnera sur l’infini.
        Un mathématicien voudra par défaut un « + » l’infini (en abscisse et en ordonné), le seul moyen d’apporter de la cohérence c’est de prolonger ces lignes à l’opposé vers « – » l’infini. Il y a un besoin de symétrie quand on joue avec ces notions (cela pose des problèmes, si l’abscisse représente le temps, il n’y aurait jamais eût de big bang :), la première fois que j’ai entendu parler des univers multiples, je me suis dit: »ça y est les mathématiciens sont sauvés »).
        On retrouve ce besoin de symétrie dans les dérivés, alors que c’est stupide (par exemple un producteur doit vendre pour payer ces fournisseurs, mais il ce doute que le prix montera, alors il ce couvre à la hausse, à l’inverse un transformateur doit acheté pour couvrir ces approvisionnements mais il a peur que son prix de vente baisse, alors il ce couvre à la baisse, c’est normal, mais si il producteur à bien vendu et souhaite en plus parier sur la baisse c’est malsain, idem si un transformateur parie à la hausse, c’est tuer la filière et la logique de marché, sauf sous un regard mathématique c’est juste de la symétrie quand à leurs actions possibles).
        C’est pareil pour le besoin de continuité, on ne coupe pas une abscisse, elle est continu (alors puisque les acteurs physiques ne suffisent à assurer un flux continu sur des échèles de temps courte, on permet à tout agent économique de faussé le marché en leurs permettant de prendre des dérivés, même pour des risques qui n’existent pas ,cf Jorion sur les CDS d’une société dont les actions ne sont plus cotés en bourse).
        Mais cela serait encore trop simple, car la continuité doit être parfaite, alors on tend vers un découpage du temps infini (limiter par la vitesse de la lumière des fibres et de la capacité de traitement de ces flux lumineux, la valeur n’a plus à être connecté à une réalité humaine, car elle est trop discontinu, déjà on dort c’est bien la preuve qu’on n’est pas assez bien pour faire des mathématiques appliqués, alors on fait des algos, eux au moins on du respect pour la logique mathématique).
        Les dérivés représentent ce que la folie est à l’intelligence, un problème de représentation, mais pas un problème de capacité.

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  • david // 17.02.2014 à 12h38

    Très bons échanges mais ce que je retiens surtout c’est que Berruyer et Sapir n’ont plus d’adversaire à leur mesure. Où sont passés les Tesmar, Madelin, De Benzman, Petit et autres grands esprits libéraux pro-euro pour donner le change.
    C’est triste de voir ce spectacle, ça sent l’ostracisation. Un match n’est intéressant que quand il y a une rivalité rélle. Je ne vois pas l’intérêt de mettre deux eurosceptiques de bons niveaux ensemble. Je préfèrerai qu’ils soient invités séparément face au microcosme habituel de Doze et que l’on voit une confrontation d’idée critique et constructive.
    Ou alors, ces derniers n’osent plus sortir de leur tanière face aux deux « méchants » du PAF, et là c’est grave.

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    • Julian // 17.02.2014 à 18h22

      Remarque très pertinente.
      Mais c’est Doze qui mène le bal, non ?

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    • Bouddha Vert // 18.02.2014 à 22h53

      Bonsoir,

      Ne vous inquiétez pas pour les adversaires car même si la tendance va être à prendre de plus en plus les approches de OB et JS comme des fondamentaux, de nouvelles dissensions vont apparaître.
      OB évoquait que le PIB, par individu baissait.
      Personnellement je pense que dans un monde à population croissante et à ressources en déclin, on a jamais vu de croissance moyenne du PIB par individu augmenter.
      A part si nous devenons des Hommes Génétiquement Modifiés capables de plus de puissance que des éléphants il n’y aura plus de croissance individuelle moyenne (et encore puisqu’après l’éléphant il faudra passer à la baleine etc…c’est la croissance!)

      Tout l’avenir politique va désormais se situer autour de ce paradigme, que faire de ce qu’il nous reste?
      Continuer la compétition pour se l’accaparer ou vivre en symbiose avec le biotope qui nous porte.

      De toute manière, il va falloir se raconter de nouvelles histoires pour avancer.

      Bon vent

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  • step // 17.02.2014 à 13h31

    Jacques sapir alias good cop, Olivier Berruyer alias bad cop dans un remake des tontons flingueurs d’audiard : « y sont déjà pas marrants en solo, j’tiens pas à les voir dans leur numéro de duettistes. » Pauvre troisième intervenant et même pauvre nicolas doze !

    j’adore ! Autant le rappel de Jacques Sapir sur le fait qu’une dépense publique est pertinente ou non, mais indépendamment du fait qu’elle fasse vivre le secteur privé.Donc flinguer une dépense pertinente ou flinguer une dépense non pertinente aura peu ou prou le même impact récessif ! Le grand perdant d’une dépense non pertinente c’est l’état, bien plus que le secteur privé auquel il passe sa commande débile !

    Idem dans la foulée la reprise à la volée du fameux mythique 57% dont se gargarisent tous les « libéraux » de la planète alors que ce n’est qu’un aggrégat sans cohérence dont la croissance masque la stagnation des dépenses de l’état depuis presque 20 ans, alors quand dans le même temps on a une population croissante à servir !

    culte le  » moi le montebourg ca fait un certain temps que je ne cherche plus à comprendre ». Après lequel ont voit un sapir l’oeil brillant de malice vu que c’est le titre d’un de ses anciens billets sur son incohérence politique.

     » Au bout d’un certain temps faut plus chercher à comprendre faut flinguer ».

