Les Crises Les Crises
23.juin.201523.6.2015 // Les Crises

[Média] BFM Business, Les Experts – 16 juin

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Nicolas Doze m’a invité à son émission sur BFM Business.

Avec Jean-Marc Daniel, directeur de la revue Sociétal, et Alain Madelin, président du fonds Latour-Capital

Voici la vidéo :

Partie 1 :

Partie 2 :

Prochaine intervention, le 6 juin

Bonus : un petit rappel historique :


Quelques extraits de l’émission (comme BFM passe du temps à les découper, au moins qu’on les diffuse…):

« C’est la roulette grecque ! »

« La BCE est suicidaire »

« Comment la Grèce peut-elle survivre avec la monnaie de l’Allemagne ? »


N’hésitez pas à réagir en direct par mail sur cette émission via ce lien – Nicolas Doze consulte bien les mails en direct, et est très demandeur 😉 :

http://www.bfmtv.com/emission/les-experts/

(cliquez sur Lui écrire à droite)

Utilisez aussi Twitter : https://twitter.com/NicolasDOZE

Commentaire recommandé

Seb92 // 23.06.2015 à 08h46

En dessous de la deuxième vidéo « Prochaine intervention, le 6 juin »
oO
Le prochain 6 juin est dans 349 jours. D’ici là, la Grèce aura fait défaut, les producteurs d’huile de schiste américains auront mis la clé sous la porte, Podemos sera au pouvoir… Bon ok, j’arrête là

16 réactions et commentaires

  • Seb92 // 23.06.2015 à 08h46

    En dessous de la deuxième vidéo « Prochaine intervention, le 6 juin »
    oO
    Le prochain 6 juin est dans 349 jours. D’ici là, la Grèce aura fait défaut, les producteurs d’huile de schiste américains auront mis la clé sous la porte, Podemos sera au pouvoir… Bon ok, j’arrête là

      +8

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  • jave // 23.06.2015 à 12h28

    Bonjour,
    Vous semblez ajouter le solde Target2 et les emprunts ELA et dire que la somme est ce que doit la Grèce. N’y a-t-il pas double comptage ? N’y a-t-il pas un lien entre les ELA et Target2, l’un finançant l’autre ? Je dis ça notamment à cause de cet article de ZeroHedge (http://www.zerohedge.com/news/2015-06-20/meanwhile-greece-quietly-printing-billions-euros; figure 4).
    Je ne comprends pas les détails du montage. Quelqu’un pourrait expliquer ?
    Merci.

      +0

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    • Surya // 23.06.2015 à 13h37

      target 2 c’est la dette vis à vis de l’€système du déficit de la balance des paiements intra zone €. ELA c’est la créance de la banque de grèce sur les banques grecques pour leur refinancement d’urgence.

        +1

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      • jave // 23.06.2015 à 15h01

        Merci Surya, mais tu ne m’expliques pas le lien entre les deux.

          +1

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        • Surya // 23.06.2015 à 16h36

          Le lien que je vois c’est en cas de run avec flux de capitaux sortants : des clients de banques grecques (ménages / entreprises) veulent retirer leur argent, la banque n’a pas de liquidités, donc elle se refinance en tirant sur sa ligne ELA.

          Ensuite si ce client fait un virement à l’étranger (en zone €) ça creuse la dette target 2 de la grèce vis à vis du pays récepteur (allemagne par exemple).

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          • jave // 23.06.2015 à 19h35

            Voilà c’est exactement ce montage financier dont j’aimerais (just for fun) comprendre les détails.

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            • Surya // 23.06.2015 à 20h05

              Ben y a rien d’autre à comprendre. Les déposants veulent envoyer leur épargne à l’étranger, et les banques utilisent l’ELA pour fournir les liquidités…

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            • jave // 24.06.2015 à 00h02

              Oui, d’accord et merci Surya pour cette explication très claire.
              Je suis sûr qu’il doit y avoir plein d’autres détails croustillants avec du collatéral, des décotes, la BCE, la banque de Grèce etc.
              Mais merci des réponses qui m’ont été utiles. Et comme vous le dîtes : y a rien d’autre à comprendre.

