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6.août.20146.8.2014 // Les Crises

La véritable raison pour laquelle les États-Unis se préoccupent tant de l’Ukraine tout en se foutant éperdument des Ukrainiens, par le général Jean-Bernard Pinatel

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Les États-Unis, depuis le début des troubles en Ukraine, se sont clairement positionnés contre les pro-russes. Un soutien aux relents de guerre froide, qui n’a rien à voir avec les intérêts des Ukrainiens.

Jean-Bernard Pinatel
Général (2S) et dirigeant d’entreprise, Jean-Bernard Pinatel est un expert reconnu des questions géopolitiques et d’intelligence économique.

Il est l’auteur de Carnet de Guerres et de crises, paru aux éditions Lavauzelle en 2014.

Il anime aussi le blog : Géopolitique-Géostratégie

 

Atlantico : Les États-Unis déploient beaucoup d’énergie pour identifier les auteurs de l’attaque contre l’avion de la Malaysian Airlines et ont été très prompts à montrer du doigt les pro-russes. Quel intérêt ont-ils à leur faire porter le chapeau ?

Général (2S) Jean-Bernard Pinatel : Dès la chute du mur de Berlin en novembre 1989, les stratèges et les hommes politiques américains ont perçu une menace principale : c’est qu’un rapprochement puis une alliance entre l’Europe et la Russie ne contesterait la suprématie mondiale des États-Unis qui leur permet, en toute impunité, de s’immiscer dans les affaires intérieures d’un pays, voire de lui faire la guerre et d’imposer un droit international conforme à leurs intérêts comme la encore récemment montré l’affaire de la BNP.

Cette réalité incontestable nécessite un rappel historique pour être admise.

Zbigniew Brzezinski

En 1997, l’ancien conseiller national à la sécurité des États-Unis, Zbigniew Brzezinski, publia sous le titre « Le grand échiquier » un livre où adoptant les deux concepts, forgés par Mackinder, d’Eurasie et de « Heartland ». Il reprenait à son compte sa maxime célèbre : « qui gouverne l’Europe de l’Est domine l’Heartland ; qui gouverne l’Heartland, domine l’Ile-Monde ; qui gouverne l’île-Monde domine le Monde« . Il en déduisait : « Pour l’Amérique, l’enjeu géopolitique principal est l’Eurasie ». Dans une autre publication(1), il explicitait sa pensée: « Si l’Ukraine tombait, écrivait-il, cela réduirait fortement les options géopolitiques de la Russie. Même sans les états de la Baltique et la Pologne, une Russie qui garderait le contrôle de l’Ukraine pouvait toujours aspirer avec assurance à la direction d’un empire eurasien. Mais, sans l’Ukraine et ses 52 millions de frères et sœurs slaves, toute tentative de Moscou de reconstruire l’empire eurasien menace d’entraîner la Russie dans de longs conflits avec des non slaves aux motivations nationales et religieuses ».

Entre 2002 et 2004, pour mettre en œuvre cette stratégie, les États-Unis ont dépensé des centaines de millions de dollars afin d’aider l’opposition ukrainienne pro-occidentale à accéder au pouvoir. Des millions de dollars provinrent aussi d’instituts privés, comme la Fondation Soros et de gouvernements européens. Cet argent n’est pas allé directement aux partis politiques. Il a transité notamment par des fondations et à des organisations non gouvernementales qui conseillèrent l’opposition, lui permettant de s’équiper avec les moyens techniques et les outils publicitaires les plus modernes. Un câble américain du 5 janvier 2010, publié sur le site Wikileaks (réf. 10WARSAW7), montre l’implication de la Pologne dans la transition et l’effort démocratique des anciens pays de l’Est. Le rôle des ONG y est notamment exposé (2). Les câbles Wikileaks témoignent de l’effort constant et de la volonté continue des États-Unis d’étendre leur sphère d’influence sur l’Europe de l’Est, comme en Ukraine.

