Les Crises Les Crises
4.octobre.20114.10.2011 // par Olivier Berruyer

Intervention média : BFM Radio, Les Experts, n°3 – 3 octobre

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Pour information, le sympathique Nicolas Doze m’a de nouveau invité à son émission Les Experts ce lundi 3 octobre à 9h00, sur BFM Business (la radio filmée, pas BFM TV).

Je tiens à le remercier, peu de médias laissent vraiment de la place aux voix dissonantes dans le bourrage de crane ambiant, c’est donc tout à son honneur et à celui de BFM Business…

Rappelons-le : pas de démocratie sans information claire, donc sans journalistes courageux…

Voici l’émission :

Vous pouvez aussi la podcaster en mp3 ou l’écouter ici :


N’hésitez pas à réagir en direct par mail sur cette émission via ce lien – il consulte bien les mails en direct 😉 :

http://www.bfmbusiness.com/programmes-replay/emission/les-experts

(cliquez sur Contacter l’émission sous le logo)

34 réactions et commentaires

  • Sly // 29.09.2011 à 17h24

    Excellente émission effectivement.
    Les anciennes émissions sont téléchargeables
    Pas besoin de les enregistrer 😉

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  • Nicolas // 30.09.2011 à 03h29

    je vais me permettre un conseil (no offense comme on dit en anglais). Je trouve que vous devriez surtout essayer de donner des idées de solutions pour corriger le système.
    je reconnais que de nombreuses personnes n’ont pas encore réalisé la criticité de la situation actuelle et c’est déjà très très bien de faire comprendre qu’il est vital de changer les règles du ‘jeu’ (si on peut appeler ça un jeu). à titre d’information je viens de voir une vidéo d’un trader ‘honnête’ dans le sens où il dit clairement ce qu’il pense (allez la voir sur le site ‘minuit moins une’, c’est complètement dingue et je ne comprends pas que cela ne fasse pas réagir nos politiques).
    Mais il faut aussi essayer de proposer de nouvelles règles, c’est important pour être crédible vis à vis des gens qui vont vous découvrir peut être pour la première fois.
    Encore une fois, no offense.
     

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    • step // 30.09.2011 à 09h38

      j’ai aussi vu le trader en question (sur internet). Pas à priori un yes men, c’est vraiment la première idée qui m’est venue en tête (en général, ils revendiquent leurs actions). Pas à priori un gros trader non plus, il n’est pas « connu » dans le milieu. Mais un petit freelance. C’est peut être d’ailleurs pour ça qu’il dit exactement ce qu’il pense. la banalité du mal dans toute sa splendeur.

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  • seb1207 // 30.09.2011 à 08h01

    je vais programmer l’enregistrement sur la freebox, je vous tiens informé

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  • BA // 30.09.2011 à 20h46

    Un seul conseil : ne t’énerve pas, ne parle pas trop vite, articule bien, parce que quand tu t’énerves, tu te mets à parler comme une mitraillette, alors reste calme du début à la fin.

    Vendredi 30 septembre 2011 :
     
    Trois banques espagnoles valorisées à quasiment zéro euro.
     
    La Banque d’Espagne a repris trois caisses régionales espagnoles vendredi, mais leur valorisation quasiment nulle fait craindre que l’Etat doive trouver encore d’autres capitaux pour couvrir les pertes liées aux actifs immobiliers toxiques détenus par les « cajas ».
     
    Les trois banques sont NCG Banco, Catalunya Bank et Unnim Banc. La Banque d’Espagne a évalué les deux premières à 0,1 leur valeur comptable, et elle a payé un euro symbolique pour la troisième.
     
    Ensemble, ces trois banques, qui n’ont pas réussi à attirer des capitaux privés et ont donc dû être de fait nationalisées, pèsent à hauteur de 7 % du système bancaire espagnol.
     
    http://www.boursorama.com/actualites/trois-banques-espagnoles-valorisees-a-quasiment-zero-euro-7b7727fd37f7e92f14fd35aefafb45aa

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  • JPS1827 // 03.10.2011 à 07h57

    Bravo ! vous avez vraiment été excellent ce matin.

