Les Crises Les Crises
8.novembre.20188.11.2018 // Les Crises

Interdit d’interdire : Face-à-face historique Bruxelles-Rome : jusqu’où cela peut-il aller ?

Merci 65
J'envoie

Source : Interdit d’interdire, Russia Today France, 29-10-218

Frédéric Taddeï reçoit Jean-Marc Daniel, Philippe Waechter, Benjamin Masse-Stamberger et Olivier Delamarche. Ils débattent à propos du refus budgétaire italien.

Frédéric Taddeï reçoit Jean-Marc Daniel, économiste et professeur à l’ESCP Europe, Philippe Waechter, directeur de la recherche économique chez Ostrum Asset Management, Benjamin Masse-Stamberger, journaliste et spécialiste du secteur financier et de l’économie internationale ainsi qu’Olivier Delamarche, analyste financier et président de Platinium Gestion.

Source : Interdit d’interdire, Russia Today France, 29-10-218

Nous vous proposons cet article afin d'élargir votre champ de réflexion. Cela ne signifie pas forcément que nous approuvions la vision développée ici. Dans tous les cas, notre responsabilité s'arrête aux propos que nous reportons ici. [Lire plus]Nous ne sommes nullement engagés par les propos que l'auteur aurait pu tenir par ailleurs - et encore moins par ceux qu'il pourrait tenir dans le futur. Merci cependant de nous signaler par le formulaire de contact toute information concernant l'auteur qui pourrait nuire à sa réputation. 

Commentaire recommandé

Malbrough // 08.11.2018 à 06h56

Le débat est très intéressant .
Relativement équilibré .
Nous y trouvons des europhiles pure jus malgré quelques concessions mais qui prédisent l’apocalypse en cas de sortie de l’Italie
Des eurosceptiques .
Des europhobes ?
Avec énormément de contorsions , évidemment , puisque comme il est indiqué la sortie de l’euro est un tabou .
L’UE est un dogme , relève de la foi , incontournable , même pas discutables etc etc ….
Ce qui est étonnant c’est que l’on ne parle pas de ce qui est sous jacent : le système tout puissant : la financiarisation ,la mondialisation ,le néolibéralisme qui est le moteur économique dans nos sociétés malades de l’accumulation financière du capital et parfaitement inégalitaire , doublés du néoconservatisme . Ce système ne profite véritablement qu’à une fraction de la population dite upper classe. L’autre est en voie de paupérisation irréversible y compris dans les classes moyennes basses .

5 réactions et commentaires

  • Malbrough // 08.11.2018 à 06h56

    Le débat est très intéressant .
    Relativement équilibré .
    Nous y trouvons des europhiles pure jus malgré quelques concessions mais qui prédisent l’apocalypse en cas de sortie de l’Italie
    Des eurosceptiques .
    Des europhobes ?
    Avec énormément de contorsions , évidemment , puisque comme il est indiqué la sortie de l’euro est un tabou .
    L’UE est un dogme , relève de la foi , incontournable , même pas discutables etc etc ….
    Ce qui est étonnant c’est que l’on ne parle pas de ce qui est sous jacent : le système tout puissant : la financiarisation ,la mondialisation ,le néolibéralisme qui est le moteur économique dans nos sociétés malades de l’accumulation financière du capital et parfaitement inégalitaire , doublés du néoconservatisme . Ce système ne profite véritablement qu’à une fraction de la population dite upper classe. L’autre est en voie de paupérisation irréversible y compris dans les classes moyennes basses .

      +19

    Alerter
  • Malbrough // 08.11.2018 à 07h08

    PS : ce débat m’a permis en outre de découvrir un site apparemment bien intéressant :
    basculements .com
    http://basculements.com/2018/03/11/protectionnisme-trump-avait-raison/
    Et donc grand merci .