L’Ukraine connaît une véritable guerre civile. Pourtant personne en Occident ne dénonce l’ardeur avec laquelle le gouvernement ukrainien tente de mater les séparatistes. Quel est le réel intérêt des Américains à fermer les yeux sur cette réalité et à soutenir le gouvernement ukrainien ? Qu’ont-ils à y gagner ?

L’État ukrainien est une construction de Staline et n’existe de manière indépendante que depuis 1990, à l’issue de la dislocation du bloc soviétique. Il n’a existé auparavant qu’entre 1917 et 1921, entre la chute du Tsarisme en 1917 et la victoire des bolchevicks qui ont éclaté cet Etat naissant en 4 parties. La partie ex-russe de l’Ukraine, avec Kiev pour capitale, berceau historique de la civilisation et de la culture Russe, est intégrée à l’URSS tandis que la partie ex-autrichienne, avec Lviv pour ville principale, est rattachée à la Pologne.

La petite Ukraine « transcarpatique » vota son rattachement à la Tchécoslovaquie et quant à la Bucovine, sa minorité ukrainienne se résigna à son rattachement à la Roumanie.

Mais l’Ukraine n’est pas pour autant une nation. Les Ukrainiens n’ont aucune histoire commune. Bien au contraire. Durant la seconde guerre mondiale, quand à l’été 1941, l’Ukraine est envahie par les armées du Reich, les Allemands sont reçus en libérateurs par une partie de la population ukrainienne. Au contraire à l’Est du pays, ils rencontrent une forte résistance de la part de la population locale qui se poursuivit jusqu’en 1944. En représailles, les Allemands traquent les partisans, et brûlent des centaines de villages. En avril 1943, une division SS Galicie est constituée à partir de volontaires ukrainiens dont les descendants ont constitué le fer de lance des révolutionnaires de la place de Maïdan (3). Cette division SS a notamment été engagée par les Allemands en Slovaquie pour réprimer le mouvement national slovaque. Mais les pro-occidentaux ukrainiens et les Américains ont tout fait, à la fin de la guerre, pour jeter un voile sur les atrocités commises par cette division et ne retenir que le combat antisoviétique. Néanmoins, les historiens estiment que plus de 220 000 Ukrainiens s’engagèrent aux côtés des forces allemandes durant la Seconde Guerre mondiale pour combattre le régime soviétique.

Ce rappel historique permet de comprendre pourquoi la guerre civile est possible et pourquoi la partie des forces ukrainiennes constituées de soldats de l’Ouest peuvent utiliser chars et avions contre les séparatistes de l’Est.

Le Président Ukrainien avec la complicité du silence de la majorité des hommes politiques et des médias occidentaux mène une véritable guerre contre une partie de sa population avec la même violence que celle que l’on reproche au dictateur syrien. De plus, les forces armées ukrainienne sont conseillées par des forces spéciales et des mercenaires américains.

Les États-Unis et Obama veulent ainsi provoquer une réaction brutale de la Russie qui pourrait faire renaître une guerre froide entre l’Ouest et l’Est. Poutine a bien compris le piège que lui tend Obama, « prix Nobel de la Paix ». Après avoir déconseillé aux séparatistes ukrainiens de faire un référendum, il n’a pas reconnu son résultat (4) et fait preuve d’une modération qui étonne tous les observateurs indépendants alors que des chars et des avions attaquent une population russophone.

En quoi l’Ukraine empêche-t-elle la constitution d’un bloc Europe-Russie ? Pourquoi les Etats-Unis tiennent-ils tant à l’empêcher ?

Les américains n’ont cessé de faire pression sur les européens pour intégrer l’Ukraine et la Géorgie dans l’OTAN, ce qui constituerait une provocation inacceptable pour la Russie.
Heureusement, les leaders européens ne se sont pas pliés à cette volonté de Washington qui ne servirait que les intérêts américains. De même, si Poutine cédait à la pression de ses ultranationalistes et intervenait ouvertement en Ukraine, les Etats-Unis auraient atteint leur objectif stratégique et la guerre froide se réinstallerait en Europe au détriment de nos intérêts fondamentaux.