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  • Nicolas // 03.10.2011 à 09h57

     
    Bravo pour le débat de ce matin, beaucoup de bons sens. il est très intéressant de rappeler que l’on s’est tous assis sur les bases de Bretton Woods grâce à Thatcher et Reagan (j’aurais bien aimé qu’ils soient cités car ce sont eux à la source de cette déréglementation suicidaire, je me souviens encore du titre du times  » big bang »).
    « Tous système dérégulé va à la faillite et on y est. » Bravo !!
    Très instructif aussi de rappeler que l’Allemagne n’est peut être pas un si bon modèle car ils ont autant de dettes que nous et leur ‘richesse’ est issue d’une baisse des salaires.
    Mais je ne sais pas si on ne devra pas en passer par là. D’où la nécessite d’une ‘juste’ répartition des richesses si on veut pas que notre coefficient de gini dépasse celui de l’Afrique du sud ….
     
     
     

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  • step // 03.10.2011 à 22h01

    désolé olivier, pas d’analyse pour le moment, je n’arrive pas à lire la vidéo sur le site de BFM (ça coupe puis plus rien). Je n’ai pas ce problème sur le site, je verrais si je pourrai l’écouter demain au boulot pendant le repas.
     
     

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    • step // 04.10.2011 à 23h50

      juste un commentaire de forme, il se fait tard : les « oui oui, c’est ça » en fond sonore passent mal.  Je n’ai pas de solution miracle pour permettre d’indiquer vos accords ou désaccords, mais cela m’a gêné dans l’écoute de ce très bon débat.

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  • swokedav // 04.10.2011 à 08h11

    J’ai écouté le podcast hier, comme tout les jours et vous avez en effet été très bon. 
    J’ai particulièrement aimé votre intervention sur l’Allemagne, dénonçant son dumping salarial qui, couplé à la montée en gamme, s’avère d’une efficacité redoutable, mais qui si était appliqué par d’autres pays européen engendrerait un nivellement vers le bas des salaires aux conséquences économiques et sociales explosives …  

    C’est une opinion allant à contre courant de la masturbation collective sur l’Allemagne, celà mérite d’être signalé.

    Ceci dit, cette politique de dumping salarial mené par l’Allemagne trouvera bientôt fin avec l’inévitable monétisation des dettes publiques et l’inflation qui en découlera.
    Inflation qui fera voler en éclat le consensus allemand basé sur un coût de vie stable et inférieur au notre, permettant de rendre soutenable par le peuple le gel des salaires depuis des années. 

    @swokedav
     

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  • François78 // 04.10.2011 à 08h48

    Très bon débat, avec des interventions de bon niveau. 

    Les intervenants ont leur orientation plus ou moins marquée (cf.  Henri Pigeat) mais c’est le jeu.

    Je découvre un peu Nicolas Doze : très bien, attentif à la distribution de la parole et au maintien des thèmes abordés, très dynamique et suffisamment neutre. A voir et revoir.

    Concernant ces thèmes ceux sur « la position de l’Allemagne », « l’Europe depuis Maastricht »  et la « gouvernance des banques » sont centraux, et pas toujours abordés comme dans ce débat (j’ai bien aimé Philippe Lentschener et son approche).

       

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  • Manu // 04.10.2011 à 09h48

    Bonjour,

    Je continue sur la lancée en vous disant bravo pour vos interventions. 

    Ce qui me chagrine un peu, suivant BFM depuis plusieurs années, c’est que j’ai l’impression que cette émission devient de plus en plus courte avec les coupures. (Je crois d’ailleurs que c’était 2 heures de temps avant mais je n’en suis pas sur). Je trouve que BFM devrait laisser plus de temps aux experts. 

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  • cgebe // 04.10.2011 à 11h08

    Bonjour
    Analyse tres réaliste,et débat trés respectueux
    envers chacun des intervenants !
    MERCI !!! Olivier !
    Merci à Nicolas DOZE!
    Merci a BFM !
    EXCELLENT !!!! La parole se Libére (pour > ,je l’espére vivement prendre enfin notre destin en mains .
    a suivre!!!

    Tres Cordialement.