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  • theuric // 23.06.2015 à 16h33

    Le 6 Juin prochain, où en serons-nous?
    U.S.A.: ce pays n’existera plus, hormis sur la cote est où l’armée à pris le pouvoir, la cote ouest est pour une bonne partie abandonnée, les habitants de ce pays en décomposition souffrent, pour une grande majorité, de disette, voire de famine.
    La moitié de ses états ont pris leur indépendance, surtout au nord et au sud, pour se rapprocher de leur voisin, Canada et Mexique.
    Les université se sont quasiment vidé de leurs chercheurs et professeurs qui sont partis, qui en Asie, qui en Europe, qui en Amérique du Sud.
    Les troupe américaines réparties partout dans le monde sont soit devenues mercenaire, soit se sont installées dans le pays où elles étaient cantonnées, soit sont intégrées aux armées du pays, certains ayant même copié la légion étrangère française.
    Le pétrole venant à manquer, chacun dorénavant ne voyage plus qu’à cheval.
    Europe: L’union-Européenne et l’euro n’existe plus, sinon de fait, du-moins dans les décisions et lois de chaque nation souveraine, chacune s’étant peu ou prou débarrassé du ramassis de lois provenant de l’U.E. et qui les empêchait de reconstruire industriellement leur pays respectif après la catastrophe économique qui eut lieu fin 2015.
    Partout, des tickets de rationnement furent mis en place, surtout en Allemagne, en Hollande et en Angleterre où le manque de nourriture est le plus criant.
    Les populations maquent de tout, savon, batterie téléphone, pièces détachées de l’électroménager ou de l’automobile, eau de Javel, peinture, tous les métaux, de ciment, de tous les produits pétroliers, et j’en passe…
    Le commerce international commençant timidement une reprise de son activité, l’essence et le gasoil revient mais à un prix prohibitif.
    La France, avec son réseau de centrales nucléaires et de chemins-de-fer, ne s’en tire pas trop mal, cela lui a permis de mettre en place un ravitaillement à peu près correcte des populations, ce qui lui a permis d’économiser sur les carburants pour les distribuer aux organismes nécessaires, fournitures de nourritures, entreprises, armée, secours dont polices, pompiers, hôpitaux et ambulances, etc.
    Mais ce pays n’a pas pu échapper aux nombreuses émeutes, comme beaucoup de ses voisins.
    Partout en Europe l’agriculture a des problèmes en raison de la disparition des produits phytosanitaires, pour produire bio il faut laisser les sols se reposer pour qu’ils retrouvent une micro faune et flore à peu près correcte et pour les fruits, il faut, à l’ancienne, les emballer d’un fin film papier, or, le papier, comme beaucoup d’autre chose, n’est plus que rarement fabriqué.
    Dès cette année là ou, pire, pour l’année suivante, de nombreuses cultures et élevages sont rétablis à grandes échelles, le lin, la laine, les petits pois, les haricots, etc…, là encore, le processus est long et complexe à mettre en place.
    Il en est de même des industries.
    Rouvrir des mines, fabriquer de l’acier, de l’aluminium, si il a des réserves de bauxite, de la fonte, du papier, justement, du textile, de l’encre et tout le reste…, tout cela ne peut prendre que du temps, beaucoup de temps!
    Il n’est pas possible de faire autrement si le gouvernement, qui avait déjà perdu six mois en tergiversations imbéciles, veut qu’une industrie valide se remette en place.
    Sinon, il sera remplacé de grès ou de force.