Pourquoi l’Europe se soumet-elle ? A-t-elle vraiment un intérêt à souscrire à la stratégie américaine ?

Beaucoup de leaders européens ont été formés aux Etats-Unis. Ils sont membres de « Think-Tanks américains ou transatlantiques » ou de fondations comme « l’American Foundation » qui financent largement leurs prestations et leurs voyages. L’Atlantisme est certes fabriqué par la conscience que nous partageons les mêmes valeurs démocratiques avec la nation américaine mais aussi par la multitude d’intérêts personnels de nombreux leaders européens dont le niveau de vie dépend de leur soumission de fait aux intérêts de l’Etat américain.

Néanmoins, de plus en plus d’Européens commencent à faire la différence entre l’Etat américain qui est, de fait, dirigé par des lobbies dont le plus important est le lobby militaro-industriel (5) et la nation américaine dont les valeurs et le dynamisme économique et culturel possèdent un pouvoir attractif incontestable et qui reste pour les jeunes européens une magnifique école de vie professionnelle.

[bloc_depliable titre= »Membres de la French American Foundation »]

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Politiques

Alain Juppé (1981),
Alain Richard (1981),
François Léotard (1981),
Jacques Toubon (1983),
Éric Raoult (1994),
François Hollande (1996),
Pierre Moscovici (1996),
Aquilino Morelle (1998),
Bruno Le Roux (1998),
Marisol Touraine (1998),
Arnaud Montebourg (2000),
Valérie Pécresse (2002),
Najat Vallaud-Belkacem (2006).
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Journalistes

Alain Minc (1981),
Bernard Guetta (1981),
Jérôme Clément (1982),
Christine Ockrent (1983),
Jean-Marie Colombani (1983),
Erik Izraelewicz (1994),
Laurent Joffrin (1994),
Denis Olivennes (1996)
Sylvie Kauffmann (1998),

Emmanuel Chain (1999),
Annick Cojean (2000),
Pascal Riché (2000),
Matthieu Croissandeau (2002),
Yves de Kerdrel (2005).
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Angela Merkel et les Allemands sont à la pointe de cette prise de conscience car ils n’ont toujours pas accepté l’espionnage industriel permanent auquel la NSA les soumet. De plus, la révélation des écoutes du portable d’Angela Merkel a fortement choqué le pays. Le Spiegel du 3 novembre 2013 réclamait même en couverture l’asile politique pour Edward Snowden : « Asil Für Snowden ». Les plus grands quotidiens européens dont le Monde ont publié de larges extraits de ses révélations.

Le 10 juillet 2014, le gouvernement allemand a annoncé l’expulsion du chef des services secrets américains pour l’Allemagne, dans le cadre d’une affaire d’espionnage de responsables allemands, au profit de Washington, une mesure sans précédent entre alliés au sein de l’Otan. « Il a été demandé au représentant des services secrets américains à l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique de quitter l’Allemagne », a déclaré le porte-parole du gouvernement, Steffen Seibert, dans un communiqué. L’expulsion intervient « en réaction d’un manque de coopération constaté depuis longtemps dans les efforts pour éclaircir » l’activité d’agents de renseignement américains en Allemagne, a expliqué un député allemand, Clemens Binninger, président de la commission de contrôle parlementaire sur les activités de renseignement, qui s’est réunie jeudi à Berlin.

En France, l’ancien Premier ministre Michel Rocard, le sociologue Edgar Morin, les anciens ministres Luc Ferry et Jack Lang ou encore l’ex-eurodéputé Daniel Cohn-Bendit ont lancé une pétition dans laquelle ils demandent au président François Hollande, à son Premier ministre, Manuel Valls, et au ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, d’accueillir Edward Snowden « sans tarder, sous le statut de réfugié politique ».

Malheureusement pour la France et l’Europe, François Hollande qui reste comme une partie de l’intelligentsia française fasciné par Obama et Laurent Fabius qui a longtemps bénéficié des avantages des fondations américaines n’ont pas encore pris conscience qu’ils mettaient ainsi en cause les intérêts stratégiques de la France et de l’Europe.