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  • dauzet // 04.10.2011 à 11h52

    Excellent ! Tout le symbole d’une génération qui en a marre des salades politiquement  correctes !
    C’est Jorionniste … 

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  • PAD // 04.10.2011 à 12h43

    Des idées essentielles qui pourrait faire l’objet d’un billet :

     » Je dénonce l’espèce d’enfumage ou on essaye de mettre ensemble l‘idée européenne, l’Euro, et les pertes actuelles entre un Etat qui emprunte face à des prêteurs privés »

    « On va se porter au secours de la Grèce alors qu’on va se porter essentiellement au secours des prêteurs de la Grèce, ce n’est pas aux contribuables européen de payer pour ça »

    Quel serait le calcul exact entre prise des pertes pour les prêteurs et plans de soutien à la charge des contribuables  ?

     

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    • Manu // 04.10.2011 à 14h50

      Le soucis est que les prêteurs à la Grèce c’est surement les épargnants Européens donc surement vous et moi.

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      • Sirus // 04.10.2011 à 15h02

        Rien ne t’oblige a continuer a preter ton epargne a ta banque, si tu n’as plus confiance en elle…

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    • PAD // 04.10.2011 à 15h26

      C’est exact pour un grand pourcentage de la dette et c’est l’effet domino tant redouté… Peu de pays pourront rembourser leurs dettes dans les mois, trimestres et années à venir !
      L’heure de psychanalyser notre « science – économique » est venue 🙂  et cela commence, à mon sens, par une mise à plat des dettes mondiales !
       

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  • Daniel // 04.10.2011 à 16h43

    Très bonne émission, beaucoup de choses vraies et importantes ont été dites par l’ensemble des intervenants.

     Je pense que l’europe veut éviter le défaut grec parceque les cds feraient sauter les banques américaines, donc en fait les usa font pression sur l’europe pour qu’elle assume les pertes greques pour de faux pretextes. Je me trompe ?

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  • MBO CH // 04.10.2011 à 18h48

    Excellente émission ou l’analyse de la situation a été abordée de front et sur le fond.

    J’admet que vos interventions, Monsieurs Berruyer, sont percutantes et forcent à réfléchir. Par comparaison je trouve que certaines autres émissions, avec Alain Madelin notamment, sont beaucoup moins constructives et, au final, beaucoup plus déprimantes.

    Non pas que je n’aime pas ce monsieur Madelin ou que je suis en total désacord avec ses analyses, mais il reste beaucoup trop libéral et flou à mes yeux dans le contexte actuel. Surtout il n’a jamais clairement dit ce qui me semble évident :

    1) A moins de monétiser de manière irraisonnée il y aura un défaut inéluctable de plusieurs pays et pas seulement de la grèce … la france, l’angleterre, les US, l’allemagne aussi sont concernés à terme, quoi qu’on en dise.

    2) Il convient d’admettre cela même si ça fait mal (et ça fera très mal)

    3) Il convient d’admettre que les investisseurs privés doivent assumer leurs pertes parce que c’est ça le capitalisme, point barre ! 

    Tout particulièrement sur le 3ième point, Monsieur Madelin ne s’est jamais prononcé. Ceci le discrédite indubitablement à mes yeux.

    En dehors de ça je trouve que Monsieur Doze s’améliore de plus de plus. Très bonne performance de sa part sur cette émission.   

          

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  • Moi // 04.10.2011 à 21h22

    J’ai été étonné par la qualité du débat et des intervenants (animateur y compris). Je me disais qu’un tel débat il y a encore deux ans était totalement impossible. Tout le monde d’accord à la fin pour nationaliser les banques, au moins temporairement ou d’une manière douce, j’en revenais pas. Tout le monde pour avoir une vision juste du débat sur l’Europe, sans diabolisation des nonnistes et même en rappellant qu’ils avaient gagné les référendums, là j’en suis tombé de ma chaise. Olivier, vous avez même dit à un moment qu’on tentait de sauver non pas les grecs mais les prêteurs des grecs et qu’il fallait peut-être que ces prêteurs prennent leurs pertes à leur charge et tout le monde d’acquiescer plus ou moins, waow. Tout ça sur BFM…
    Au passage: vos interventions étaient excellentes, claires, précises, percutantes. Ceci dit, parce qu’il faut bien une critique: amha, le keynésianisme ne pourrait pas nous sauver cette fois. Le problème écologique suffit à le prouver, la relance par la consommation n’est plus une solution.