      +3

    Alerter
  • Le Rouméliote // 08.11.2018 à 11h38

    Ces européistes sont incroyables ! Ils ont vraiment de la peau de saucisson devant les yeux ! L’euro tue les économies du sud de l’Europe, mais c’est pas grave…
    L’eurogroupe va bloquer l’Italie en l’empêchant de sortir de l’€ au moyen d’un QE (au grand dam de la Bundesbank) versé par la BCE en échange de collatéraux (pour rassurer la Bundesbank) gigantesques pompés sur les actifs de l’Italie, notamment les réserves d’or de la Banque Centrale italienne, par exemple, sur le modèle de l’ELA. Et l’Italie suit le chemin de la Grèce…

      +6

    Alerter
  • RGT // 08.11.2018 à 17h44

    Ça vous étonne ?

    La Kommission n’est qu’une structure qui, comme toutes ses semblables, ne pense qu’à préserver son existence et à grossir.

    Comme elle a les faveurs des ploutocrates auxquels elle rend de précieux services, à chaque « saillie » de sa part à l’encontre d’un « état voyou »® elle est relayée par tous les médias contrôlés par ces ploutocrates.

    Chaque membre de la Kommission ne pense qu’à préserver son propre job (ainsi que la rémunération ad hoc, et les multiples avantages aussi) et se battra bec et ongles en invoquant les nuées de sauterelles pirahanas ou les orages de crapauds en putréfaction qui ne manqueront pas de s’abattre sur les populations si jamais elles venaient à se séparer de cette « noble » institution.

    Comme les politicards professionnels, les « guides » de l’UE se foutent royalement de la situation des peuples des pays « conquis ».

    Il n’y a aucun « complotisme » dans mes propos, juste un simple constat sur la nature humaine.

    Imaginez un instant que vous ayez un boulot très bien rémunéré, dans lequel vous vous contentez de papillonner dans les banquets officiels, pour lequel vous n’avez à assumer aucune responsabilité des décisions que vous approuvez…

    Ne croyez-vous pas que vous vous battriez de toutes vos forces pour préserver ce job en or ?
    Et si votre job cause des « dommages collatéraux » parmi les personnes qui doivent assumer les décisions que vous approuvez (que vous n’avez bien sûr ni élaborées ni planifiées) ça ne vous concerne pas tant que vous n’en subissez pas les conséquences.

    Si vous prétendez le contraire vous êtes un fieffé menteur.

    Le principal problème, c’est que les populations arrivent à un niveau de déchéance tel qu’elles commencent à s’apercevoir malgré le matraquage médiatique qu’elles ont été menées en bateau et qu’elles décident de se sortir ce ce pétrin, soit les personnes en qui elles avaient confiance les trahissent et leur plantent un couteau dans le dos (Grèce), soit l’ensemble de la « communauté internationale »® se met à évoquer
    . © »les heures les plus sombres de notre histoire »
    ou
    . © »Les peuples ont été trompés par des politiciens véreux, ils ne voulaient pas ça et souhaitent faire marche arrière ».

    Vous me direz, les « élus » des diverses « ripoux-biques » trouent leur compte à cette mascarades. en effet, en cas de vote d’une loi impopulaire ils peuvent se dédouaner in invoquant l’application de « Traités €uropéens Salvateurs »…
    Comme ça, après un « congé sabatique » ils peuvent espérer retrouver leur poste bien au chaud lors de l’alterance qui ne manquera pas de suivre leur déchéance.

    Ohé, les peuples, quand vous réveillerez vous ENFIN pour prendre vous-mêmes en main votre propre destin au lieu de le confier à des personnes qui n’ont ni la compétence ni la vertu ?

      +8

    Alerter
  • Yves.JM // 09.11.2018 à 00h57

    L’Italie vieillit, OK, mais le plus grave c’est que ses jeunes s’en vont !

      +3

    Alerter
  • Afficher tous les commentaires

Les commentaires sont fermés.

Et recevez nos publications