    Je le redis, une fois le système économique mondialisé se sera effondré, et plus le temps passes plus cet effondrement sera rapide et désastreux, que le commerce mondial aura cessé de fonctionner, seul ce qui sera produit au sein de nos frontières pourra être utilisé.
    Nos voisins, dans une situation semblable à la nôtre, voire pire que la nôtre, ne nous seront d’aucun secours, chacun ne pourra que compter que sur lui-même au sein de ses frontières.
    Le peu qui sera échangé sera très très cher.
    Sinon, tous les gouvernements sauteront, d’une façon ou d’une autre.
    Contrairement aux U.S.A., nous avons tout de même des transports en commun assez étendu, sauf en certains coins de province où les gens, dans un premier temps, ne pourront que survivre en autarcie.
    En revanche, le système de paiement électro-informatique, monopole étasunien, pourrait très bien cesser de fonctionner assez rapidement, ce qui voudra dire que les cartes bancaires et les virements automatiques seront en panne.
    De plus, la rétention de l’argent liquide par un nombre croissant de banques laisse à prévoir, dans un premier temps, un manque de cette liquidité, sans compter que l’état devra amener des fortunes dans tous les coins de France et de Navarre, merci le T.G.V..
    Pire encore, les ordinateurs primaires d’internet se trouvent quasiment tous, là encore, aux U.S.A..
    L’effondrement de ce pays et de la cote est, dû, entre autre, à une grave sècheresse, laisse à prévoir, au mieux un ralentissement, au pire un arrêt du net, ne serait-ce qu’en raison d’un amoindrissement ou une cessation de la production d’électricité.
    Cela génèrera un traumatisme profond chez de nombreux jeunes et moins jeunes.
    Jeunes qu’il faudra former d’un ensemble de métier qui leur sont, pour la plupart, parfaitement inconnus, et que, pour certains, ne sont plus connus que par de rares vieillards et retraités.

    Bien que l’idée d’un tel effondrement commence à faire son chemin, je n’ai pas l’impression que beaucoup de gens comprennent et imaginent véritablement l’immense merdier devant lequel nous sommes.
    Pour tout dire, je ne sais même pas si la télévision par T.N.T. fonctionnera encore.
    Et ne parlons pas de la téléphonie 1, 2, 3, 4 ou n G qui risque fort de disparaître.

    Il faut dire que quand nous y réfléchissons un petit peu, la liste de ce qui disparaîtra peu paraître ahurissante: banques, assurances, sociétés de crédits, entreprises multinationales, grands magasins, Union-Européenne et, psychologiquement pire, U.S.A., plus de 50% des magasins de vêtement fermeront leur portes et celles en charge de l’immobilier, surtout de la vente, auront presque toutes disparu, et j’en oublie…
    Le fantastique poids de l’idéologie néolibéral rendra difficile, autant pour le personnel politique que pour son administration, de comprendre rapidement ce qu’il se passera à l’échelle nationale, européenne et mondiale, nous seront, dans les premiers temps, abreuvés d’un monceau de fadaises et d’imbécilités, quand aux décisions, elles seront, sauf bonne surprise, d’une bêtise crasse.

    Préparez-vous, faites des réserves pour vous, votre famille et pour faire du troc, retirez de l’argent liquide et mettez le au chaud, songez que pour vous chauffer, hormis l’électricité et le bois, le gaz et le mazoute risquent de manquer, ayez au moins un chauffage d’appoint électrique, si vous avez un jardin, commencez un potager et si vous le pouvez, ayez des poules.

    Enfin, moi, ce que j’en dis…

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    • Alain C // 23.06.2015 à 17h41

      Parfaitement d’accord avec tout ça, et depuis un certain temps déjà.

      Je ne pense pas toutefois que ça soit pour l’année prochaine.

      Mais ce scénario est très très réaliste pour d’ici…. quelque temps ??

      ou pas ?