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  • BA // 04.10.2011 à 21h27

    Tu as été meilleur que la dernière fois : continue à rester calme, ça passe mieux.

    Mardi 4 octobre 2011, vers 23 heures : 
     
    Un événement d’une importance historique :
     
    Italie : Moody’s abaisse la note souveraine de la dette italienne.
     
    L’agence d’évaluation financière américaine Moody’s a annoncé mardi qu’elle abaissait à A2 la note souveraine de l’Italie, contre Aa2 auparavant, en raison des risques pour le financement sur les marchés de la dette à long terme, de l’atonie de l’économie et des incertitudes politiques.
     
    Moody’s a assorti sa décision d’une perspective négative, ce qui signifie qu’elle pourrait encore abaisser la note des obligations d’Etat italiennes à l’avenir.
     
     
    http://www.romandie.com/news/n/_Italie_Moody_s_abaisse_la_note_souveraine_de_la_dette_italienne041020112310.asp

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  • BA // 05.10.2011 à 19h21

    Le patron de Dexia s’appelle Pierre Mariani : c’est un proche de Nicolas Sarkozy.
     
    En 2010, Pierre Mariani a gagné 1 809 411 euros.
     
    http://www.lesechos.fr/diaporamas/voir_diaporama.php?id_diap=DIAP290411932_114660
     
     
    A propos de Pierre Mariani, voici un extrait de Wikipedia :
     
    Le successeur d’Axel Miller, Pierre Mariani, un proche de Nicolas Sarkozy, s’est octroyé un salaire fixe en hausse de 30 % par rapport à Axel Miller.
     
    Le conseil d’administration de Dexia a accepté «à l’unanimité» le 13 novembre 2008 de porter à un million d’euros le salaire annuel du directeur général et de fixer à 2,25 millions d’euros son bonus maximum. Axel Miller ne touchait «que» 825 000 euros de fixe, et son bonus était plafonné à 1,8 million d’euros.
     
    C’est le comité des rémunérations, composé notamment de Denis Kessler, ex-numéro 2 du Medef, et d’Augustin de Romanet, directeur général de la Caisse des dépôts, qui a fait ses propositions.
     
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Dexia#Salaire_de_Pierre_Mariani

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  • Jacques Coeur // 06.10.2011 à 09h48

    Une émission instructive où votre participation y a été pour beaucoup. Cependant, je rejoins l’opinion de certains de mes camarades du blog, et il me semble que vous y gagnerez en persuasion et en compréhension si vous posiez d’avantage le débit de vos propos.

    Concernant l’article 125 du traité de Lisbonne que vous mentionnez lors d’une vos interventions et que je reproduis ici :

    « La Communauté ne répond pas des engagements des administrations centrales, des autorités régionales ou locales, des autres autorités publiques ou d’autres organismes ou entreprises publics d’un État membre, ni ne les prend à sa charge, sans préjudice des garanties financières mutuelles pour la réalisation en commun d’un projet spécifique. Un État membre ne répond pas des engagements des administrations centrales, des autorités régionales ou locales, des autres autorités publiques ou d’autres organismes  ou entreprises publics d’un autre État membre, ni ne les prend à sa charge, sans préjudice des garanties financières mutuelles pour la réalisation en commun d’un projet spécifique. »

    vous dites que nous ne le respectons pas dès lors que nous intervenons dans la dette Gecque. Ceci dit, je note dans l’article l’expression « sans préjudice ». Ce peut-il que cette expression remette en cause vos propos puisque légitimant l’intervention ?
     

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  • BA // 06.10.2011 à 20h25

    En Belgique, Didier Reynders est Vice-Premier ministre, Ministre fédéral des Finances et des Réformes institutionnelles.
     
    Vendredi 15 juillet 2011, Didier Reynders écrit un article à pleurer de rire :
     
    « Je me réjouis de la transparence accrue des résultats des stress tests, réussis par KBC et Dexia.
     