    Excellent aussi la première partie : « 18 Milliards en balançant 80 Milliards de dette. », aka « vous êtes sur la pente fatale les gars, vous vous endettez ! »

    Bref pour quelqu’un qui assume que blessure d’argent n’est point mortelle, et qui préfère une modestie bien répartie qu’une richesse bien concentrée, je me suis énormément amusé. Le tenant de la boite à spéculer au devant d’une option d’une stratégie suicidaire qui dit on fonce devrait méditer celle là : » Les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait ».

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    • step // 17.02.2014 à 13h54

      dialogue a peine imaginaire:

      O.B: Ils arrivent

      J.S observant l’arme de O.B Qu’est ce que je vois là ?

      O.B J’l’avais en cas qu’il aurait fallu tirer en rafale, des fois qu’ils seraient tous sortis de la réduction des dépenses de l’état par les 57%, TATATATATA ……Hop !

      J.S C’est marrant que t’es gardé ce côtés maquisard, t’es pas en age d’arrêter tes momeries ?

      Personnellement j’en redemande !

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  • dany 2 // 17.02.2014 à 18h14

    N Doze qui donne un allie a Olivier c’est louche…Enfin un agreable duo… J’ai quand meme ete surpris quand J Sapir annonce qu’une ponction importante sur l’epargne europeenne en cas de crise bancaire, detruirait le mecanisme economique.,..Donc,  » l’effort demande  » se situera entre 10 et 20% et ma foi il trouve cela normal…Pour sauver des banques…

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    • step // 17.02.2014 à 22h31

      pas sûr que ce soit là, sans contrepartie sanglantes pour ces dernières.

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  • jp418 // 17.02.2014 à 18h49

    Pour rebondir sur les propos de David un peu plus haut,

    je trouve personnellement que les débats de type « C’est mon choix », où l’on réunit deux antithèses sur un plateau, çà ne mène à rien, on arrive à chaque fois en 5 min à une guerre de position, personne ne peut faire un pas vers l’autre car tous les opposent… Au final on ne fait qu’égratigner les sujets.

    Au contraire, il est plus efficace à mon sens d’inviter séparément chaque camp, afin qu’ils puissent développer à loisir leurs thèses. C’est au présentateur de confronter ses invités aux thèses adverses (ce que fait assez bien Mr Doze).

    Une fois que l’on a écouté chaque thèse, on peut se faire çà propre opinion.

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    • Mathieu // 18.02.2014 à 08h38

      Je ne suis pas tout à fait d’accord. Dans cet affaire, le camp pro-euro estimant que les anti sont des rêveurs, des illuminés ou des extrêmistes ne prend jamais la peine d’expliciter pourquoi et comment on va garder l’Euro… Puisque cela va de soi.
      Ce n’est pas vrai pour les anti-euro qui, venant de la marge (n’y voir rien de pajoratif) sont obligés d’argumenter leur position. J’aimerai entendre un pro-euro m’expliquer pourquoi et comment on va faire converger nos économies.

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  • Lamarck // 17.02.2014 à 19h07

    Débat très intéressant sur « comment on en sort  » mais jamais on ose aborder le vrai problème, la racine du mal, la raison qui impose de changer complètement de model. La prospérité et la croissance que l’on a connue dans les années passées et révolues est essetiellement due à la disponibilité d’une énergie facile et tres bon marché, la corrélation entre energie et croissance est sans équivoque. Dans une autre mesure le développement du siècle precedent est aussi du à l’exploitation sans vergogne des ressources des pays du sud , Afrique et Amérique latine. Ces deux éléments essentiels n’existent plus et notre société va inexorablement vers son déclin et son appauvrissement. C’est ainsi et il n’y a rien a faire pour faire durer le model antérieur. Il faudra que cela plaise ou non s’adapter et trouver d’autres manières d’être heureux autrement que par une accumulation toujours plus grande de biens.

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  • toutouadi // 17.02.2014 à 19h50

    Belles interventions d’Olivier et de Jacques.

    La fonction publique n’est pas un contresens économique…. Son probable déficit de rationalisation productif face au secteur privé est largement équilibré par la fuite du financement actionnariale de celui-ci, de plus la rémunération des actionnaires alimente le secteur financier, qui lui est récessif, alors que les quelques fonctionnaires en surnombre ont un impact plutôt dynamisant sur l’économie réelle et locale.
    (d’ailleurs c’est bien connu !! on reconnaît un fonctionnaire à l’usure prématurée de son entrejambe ;))

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    • Raphael // 17.02.2014 à 22h40

      Les fonctionnaires ne travaillent pas ils rendent service…
      C’est pour cela que dans les textes législatifs, ils n’ont pas d’accidents de travail mais des accidents de service …

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  • Rémi // 17.02.2014 à 21h52

    Nicolas D. absent lundi de l’émission « Les experts », coïncidence ? Ou manque de bienpensance suite à cette émission du 14 ?

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    • step // 17.02.2014 à 22h32

      convocation, et au gnouf !!

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    • Surya // 18.02.2014 à 00h14

      Il prend des congés. Dingue hein 😉

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      • step // 18.02.2014 à 17h10

        après les infos qu’il a dû absorber, faudrait voir à vérifier qu’il est pas assis à un tabouret à regarder une corde fixement. Faut se méfier des optimistes compulsifs percutés par certaines réalités 🙂

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  • cicero // 19.02.2014 à 01h13

    Il manquait Philippe Béchade pour que Nicolas Doze soit au bord de l’apoplexie.

    C’est dommage qu’il n’y ait pas plus de temps (en gros 2x20min) pour approfondir certains sujets comme les engagements hors-bilan des banques française sur le marché des produits dérivés:
    – 100 000 milliards de dollars selon Philippe Béchade soit 1/7ème du marché mondial (cf le face à face sur Bfm business du 12 février 2014)

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