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1.février.20191.2.2019 // Les Crises

Interdit d’interdire : Le traité d’Aix-la-Chapelle : le débat

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Source : Interdit d’interdire, Russia Today France, 28-01-2019

Frédéric #Taddeï reçoit Coralie Delaume, blogueuse, Bernard de Montferrand, diplomate, ancien ambassadeur de #France en #Allemagne, Florian Philippot, président Les Patriotes et Hans Stark, Secrétaire général du Comité d’études des relations franco-allemandes de l’IFRI

Source : Interdit d’interdire, Russia Today France, 28-01-2019

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Commentaire recommandé

Kokoba // 01.02.2019 à 10h40

Oui.
Bien sur qu’au bout du compte, la question réelle, c’est la Démocratie.

Les élites Françaises n’en veulent pas.
Pas plus que les élites Européennes.
Ils veulent le pouvoir pour eux, par eux, sans contraintes, sans limites.

L’Union Européenne est le moyen qu’ils ont trouvé pour contourner les Démocraties en place.
Sans violence, sans coup d’état.
Ils ont bien réussi.

29 réactions et commentaires

  • Sandrine // 01.02.2019 à 10h20

    Le débat pour ou contre l’Europe est en réalité un débat pour ou contre l’Etat démocratique versus la gestion locale des problèmes économiques sans démocratie.
    Philippot a tort de focaliser le débat sur l’idée de peuple « ethnique » (il dit qu’il existe un peuple français et un peuple allemand mais pas de peuple franco-allemand, il part donc d’une définition ethnique du peuple). Ce n’est pas cela la question. Qui a étudié l’ethogenese sait que les peuples apparaissent et disparaissent dans l’histoire. On pourrait tout à fait imaginer la naissance d’un peuple franco-allemand (ou d’un peuple européen). Le problème n’est pas là; le problème c’est qu’il n’existe pas d’etat démocratique européen et que tout est organisé pour que cet état démocratique européen ne voit jamais le jour.
    Qui dit démocratie, dit possibilité de définir collectivement le »bien commun ». Avec la constitutionalisation des règle de la concurrence, la possibilité de faire ce choix n’exsite pas et ne pourra jamais exister.
    Ce qui se passe actuellement en Europe est très grave.

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    • Kokoba // 01.02.2019 à 10h40

      Oui.
      Bien sur qu’au bout du compte, la question réelle, c’est la Démocratie.

      Les élites Françaises n’en veulent pas.
      Pas plus que les élites Européennes.
      Ils veulent le pouvoir pour eux, par eux, sans contraintes, sans limites.

      L’Union Européenne est le moyen qu’ils ont trouvé pour contourner les Démocraties en place.
      Sans violence, sans coup d’état.
      Ils ont bien réussi.

        +38

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    • SanKuKai // 01.02.2019 à 11h15

      Il s’agit d’une notion de peuple “tout court”. Il n’y a pas de notion d’ethnie. Il y aura un peuple européen le jour où les Allemands ou les Français n’auront aucun problème á DONNER leur surplus de richesses aux Grecs ou aux Italiens. Comme le fait aujourd’hui l’Ile de France avec le Limousin par exemple. De même il y aura un peuple Franco-Allemand le jour où les citoyens Allemands ne verront pas d’inconvénient à donner une part de leurs surplus commerciaux à la Bourgogne.
      C’est pas gagné.

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      • Babar // 01.02.2019 à 14h31

        Si l’Ile de France partageait vraiment avec le Limousin cela se saurait et il n’y aurait peut être pas eu les gilets jaunes…

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        • Mustang98 // 02.02.2019 à 08h48