(1) Traduit de : Zbigniew Brzezinski: « Die einzige Weltmacht – Amerikas Strategie der Vorherrschaft », Fischer Taschenbuch Verlag, pp.15/16.
(2) Le National Endowment for Democracy (NED) (en français, Fondation nationale pour la démocratie) est une fondation privée à but non lucratif des États-Unis dont l’objectif déclaré est le renforcement et le progrès des institutions démocratiques à travers le monde. La plus grande part de ses fonds provient du département d’État des États-Unis, avec approbation du Congrès. L’ancien directeur de la CIA, William Colby, déclarait en 1982, dans le Washington Post, à propos du programme de la NED : « Il n’est pas nécessaire de faire appel à des méthodes clandestines. Nombre des programmes qui […] étaient menés en sous-main, peuvent désormais l’être au grand jour, et par voie de conséquence, sans controverse ». William I. Robinson, Promoting Polyarchy: Globalization, US Intervention, and Hegemony [archive], Cambridge university Press, 1996, 466 p., pp. 87-88.
(3) Il ne faut pas oublier que les manifestants de la place de Maïdan ont contraint un Président pro-russe démocratiquement élu en 2012 a quitter le pouvoir. Il a été chassé de sa capitale par des manifestants où l’on a vu se côtoyer des groupes paramilitaires ultranationalistes affichant des signes nazis et qui refusent l’Europe mais aussi par des citoyens de la classe moyenne (professeurs, étudiants, dirigeants de PME) qui souhaitent le rattachement à l’Union européenne..
(4) approuvé par 89% des votants
(5) Le budget de Défense américain représentait, en 2013, 640 milliards de dollars. Autant que le Budget réuni des 9 pays suivants : Chine 188, Russie 88, Arabie Saoudite 67, France 61, Grande-Bretagne 58, Allemagne 49, Japon 49, Inde 48, Corée du Sud 33. Source SIPRI

Source : Atlantico.fr

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64 réactions et commentaires

  • Slavyanka // 06.08.2014 à 02h26

    « Le Président Ukrainien avec la complicité du silence de la majorité des hommes politiques et des médias occidentaux mène une véritable guerre contre une partie de sa population avec la même violence que celle que l’on reproche au dictateur syrien. De plus, les forces armées ukrainienne sont conseillées par des forces spéciales et des mercenaires américains. » Bravo à ce général, ce genre d’opinion lucide et pourtant si évidente est devenu si rare en Europe de nos jours !

    En ce qui concerne Poutine, le déchainement de haine contre lui continue dans les journaux anglo-saxons. Voici un article en anglais et en russe dans lequel Le président russe est présenté comme l’homme à abattre :
    link to americanthinker.com
    link to inosmi.ru
    Je traduis :
    “Si Poutine est trop têtu pour se rendre compte que sa carrière est finie et on ne pourrait le faire sortir du Kremlin que les pieds devant avec un trou dans la nuque, cela conviendrait aussi.
    Nous ne sommes pas contre l’humour noir… Par exemple, lorsque la prochaine fois quand Poutine sera sur le chemin de retour pour Moscou après une visite à ses amis cubains, vénézuéliens ou iraniens, son avion pourrait bien être abattu par quelques rebelles douteux qui auraient en leur possession, de façon inexpliquée, un missile “sol-air”.”

    C’est un appel au meurtre à peine déguisé ! J’ai lu des commentaires des Russes dégoutés et révoltés pas cet article ignoble, qui disent que la Russie devrait exprimer sa protestation officielle contre ce genre d’ignominie !

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    • interlibre // 06.08.2014 à 08h33

      Bonjour,

      Ne serait il pas une bonne idée de monter un dossier sur les médias français et leur pitoyable propagande et d’envoyer ça à RSF ?
      C’est un peu leur boulot de surveiller ce genre de manipulation, entre autre.
      Alors bien sur il y a plus grave niveau « liberté » de la presse mais sans propagande il n’y a pas de guerre, en France c’est juste inadmissible ce niveau de manque d’information.

      Qu’en pensez vous ?

