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25.janvier.201825.1.2018
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[Vidéo Les-crises] Financement du Terrorisme (3/4) : Ripostes, normes et extra-territorialité

Suite du colloque sur le Financement du Terrorisme organisé par le CF2R, le 5 décembre 2017. Table ronde avec Marie-Christine Dupuis-Danon et Michel Debacq : Ripostes, normes et extra-territorialité Source : Youtube, 05-12-2017
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Suite du colloque sur le Financement du Terrorisme organisé par le CF2R, le 5 décembre 2017.

Table ronde avec Marie-Christine Dupuis-Danon et Michel Debacq : Ripostes, normes et extra-territorialité

Source : Youtube, 05-12-2017

Commentaire recommandé

Owen // 25.01.2018 à 10h53

Les explications de Marie-Christine Dupuis-Danon me laissent sur ma faim, d’autant plus que d’autres intervenants avaient déjà avancé des informations plus précises.
J’ai compris la difficulté à lutter devant la multiplication des moyens technologiques de financements criminels et terroristes. Et la lutte les moyens concentrés mais peu onéreux d’un attentat pouvant surgir n’importe où n’est pas la même que ceux importants mais diffus de l’empowerment via des organisation utiles mais idéologiquement poreuses.

J’ai été frustré des explications sur le financement de l’Etat Islamique: le pillage de la banque de Mossoul pour mise de fonds, puis la prédation sur les ressources et l’économie de l’Irak et de la Syrie. A défaut d’indiquer des financeurs en amont (ce que les autres intervenants ont fait), elle aurait pu indiquer qui ont été les clients du pétrole pillé pendant l’occupation.

Ou alors qu’elle pose les moyens et limites technologiques, juridiques et diplomatiques, à la lutte contre le financement. Et qu’elle désigne où sont les freins actuels.

6 réactions et commentaires

  • Owen // 25.01.2018 à 10h53

    Les explications de Marie-Christine Dupuis-Danon me laissent sur ma faim, d’autant plus que d’autres intervenants avaient déjà avancé des informations plus précises.
    J’ai compris la difficulté à lutter devant la multiplication des moyens technologiques de financements criminels et terroristes. Et la lutte les moyens concentrés mais peu onéreux d’un attentat pouvant surgir n’importe où n’est pas la même que ceux importants mais diffus de l’empowerment via des organisation utiles mais idéologiquement poreuses.

    J’ai été frustré des explications sur le financement de l’Etat Islamique: le pillage de la banque de Mossoul pour mise de fonds, puis la prédation sur les ressources et l’économie de l’Irak et de la Syrie. A défaut d’indiquer des financeurs en amont (ce que les autres intervenants ont fait), elle aurait pu indiquer qui ont été les clients du pétrole pillé pendant l’occupation.

    Ou alors qu’elle pose les moyens et limites technologiques, juridiques et diplomatiques, à la lutte contre le financement. Et qu’elle désigne où sont les freins actuels.

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  • Brigitte // 25.01.2018 à 12h51

    Je ne veux rien dévoiler mais à mon avis le mieux est la conclusion à la fin de la dernière vidéo (4/4). J’ai été d’ailleurs surprise par cette conclusion mais dans le bon sens du terme.
    A méditer….et on en reparle.

      +2

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    • Owen // 25.01.2018 à 13h31

      Je crois comprendre ce que vous pensez et si tel est le cas, je vous rejoins.

      Mon regret est la contribution faible de Marie Christine Dupuis-Danon parmi les intervenants, alors que les attentes étaient fortes à son endroit eu égards à ses fonctions et l’intitulé du colloque.
      Je n’ai rien contre elle, je sais la difficulté de l’exercice pédagogique et du risque personnel, mais cela peut voiler l’engagement des autres qui ont mouillé leur chemise pour honorer ce colloque. (Moi, c’est Alain Chouet qui m’a fait le plus avancer).

        +2

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  • christian gedeon // 25.01.2018 à 17h30

    Pour bien comprendre ce qui se passe,il faut quitter le champ des grandes théories et rester très terre à être et très près du terrain.La prise de Mossoul par l’EI,c’est l’histoire d’un gigantesque bordel,pour l’essentiel,et quoiqu’on en pense,local. sans le concours actif de la population de Mossoul dans sa grande majorité,et de tribus sunnites alentour appâtées par le rezzou et le pillage,Mossoul ne serait pas tombée aussi facilement.Mossoul a été prise autant de l’intérieur que de l’extérieur,et le motif primaire n’était pas « l’islamisme  » mais le vol et le viol,c’est comme çà. et c’est ce qui s’est passé. le financement de l’état islamique a été aussi bien endogène qu’éxogène,et « la banque d’Irak  » n’est qu’une des facettes de ce financement…le business ne s’est jamais arrêté,pétrole,trafics divers et variés,vente des femmes et d’enfants et j’en passe et des pires.On veut toujours des explications « géopolitiques  » qui voguent dans les cîmes de la pensée. la réalité est bien plus prosaïque et horrible,qu’on se le dise.

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    • Owen // 26.01.2018 à 04h46

      J’ignorais que quand les lois sociales et juridiques ne tiennent plus, ce sont les lois du crime qui s’imposent.
      Je vous remercie de vos lumières.

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      • Christian Gedeon // 26.01.2018 à 13h28

        Ce n’est pas une question de loi de ceci ou cela,mais de réalité sur le terrain. À partir du moment où il n’y a plus d’état,plus de force coercitive ,la seule règle est celle du plus fort.En Irak ou ailleurs. si demain en France,l’état devait s’écrouler,nous aurions exactement les mêmes conséquences…pillage,violences,viols et esclavage…ne vous faites aucune illusion.

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