          Si vous appreniez vous diriez moins de bêtises ! C’était le cas jusqu’à récemment, mais compte tenu de ce que coûte l’UE (9 à 10 milliards euro nets par an jusqu’au Brexit, après, ce sera au bas 3 à 4 milliards euro supplémentaires). Il faut savoir que cet argent, payé par nous, sert à payer le train de vie de l’UE et toutes les subventions accordées aux autres membres, dont notamment près de 2 milliards euro à la Pologne…
          Les subventions dites européennes versée en France sont en fait, de ce point de vue strictement mathématique, l’UE ne créant aucune richesse, des subventions françaises qui transitent par Bruxelles, le temps d’endosser le drapeau européen !!!
          Pour satisfaire tous ces engagements européens qui nous ruinent, il ne reste à Macron, qui y prend du plaisir, qu’à contraindre les budgets nationaux et détruire l’état pour renforcer la construction européenne singulièrement anti-démocratique ! Cdlt.
          Toutes les infos disponibles sur upr.fr

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      • Booster // 02.02.2019 à 00h27

        Pourtant les élites (ne travaillent pas, ne produisent rien mais ont beaucoup d‘argent qui soumet les producteurs) elles se mettent bien d‘accords pour spolier la richesse créée par les travailleurs de tous les pays. Ils s‘entraident même á mettre ce système en place et le pérénniser. Alors pourquoi les producteurs qui génèrent toute la richesse sont incapables de se débarrasser de ces parasites-élites ? C‘est là la seule répartition valide. Ne demandez pas aux pauvres allemands de donner le peu qu‘ils leur reste ou qu‘ils pourraient avoir aux grecs… parfois bien mieux lotis qu‘eux. Ce n‘est pas les nations qui s‘empiffrent mais les milliardaires.

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    • fanfan // 01.02.2019 à 18h45

      (Frédéric Lordon)
      L’Europe constitutionnellement (ordo)libérale…
      « C’est le propre de la construction monétaire européenne que la politique économique des Etats-membres y est devenue une pure et simple affaire de pilotage automatique. On reconnaît là d’ailleurs l’empreinte ordolibérale, voulue par l’Allemagne au premier chef, mais ratifiée par les autres pays, notamment par la France, à l’image de toute une époque qui a décrété que la souveraineté était la pire des choses, le règne de l’arbitraire et de la déraison, le fléau à neutraliser à tout prix, fût-il celui — acquitté sans ciller — de la démocratie. On peut donc bien mettre Pierre, Paul ou Jacques à la tête de l’Etat, la chose est parfaitement indifférente…
      Pour une monnaie commune sans l’Allemagne (ou avec, mais pas à la francfortoise)
      https://blog.mondediplo.net/2013-05-25-Pour-une-monnaie-commune-sans-l-Allemagne-ou-avec

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    • fanfan // 01.02.2019 à 19h22

      « En Allemagne, les réformes du marché du travail et des retraites ont été engagées dès les années 2000 par le social-démocrate Gerhard Schroeder, le prédécesseur d’Angela Merkel. Et elles se sont faites au prix de très gros sacrifices. À coup de mini jobs, d’une moindre indemnisation des chômeurs et d’un recours important au temps partiel chez les femmes. Pour sauver le système de retraites, les pensions ont été abaissées. Selon l’OCDE le risque de pauvreté est trois fois plus élevé pour les retraités allemands que français. Quant aux chômeurs allemands, 67% sont exposés au risque de pauvreté, c’est l’un des niveaux les plus élevés d’Europe. Depuis l’an 2000, la pauvreté a clairement progressé outre Rhin, alors qu’en France le taux de pauvreté reste globalement stable. Malgré la crise, la France consacre plus d’un tiers de sa richesse à la protection sociale de ses habitants, elle a réussi à conserver un filet social.
      https://www.franceinter.fr/emissions/le-vrai-faux-de-l-europe/le-vrai-faux-de-l-europe-22-octobre-2016

      « D’après des chiffres publiés par l’institut de statistiques Destatis ce mercredi 8 novembre (2017), 19,7% de la population allemande seraient en risque de pauvreté ou d’exclusion sociale. Ce qui représente environ 16 millions de personnes outre-Rhin.
      https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/allemagne-une-pauvrete-encore-pesante-757245.html

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      • Booster // 02.02.2019 à 00h39