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      • erde // 06.08.2014 à 11h07

        Soyons sérieux !
        Pensez-vous vraiment que RSF soit une association libre.
        Je vous invite à vous renseigner sur cette organisation…dont l’un des fondateurs est le fameux Ménard actuellement Maire de Béziers et dont le financement provient
        de la NED et de Soros , « bienfaiteurs de l’humanité »

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      • alain // 06.08.2014 à 14h04

        Une autre possibilité serait de soumettre des contributions à Acrimed (http://www.acrimed.org), ou tout au moins de leur signaler les abus. Etonnamment, pratiquement aucun article n’a été publié par eux sur le traitement par les médias des évènements d’Ukraine (je n’en ai trouvé que 2 !).

        Mode d’emploi: http://www.acrimed.org/article919.html

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        • miclav // 06.08.2014 à 16h18

          Deux dont une reprise d’un billet d’Olivier.
          Un de ses membres a aussi fait un papier équilibré pour de Monde Diplomatique.
          Je m’étonne aussi de leur impasse sur le sujet.
          Mais il faut dire aussi qu’il n’y a rien de vraiment tangible pour étayer une prise de position assurée sur le sujet des propagandes qui s’affrontent.
          Si ce n’est le démontage des fausses preuves de Kiev les plus grossières ( traité dans un des papiers il me semble).
          Mais il y aurait matière à traiter de l’AFP et de ses reprises.
          Un billet récent de ce blog collait suffisamment à leur ligne pour faire l’objet d’une tribune (oublié lequel…)

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      • yana // 08.08.2014 à 09h43

        @interlibre
        Ne serait il pas une bonne idée de monter un dossier sur les médias français et leur pitoyable propagande…

        Très bonne idée que j’ai eue, moi aussi!
        Je me demande existe-t-il un BON HOMME et où se trouve-t-il qui pourrait nous faire sortir de nos coquilles, nous réunir (au niveau européen, voir mondial) pour qu’on puisse EXIGER (des médias d’abord)….
        LA VÉRITÉ ! LA VÉRITÉ ! ET QUE LA VÉRITÉ !
        Le reste, à mon regard, ça va se faire tout seul.
        Je pense qu’il est temps de changer la devise de notre République :
        Liberté, Égalité, Fraternité, Vérité!

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    • languedoc 30 // 06.08.2014 à 13h44

      Ca donne la nausée, c’est tellement ignoble. On ne parlera jamais assez de la responsabilité des médias, dans cette propagande totalement folle et tellement injustifiée. J’ai un tel dégoût de la presse en ce moment, que j’ai résilié tous mes abonnements. J’espère que beaucoup d’abonnés ont fait ou feront pareil.

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      • FATALITAS // 08.08.2014 à 08h24

        C’est pour cela que des têtes tomberont, ces c… vivent en permanence dans le présent et dans le très court terme, niant de fait l’Histoire dans toutes ses dimensions. Le déni de réalité et la pensée magique leur tiennent lieu d’aiguillon. Ce sont au sens cliniques du terme de dangereux psychotiques. Le retour à une réalité dévastatrice pour eux est une question d’hygiène mentale pour la majorité et de survie pour l’humanité. Pour l’heure, ils aboient comme des enragés, par ce que au fond d’eux, par instinct de conservation non par conscience, ces gens-là n’en en aucune, il doivent se rendre compte que leur dernière heure est venue qui certes, peut être extensive sur quelques mois, voire plus vraisemblablement sur quelques années, mais le destin est scellé. Qui qu’il arrive.

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    • Horzabky // 07.08.2014 à 00h35

      Et l’auteur, Herbert E. Meyer, est un ancien haut fonctionnaire de l’administration Reagan, l’un des plus hauts responsables de la CIA !