      Ceci étant dit, vous perdez malheureusement votre temps, très, très peu de gens sont prêts à écouter ce discours, et encore moins à en tenir compte.

      mais vous n’êtes pas seul …. 🙂

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      • theuric // 23.06.2015 à 18h15

        Ce processus a déjà commencé par la désindustrialisation mondiale, ce fut la raison de la baisse du prix du pétrole.
        Sa remonté ne provenant que de sa baisse de production et même si les matières premières remontent en raison d’une réindustrialisation partielle (des réserves de pétrole à bas coût furent fait dans nombre de pays), celles de la nourriture, elles, ne remonte pas, ce qui montre la baisse de revenu de la population mondiale.
        Ce qui démontre, surtout, que ce qui est produit ne trouvera pas preneur.
        Le signe fort, à mon sens, sera lorsque le prix du pétrole recommencera à descendre, ne trouvant pas de graphique historique sur sa production, je ne peux m’appuyer que sur le prix pour mes réflexions.
        En revanche, dès que le système monétariste des crédits international sera touché, cet effondrement sera brutal et soudain.

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    • theuric // 23.06.2015 à 17h50

      Ensuite, de trois à cinq ans plus tard, les choses commenceront aller mieux.
      Les trois partis politiques qui, jusqu’à présent, nous gouvernait n’existeront plus, P.S., U.D.I., U.M.P. ne seront plus, Le F.N., qui aura changé de nom, nous montrera véritablement ce qu’il est, soit d’un extrémisme renouvelé sur des bases néolibérales qui saura accueillir les anciens néolibéraux des autres partis disparus.
      Ainsi, le paysage politique de la France aura rapidement et profondément changé.
      Sous divers formes, remontrons à la surface les trois mouvements du XIX° siècle, le bonapartisme, le républicanisme (auquel n’appartient pas l’U.M.P.) et une forme de libertaire démocratique et écologiste bien moins bon enfant que ceux d’aujourd’hui.
      L’armée et la religion reprendront leur ascendance sociale, ce n’est pas que je le souhaite ou le déplore mais que cela me semble logique, en raison même de la disparition des idéologies du XX° siècle, il s’est passé la même chose en Russie.
      Ce sera le réarmement qui feront repartir réellement les économies, françaises, européennes et mondiales, tout simplement parce que chacun réarmant, en raison même des désordres au sein de chacun des pays, le voisin réarmera inéluctablement.
      Et puis, les tensions grandissantes entre l’Inde et la Chine, les appétits impériaux des puissances régionales comme l’Afrique du Sud et le Brésil, pousseront les autres nations au réarmement.
      Comme un ressort qui se détend, ce qui était auparavant enfouit refera surface, il en sera ainsi autant des religions que du patriotisme, c’est pourquoi le retour du service militaire ne me paraît pas une absurdité.
      Souvenez-vous qu’un décideur, politique ou de tout autre sorte, fait lui-même parti du peuple, quand bien même se dirait-il internationaliste comme nos fortunés d’aujourd’hui, c’est du pipeau, en vrai nombre de décisions qu’il peut prendre est dans l’étroite bande de l’inconscient social du moment.
      Certain d’entre-vous qui, comme moi, participe ici en y déposant son commentaire ou n’en faisant que de l’y lire, risque de se surprendre d’aimer, voire de participer aux défilés au pas et aux levés du drapeau.
      Ce service militaire sera dédié, dans un premier temps, aux travaux des champs, puisque manquera la fourniture en produits pétroliers et donc la panne des tracteurs, les mains en nombre seront nécessaires, il n’y aura pas d’autre solution pour résoudre le problème dû à ce manque et si le pays veut éviter la famine.
      En fait, d’un service civique volontaire à obligatoire il n’y aura qu’un pas, puis du service civique au service militaire, le second pas ne restera plus qu’à être franchi.
      Ce qui permettra, en outre, d’encadrer un grand nombre de jeunes désœuvrés et au chômage.
      Ainsi que de les former aux métiers dont je vous ai entretenu plus haut.