        C‘est énorme. L‘écart se creusé sérieusement entre les fortunés et les autres en Allemagne. On voit de plus en plus de grosses voitures de luxe (Bentley, Ferrari, etc…), des migrants poussant des charios dans la grande distribution, ou livreur chez DHL. Les employés sont les plus mals lotis, bien pressés avec des salaires et des conditions très mauvaises (dans le privé). Les retraites vont être réduites ou plafonnées pour ceux qui bénéficient de retraites privées d‘entreprise (pourtant ils ont bien aussi côtisé au système général). Donc vraiment l‘état vise les classes moyennes. Sans compter la bulle immobilière qui sévit dans plusieurs villes, où non seulement c‘est très cher mais la demande est plus forte que l‘offre. Mais comme en fait l‘allemand est général docile et soumis à l‘autorité, pas de risque de voir beaucoup de gilets jaune.

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        • calal // 02.02.2019 à 08h28

          des migrants poussant des charios dans la grande distribution, ou livreur chez DHL

          en quoi cela vous gene t-il?vous etes choque parce qu’il a de plus en plus de bentley alors que des migrants poussent des chariots dans la grande distribution?
          que vient faire le mot migrant dans votre commentaire?

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    • herve.rumin@orange.fr // 02.02.2019 à 09h52

      à Sandrine : avons-nous vu la même vidéo ? A quelle minute précisément avez-vous entendu que Philippot « focalisait le débat sur une approche ethnique de peuple » ? En quoi rappeler que le peuple allemand et le peuple français étaient deux peuples différents implique-t-il une telle approche « ethnique » ? Merci de vous justifier car je ne comprends vraiment pas du tout votre propos.

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      • Sandrine // 02.02.2019 à 12h29

        Je n’ai pas dit qu’il focalisait le débat là dessus. J’ai juste cité ses paroles (de mémoire) et montré ce que cela impliquait (une conception ethnique de la nation et du peuple).

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        • herve.rumin@orange.fr // 02.02.2019 à 13h19

          Pardon, mais vous écrivez, je vous cite : « Philippot a tort de focaliser le débat sur l’idée de peuple ethnique ». Quelles paroles citez-vous ? J’ai écouté attentivement l’ensemble du débat, il n’a jamais évoqué une quelconque conception ethnique du peuple français ou du peuple allemand.
          Vous avez le droit de ne pas être d’accord avec lui, mais pas de lui faire dire ce qu’il n’a pas dit.

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          • Sandrine // 02.02.2019 à 19h54

            Si il le dit textuellement, à la fin. Et cela semble être pour lui l’argument ultime. Je ne suis pas spécialement contre lui. Je constate simplement qu’on arrivera à rien si on se focalise sur cette définition du peuple et de la nation car vous aurez toujours des gens pour vous rappeler (avec raison) que la France résulte d’un agrégat de peuples qui ne parlaient initialement pas la même langue, que le peuple français a été créé par l’état – c’est à dire au départ la dynastie capétienne.

            Il faut s’opposer à l’Europe non pas pour des raisons ethno-culturelles mais pour des raisons politiques.
            Peut-être que Philippot partage ce point de vue, je n’en sais rien. En tout cas, dans cette vidéo, il ne l’explicite pas, puisqu’en dernière analyse c’est cet argument de la différence entre français et allemands qu’il mobilise pour rejeter l’actuelle Union européenne.

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            • herve.rumin@orange.fr // 03.02.2019 à 10h08

              Nous n’allons pas nous fâcher, chère Sandrine, et je précise que je ne fais partie des Patriotes, mais il me semble vraiment que vous surinterprétez les propos de Philippot. Jamais il ne développe une approche ethnique dans ses interventions. Comme vous l’indiquez vous-même, il dit que le peuple allemand et le peuple français sont deux peuples différents, c’est un fait, et c’est tout. Où sont les propos ethnicistes ? Il n’y en a pas.
              Pourquoi je réagis ? Parce que pour remporter la victoire, nous devons chercher ce qui nous relie tous pour la souveraineté de notre nation, et nous ne devons pas chercher à focaliser sur des divisions qui ne reposent sur aucun élément réel !