      Ce qui me dégoûte le plus, en tant que Français, c’est que notre gouvernement suive les USA en ce qui concerne les sanctions financières, alors que nous souffrirons beaucoup plus que les Etats-Unis à cause de ces sanctions, parce que l’UE a des échanges avec la Russie 14 fois plus importants que la Russie. C’est facile pour les Américains de dire qu’il faut sanctionner…

      Le général Pinatel a dit :
      « Beaucoup de leaders européens ont été formés aux Etats-Unis. Ils sont membres de “Think-Tanks américains ou transatlantiques” ou de fondations comme “l’American Foundation” qui financent largement leurs prestations et leurs voyages. »

      C’est bien connu pour Sarkozy et ses conférences à 100 000 dollars de l’heure, payées par les banques américaines (pour services rendus ? Je pense notamment à la façon dont il a vendu à bas prix les réserves d’or de la France).

      C’est surement vrai aussi pour d’autres.

      Pour dire les choses crûment, nous sommes gouvernés par des corrompus.

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  • Jay SWD // 06.08.2014 à 03h07

    Eonnant tout de mème de voir les trés atlantistes « Atlantico »-Dsl pour le pléonasme-retranscrire un tel point de vue……L’ombre d’un doute??

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    • Bigtof // 06.08.2014 à 06h56

      En effet, je partage votre étonnement.

      La peur d’une guerre mondiale qui détruise l’Europe peut-être ?

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  • tom joad // 06.08.2014 à 08h09

    A ce qui se dit, Soros serait passé à table sur CNN:
    Fareed Zakaria. « Commençons par l’Ukraine. Il est bien connu que vous aviez financé, durant la période des révolutions de 1989, des activités dissidentes et de groupes civiles en Europe de l’Est, en Pologne et en Tchéquie. Peut-on affirmer que vous êtes en train de faire la même chose en Ukraine ?

    Georges Soros. J’ai crée une fondation en Ukraine avant que cette dernière ne devienne indépendante de la Russie. Cette fondation n’a pas suspendu son activité depuis lors et a joué un rôle important dans les évènements auxquels nous avons récemment assisté ».

    Ah bah ça alors

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  • perceval78 // 06.08.2014 à 08h13

    A noter que parmi les membres leaders de la French American Foundation il y a Airbus-Group
    qui est aussi sponsor du blog de l’atlantic council.

    Le patron de Airbus, Thomas Enders y donne souvent son avis. Es ce le rôle d’un patron d’avoir des avis politiques ?? es ce l’avis d’Airbus et de ses principaux membres ?
    =
    http://french-american.org/qui-sommes-nous/nos-membres/
    =
    http://www.atlanticcouncil.org/blogs/natosource
    =
    NATOSource ?@NATOSource Sep 26
    Enders on EU’s lack of clear agenda: « UK & France really must lead… I do not think the push can come from the EU »
    http://www.atlanticcouncil.org/blogs/natosource/eads-head-says-eu-lacks-clear-security-policy

    NATOSource ?@NATOSource 29 Apr 2013
    Thomas Enders/Wolfgang Ischinger: Europe’s security « demands are growing… even as defense budgets steadily decline »
    http://www.acus.org/natosource/europes-defense-capabilities-gap

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  • Andrea // 06.08.2014 à 08h43

    L’expression nouvelle guerre froide revient plusieurs fois.

    Amha, il ne s’agit pas de cela. Pendant la guerre froide les USA (présidents et autres) ont toujours entretenu des relations et des contacts, et il n’y avait pas la haine exprimée aujourd’hui. C’était un ‘stand-off’ qui in fine arrangeait les deux parties. (Bon il y eu la crise de Cuba..) Le seul président Russe qui est ‘tombé’ était Gorbatchev, qui avait toutes les faveurs de l’Occident.

    Cette fois-ci le but est autre: faire plier la Russie, se débarasser de Putin et le remplacer avec un Yeltsin plus moderne et intelligent. Rendre la Russie isolée, impuissante, un état vassal qui se laisse exploiter et appauvrir, mettant fin à une pause dans l’histoire ou les USA se déclarait la seule super-puissance restante mais ne l’était pas véritablement, et ou la Russie petit à petit s’est relevée, ce qui a été insupportable pour les USA. Et bien sur pour ce faire, il faut couper complètement les relations Russie-UE.