      Surtout, notre société subira des transformations incroyablement rapide et importantes, sur toutes sortes de sujets, avec, parfois, des retours en arrières, parfois sur des bases très anciennes mais que seuls des historiens et/ou des sociologues sauront déchiffrer.
      Dans ces cinq ans là, nous verrons quels dangers nous devrons affronter, le plus grand sera un conflit entre l’Inde et la Chine qui pourrait devenir mondial.
      Quand à la technologie, aux découvertes scientifiques et à l’avancée du monde, nous pourrions être surpris, plus tard, si nous nous souvenons de ce que nous avons pu lire et écrire ici, de la transformation incroyablement rapide de notre société et de nos conception de l’univers.
      Quand dans quinze à vingt ans, à peine demain, les premiers vaisseaux s’affranchiront, d’une manière ou d’une autre, d’une vitesse de la lumière qui n’est peut-être qu’un peu plus compliquée à dépasser que n’était celle du son.

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    • Eric83 // 23.06.2015 à 19h43

      Je ne sais pas si l’effondrement qui se prépare entrainera les conséquences que vous prévoyez mais je partage votre analyse sur le fait qu’il sera brutal et qu’il bouleversera totalement nos modes de vie… si nous y survivons.

      Au vu de la soupe néolibérale, et des sujets sans importance réelle au vu de ce qui nous attend, servis dans les médias mainstream, je pense que malheureusement peu de personnes prennent la mesure du tsunami mondial qui arrive.

      NEn revanche, nous pouvons inviter nos entourages respectifs à chercher de l’information « alternative » sur des sites aussi riches que  » Les Crises ».

      Le choc psychologique créé lors de l’effondrement n’en sera que plus important et les êtres humains vont vite devoir remettre les pieds sur terre, au sens propre comme au sens figuré.

      L’avenir sera ce que nous en ferons et l’effondrement du système néolibéral actuel peut permettre – et c’est mon souhait – l’émergence d’un « nouvel ordre mondial » où l’être humain reprend sa place essentielle.

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  • K // 23.06.2015 à 21h35

    Alain Madelin (souvent brillant) fait remarquer que le problème de compétitivité grec ne peut être résolu que par une dévaluation ou une décision politique. Et que cet ajustement était jadis provoquée par une baisse de la valeur de la monnaie, elle même provoquée par la vente d’or de la banque centrale. Il fait remarquer que depuis l’euro, la déflation n’est plus provoquée par ce mécanisme de marché mais par une décision politique : les pays forts de la zone euro obligeant les pays moins compétitifs à baisser leurs coups salariaux.

    Donc les 2 procédés reviendraient au même… Et bien non, car lorsque vous abaissez la valeur de la monnaie, vous faites subir l’ajustement sur les détenteurs de monnaie et de créances à taux fixes. A l’inverse, si on fait subir l’effort déflationniste sur la baisse des salaire, ce sont les salariés qui trinquent.

    Autrement dit, soit on fait subir l’ajustement macro-économique par une dévaluation, et dans ce cas « on fait payer les riches » Ou bien on ajuste en baissant les salaires.
    L’euro a simplement remplacé la guerre des monnaies par la guerre des salaires.

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    • theuric // 23.06.2015 à 22h00

      Avec l’effet supplémentaire qu’arrivé à un certain niveau de baisse, les salariés ne peuvent plus acheter, hormis l’essentiel.
      Ce qui fat que les entreprises ne peuvent plus vendre à quiconque, ce qui ruine celles-ci ainsi que leur détenteurs, soit les plus riches.
      Aujourd’hui à l’échelle mondiale.

        +2

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      • RGT // 24.06.2015 à 19h59

        Bonjour theuric

        Votre commentaire nous incite, en cette époque néolibérale, à regretter le Fordisme.

        A défaut d’un système permettant réellement une juste répartition des richesses produites, c’est déjà moins pire que le néo-libéralisme qui capte tous les profits sans rien donner en échange.

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