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    • Barbe // 02.02.2019 à 10h44

      « Qui dit démocratie, dit possibilité de définir collectivement le »bien commun ».  »
      Le processus démocratique a été inachevé : il s’est interrompu au moment où l’on pouvait-devait donner le droit de voter les lois à tous : définir collectivement le bien commun est une idée intéressante, mais nullement une procédure : ainsi, les tyrans en place pourront toujours dire qu’ils s’occupent du bien de leur peuple.

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  • Gribouille // 01.02.2019 à 11h09

    News de Sputnik France, au sujet de Coralie Delaume, le 30 janvier :
    « Après que la journaliste Coralie Delaume a mis en doute son analyse économique, le commissaire européen français Pierre Moscovici l’a accusée d’antisémitisme sur internet. De nombreuses personnes, dont l’économiste Jacques Sapir, se sont rangées du côté de la journaliste. »
    https://fr.sputniknews.com/france/201901301039836360-moscovici-attali-delaume-antisemitisme-internet/

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    • Chris // 01.02.2019 à 13h53

      L’inquisition avait fabriqué ses sorciers et sorcières, déclarés tels car ils défiaient les pouvoirs en place : les bûchers s’allumèrent durant quelque décennies dans tous les coins d’Europe.
      L’Union Européenne, elle, fabrique ses populistes, migrants… et Gilets jaunes : les accusations pleuvent partout dans les médias tandis qu’elle bâillonne, emprisonne, garde-à-vue, éborgne ou démembre pour affirmer ses « valeurs éternelles » sur les gueux contestataires.
      Bis répétita !

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  • Marie // 01.02.2019 à 13h56

    L’intitulé : « Interdit d’interdire », daté 1968 (c’est vieux, du moins cela a fait son temps, non?) devrait être changé en « Interdit de rire », titre de D. de Stephano et S. Mirabeau , éd. Xenia.

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  • Minerve // 01.02.2019 à 15h45

    Plus les mensonges sont énormes, plus les menteurs finissent pas s’emmêler les pieds dans leurs mensonges. En France, la catastrophe, c’est qu’à force d’interdire l’Information et de trahir les reportages gênants, plus personne n’est dupe du pouvoir abusif des médias nationaux, en particulier de ceux supposés répondre aux attentes de la population et qui sont devenus des machines à diffuser de vrais-faux reportages (censurés/tronqués/ commentés) de sorte de faire croire que les GJ serait de terribles tueurs et qu’en face, les chars dans Paris, – les armes mortelles (interdites) les « forces de l’Ordre – ignorantes des conséquences de leur usages – seraient les défenseurs de LA LOI !
    Résultat : le pouvoir -bien mal acquis- et malfaisant, est désormais largement déconsidéré, deshonoré… Le Peuple Français, quelle que soit sa religion ou ses croyances, sait parfaitement faire la différence entre les quelques cupides milliardaires égoïstes au service de l’argent -et les bonnes volontés qui se cotisent pour aider les malheureuses victimes d’une véritable guerre civile voulue, entretenue et organisée par le gouvenement présent (ou à l’abri en Week-end)
    L’avenir est très sombre :

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  • Julien // 01.02.2019 à 22h56

    Désolé mais j’ai quand même beaucoup de mal avec l’ancien d’extrême-droite.

    Il reprend sans sourciller quasiment mot pour mot tout ce que dit « Monsieur A » depuis plus de 10 ans sans rien apporter de nouveau et sans aucune différence de forme ni de fond.

    Moi j’appelle ça du plagiat ou au mieux de la récupération. Ça n’a l’air de choquer personne…

    D’accord il a le droit. D’accord « Monsieur A » est criticable et doit être critiqué. Mais à part « salir » l’idée de souveraineté en y accolant l’etiquette d’ancien d’extrême-droite et affaiblir (en divisant) un parti existant qui a déjà peine à se faire connaître je ne vois pas l’interêt pour la cause qu’il prétend défendre.