    En Belgique, KBC Banque et Dexia ont participé directement aux tests de résistance organisés à l’échelle européenne. J’ai pris connaissance des résultats de ces tests et je me réjouis de la transparence accrue liée à la publication de ces résultats et à la divulgation des risques souverains des groupes bancaires participants.
     
    Ces tests montrent que les deux banques disposent d’une capitalisation suffisante, bénéficiant de ratios Core Tier 1 nettement supérieurs au taux de référence de 5 % du scénario de stress.
     
    La détermination à prendre des mesures importantes pour répondre à la façon dont les investisseurs perçoivent la faiblesse prolongée du secteur bancaire européen constitue une partie importante de la réponse globale à la crise, telle qu’approuvée par le Conseil européen. 
     
    Dans ce contexte, les objectifs du test de résistance mené à l’échelle européenne auprès de 90 banques pour la période 2011-2012 est d’évaluer la résistance du système bancaire européen dans des situations extrêmes.
     
    On notera que les tests de résistance qui constituent un élément normal de l’ensemble des instruments de contrôle des autorités de supervision, ne représentent pas une prévision. Le test de résistance vise à donner des moyens d’évaluer la résilience des banques participantes face aux pressions exercées sur la solvabilité dans une situation de stress plausible mais improbable. 
     
    Les résultats de ce test permettent ainsi de savoir si le niveau de capitalisation des banques est suffisant pour résister à des conditions économiques et financières extrêmement défavorables, qui ne reflètent pas les évolutions attendues. »
     
    http://www.didierreynders.be/2011/07/15/je-me-rejouis-de-la-transparence-accrue-des-resultats-des-stress-tests-reussis-par-kbc-et-dexia/

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  • RST // 07.10.2011 à 10h16

     
    Je vous ai vraiment trouvé très bon, à croire que vous avez fait ça toute votre vie.
    Vous avez eu des accents « Lordoniens » : socialisation des banques (système socialisé du crédit de Lordon), sécurité financière au même niveau que la sécurité nucléaire (je n’ai pas retrouvé la métaphore de Lordon sur le sujet) mais aussi des formules choc bien à vous : « principe généralisé d’imprudence »
    Le présentateur fait honneur à la corporation des journalistes ( qui en a bien besoin) en permettant à ce genre de débat d’avoir lieu et en n’invitant pas les vedettes habituelles du cirque economico-politico-médiatique.
    Vous avez réussi à exprimer des idées fortes en peu de temps ce qui tendrait à contredire F.Lordon qui considère que l’on ne peut s’exprimer dans ce type de format.
    J’espère que cette visibilité que vous avez acquise ne vous montera pas à la tête comme cela a pu être le cas pour d’autres (suivez mon regard du côté de la Belgique) et vous continuerez à faire entendre une voix « orthodoxe » afin de permettre que les choses évoluent dans le bon sens.
     

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  • MARIE // 08.10.2011 à 05h59

    merci beaucoup de faire découvrir au néophyte que je suis les coulisses de l’économie et des crises que nous traversons. Continuez je vous félicite.

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  • Nihil // 10.10.2011 à 14h47

    C’est à mon sens la meilleure des trois émissions auxquelles tu as participé. Chaque intervenant a exposé son point de vue « de sa fenêtre » comme dit Ph. Lentscheneer ce qui permet de bien embrasser les sujets et chaque vision fut intéressante et sainement argumentée, sans a priori ou dogmatisme, malgré des cultures différentes. Aucun maillon ne fut faible, d’où l’excellente qualité de l’échange.
    Je partage les commentaires faisant état de ton élocution en progrès sensible (mais qui suis-je pour juger comme ça…? ;-)).
    Et bravo pour ta redéfinition du PIG: principe d’imprudence généralisée ! Ta formule aura du succès, j’espère (N. Doze a apprécié en tout cas).
    Un dernier mot pour reconnaître, à l’instar de RST, le professionalisme de Nicolas Doze, qui visiblement lit ce blog et tient compte de nos remarques quand il t’invite 🙂 . Vivement mercredi 12 ! 

    PS: il faut aussi songer à aller dépoussiérer « C dans l’air » dans quelque temps ! 😉

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