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24.novembre.202124.11.2021
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Hacking Justice : Projection du film le 26/11 + Intervention d’Olivier Berruyer

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Ce vendredi 26 novembre à 20h, vous êtes conviés à une soirée exceptionnelle à l’espace Saint-Michel (Paris, 5ème) autour de la projection du film « Hacking Justice » sur Julian Assange.

La projection du film sera suivie d’une intervention du journaliste américain Chris Hedges, en DUPLEX des États-Unis.

Journaliste et auteur états-unien, ancien correspondant de guerre (Amérique centrale, Balkans, etc.), Chris Hedges a travaillé au New York Times pendant quinze ans. Récompensé du prix Pulitzer pour un article sur le terrorisme, contributeur de la presse indépendante (dont Truthdig et ScheerPost), il anime l’émission « On Contact » sur la chaîne RT, a enseigné dans plusieurs universités et publié une quinzaine de livres. Il apparait dans Howard Zinn, une histoire populaire américaine de Olivier Azam et Daniel Mermet.

Nous espérons vous y voir nombreuses et nombreux !

Commentaire recommandé

RGT // 24.11.2021 à 10h13

Informer, oui, mais pour quel résultat ?
Les dirigeants s’en foutent car ils ont la « légitimité » de le faire.

Même si des manifs monstres avaient lieu sur le territoire des USA ça ne changerait absolument RIEN.

Le seul moyen efficace que puisse avoir la population pour se défendre contre les décisions dictatoriales des gouvernements consisterait à faire subir à tous ceux qui participent activement ou passivement à ces répressions de lanceurs d’alerte et de diffuseurs d’information sur les actions les plus nauséabondes des « dirigeants bienveillants » serait simplement de leur faire subir ce qu’ils font subir à tous ceux qui dénoncent leur comportement scandaleux.

N’oublions JAMAIS qu’ils ont acquis la « légalité » de leurs crimes en votant eux-mêmes les lois qui leur permettent de le faire.

Chez les « gueux » il n’en va pas de même : Si vous décidez d’un coup que vous pouvez « légalement » vous approprier par la force les biens d’autrui ou de trucider qui bon vous semble ou ceux qui dénoncent vos pratiques vous risquez fort de vous retrouver incarcéré jusqu’aux calendes grecques.

Encore une preuve (parmi des millions d’autres) que les « gouvernements démocratiques » ne sont qu’une fumisterie destinée à faire croire à la population que les dirigeants sont « bienveillants ».

Et si d’aventure la population décidait de « siffler la fin de la récré » les dirigeants lanceraient une répression d’une violence infinie en se servant des lois qui « protègent la sûreté de l’état »…

Quand la loi n’a pas besoin d’être approuvée par la population ça s’appelle une dictature.

2 réactions et commentaires

  • RGT // 24.11.2021 à 10h13

    Informer, oui, mais pour quel résultat ?
    Les dirigeants s’en foutent car ils ont la « légitimité » de le faire.

    Même si des manifs monstres avaient lieu sur le territoire des USA ça ne changerait absolument RIEN.

    Le seul moyen efficace que puisse avoir la population pour se défendre contre les décisions dictatoriales des gouvernements consisterait à faire subir à tous ceux qui participent activement ou passivement à ces répressions de lanceurs d’alerte et de diffuseurs d’information sur les actions les plus nauséabondes des « dirigeants bienveillants » serait simplement de leur faire subir ce qu’ils font subir à tous ceux qui dénoncent leur comportement scandaleux.

    N’oublions JAMAIS qu’ils ont acquis la « légalité » de leurs crimes en votant eux-mêmes les lois qui leur permettent de le faire.

    Chez les « gueux » il n’en va pas de même : Si vous décidez d’un coup que vous pouvez « légalement » vous approprier par la force les biens d’autrui ou de trucider qui bon vous semble ou ceux qui dénoncent vos pratiques vous risquez fort de vous retrouver incarcéré jusqu’aux calendes grecques.

    Encore une preuve (parmi des millions d’autres) que les « gouvernements démocratiques » ne sont qu’une fumisterie destinée à faire croire à la population que les dirigeants sont « bienveillants ».

    Et si d’aventure la population décidait de « siffler la fin de la récré » les dirigeants lanceraient une répression d’une violence infinie en se servant des lois qui « protègent la sûreté de l’état »…

    Quand la loi n’a pas besoin d’être approuvée par la population ça s’appelle une dictature.

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  • mig30 // 24.11.2021 à 19h57

    Bonjour RGT,

    « Le seul moyen efficace que puisse avoir la population pour se défendre contre les décisions dictatoriales des gouvernements consisterait à faire subir à tous ceux qui participent activement ou passivement à ces répressions de lanceurs d’alerte et de diffuseurs d’information sur les actions les plus nauséabondes des « dirigeants bienveillants » serait simplement de leur faire subir ce qu’ils font subir à tous ceux qui dénoncent leur comportement scandaleux. »

    Répondre à la violence subie par la même violence retournée sur l’envoyeur c’est devenir comme lui.
    Camus nous l’a bien pointé: le révolutionnaire ne doit pas légitimer le crime, son crime.

    De même Lordon annonce une « guerre civile » inévitable car, ne se laissant pas déposséder, il faudra « leur passer sur le corps ». Et bien non, la solution ne dois pas être celle-là; mais il en faut nécessairement une.

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