    Je précise ne pas être sympathisant ni adhérent du parti de « Monsieur A ». J’observe juste.

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    • calal // 02.02.2019 à 08h47

      rassurez vous, il y a de fortes chance que monsieur A et l’ancien d’extreme droite fassent 1% aux prochaines elections.Est ce qu’avec la proportionnelle leur score sera suffisant pour obtenir une gamelle?

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      • Julien // 02.02.2019 à 12h35

        C’est sûr. C’est sûr… mais 1% chacun ou 1% en tout ? Là est toute la question 😉

        Comment faire alors si par ce biais rien ne fonctionne ? Il n’y a que les gilets jaunes qui vaillent ?

        Vivement le 5 qu’on sache enfin si il va vraiment y avoir du changement.

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  • Denis Monod-Broca // 01.02.2019 à 23h24

    Farouche opposant à la CED et principal artisan de l’échec de sa ratification par le Parlement français, Michel Debré résumait ainsi le projet : « prendre l’armée française (la seule consistante à l’époque parmi les 6), la baptiser européenne, la mettre sous commandement américain ». Ça ne s’était pas fait. Mais l’idée en est toujours là, sous-jacente, identique à elle-même, toujours prête à renaître…
    Pourquoi avons-nous à ce point honte de nous-mêmes ? Pourquoi avons-nous à ce point besoin de nous fondre dans autrui ?

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  • herve.rumin@orange.fr // 02.02.2019 à 09h48

    Débat très intéressant, merci de cette vidéo.
    Les discussions restent courtoises, et personne n’a eu autour de la table une approche « ethnique » du peuple allemand ou du peuple français, pas plus Philippot qu’un autre !
    Les vérités se disent tranquillement et le diplomate français incarne à merveille nos actuelles élites certaines d’avoir raison, sourdes à toute argumentation de bon sens (sur l’euro notamment, mais pas que), et qui cherchent constamment à faire diversion.
    Le tissu du mensonge se déchire progressivement.

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  • Urko // 02.02.2019 à 10h18

    L’ambassadeur de Montferrand confond la création de EADS avec celle d’Airbus. Son peu de maîtrise des sujets et de sa personne n’est heureusement pas la marque de tous nos diplomates..

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  • moshedayan // 02.02.2019 à 18h18

    Le diplomate français est un excellent exemple de ce qui se fait et se pense au Quai d’Orsay : concernant l’Europe la théorie des élites françaises est : tant qu’on est adossé à l’Allemagne, tout le monde il est beau tout le monde il est gentil ! (les miséreux, les boiteux au placard) et aussi on va pouvoir se frotter aux autres : en premier la Russie. Mais pourquoi une telle vision ? Si ce n’est que dans une vision d’agression inéluctable contre ce pays pour mettre la main sur ses richesses naturelles, sinon pourquoi une telle recherche de puissance ???

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    • Alfred // 02.02.2019 à 21h30

      Effectivement. Avec nos élites nous sommes condamnés à nous faire cocufier par l’Allemagne. Ainsi pour remplacer les Tornados, l’Allemagne met en concurrence le F18 (déjà vieux) et l’Eurofighter (EADS mais anglo-allemand / qui n’a pas ete conçu pour ça). Qui ont ils exclu de l’appel doffre? Le F35 américain (conçu pour ça mais désastreux dans tous les dommaines) et.. le Rafale (pardait pour le role mais.. français). Le chois du Rafale aurait du être la contrepartie minimale pour la signature de ce traité. ça aurait fait une belle jambe pour la population mais cela aurait au moins été une défense correcte de l’oligarchie française. Et l’on aurait pu faire semblant que l’europe n’est pas qu’allemande. Mais non meême ça même pas capables. A croire que la laisse est tenue depuis l’amérique.

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  • solokoto // 03.02.2019 à 14h39

    Ah que ça fait du bien ces émissions !

    Des invités avec des points de vue nuancés qui ont ke temps de développer leur argumentation, d’interpeller, de répondre aux interpellations….

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