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    • caroline Porteu // 06.08.2014 à 09h54

      Affaiblir la Russie, affaiblir la Chine , et aussi grâce à Israel avoir la haute main sur les approvisionnements énergétiques (Tamar et Leviathan, Gaza Marine) permettant ainsi de continuer à pratiquer une cotation des Matières premières en dollars , ce qui constitue la première raison pour les Etats d’avoir des réserves en dollars et permet de maintenir le dollar : monnaie étalon

      Dommage que l’article ne parle pas de cet aspect ..

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      • draxredd // 06.08.2014 à 11h05

        Sans ce systeme garantissant une demande quasiment infinie de dollars, les états-unis s’effondrent.
        Ils sont donc rendus aux dernières extrémités pour sauver le comodity-dollar (même plus seulement le pétro-dollar, effectivement).

        Tous les coups sont désormais permis et tous les moyens sont bons.

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      • ty89 // 06.08.2014 à 12h53

        « Avez-vous des détails sur la réalité de cette info »

        Comme l’intégralité des propositions « qui vont dans le bon sens » (certes c’est très rare mais elles existent) de flambi c’est, et ça restera, que de la com’ …

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      • Michel Ickx // 06.08.2014 à 19h24

        Pour mieux comprendre l’enjeu et l’urgence en ce qui concerne le sauvetage du $ il faut lire « La guerre des monnaies » de Hongbing Song. (Ed.Le retour aux sources)

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  • perceval78 // 06.08.2014 à 09h04

    A noter que les pays Nordiques : Carl Bildt et Toomas Ilves en tête n’aiment pas Snowden Et Wikileaks mais adorent parle de cybersecurite.Le président Estonien a même occupé le poste de chairman de la task force de l’UE sur la e-sante.

    On parle beaucoup de securite, de liberte , etc etc … Leur philosphie semble assez simple …
    Nous avons le droit de vous surveiller pour votre securite … et … vous n’avez pas le droit de nous surveiller c’est une atteinte à la vie privée.

    Forum Cyber Securite en Estonie
    =
    http://www.freedomonline.ee/program/concept-paper
    =
    Free and Secure Internet for All
    =
    http://www.freedomonline.ee/speakers
    =
    http://www.freedomonline.ee/speaker/tooms-hendrik-ilves
    =
    During his presidency Toomas Hendrik Ilves has been appointed to serve in several high positions in the field of ICT in the European Union.
    He served as Chairman of the EU Task Force on eHealth from 2011 to 2012, and since November 2012, at the invitation of the European Commission, he became Chairman of the European Cloud Partnership Steering Board.

    Toomas Ilves : Foreign Policy Association
    http://www.youtube.com/watch?v=hEUEl4tf_ck
    =
    German Mashall Fund : Cyber Security
    http://www.youtube.com/watch?v=O4HOd0GlBHs
    =
    Toomas Ilves : Panel on Cyber Security
    http://www.youtube.com/watch?v=JYoLz4tvK9w
    =
    Toomas Ilves : Atlantic Council Porquoi l’estonie est a la pointe
    http://www.youtube.com/watch?v=grb0J5xfA7Y
    =
    Forum Cyber Securite en Suede
    http://www.stockholminternetforum.se
    =
    Privacy for civil society and business: managing data collection
    Big Data: taking privacy and data protection seriously
    Building transnational epistemic communities around cyber security
    Freedom from fear on the internet is possible: applying rule of law online
    ‘No trade-off’: reconciling privacy and security for global growth and economic development
    Inclusive internet governance
    Limited internet privacy: what are the effects on democracy and development?
    13.30–13.45 Keynote Speech –Minister for Foreign Affairs, Carl Bildt

    Brezinski et la cyber security
    =
    http://www.youtube.com/watch?v=syIGqXS8s8Y
    =

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    • perceval78 // 06.08.2014 à 09h07

      Donc pour résumer nous avons actuellement le paradigme suivant :

      les gouvernants nous surveillent
      la presse people nous informent sur la couleur des lunettes de nos gouvernants

      il faudrait donc passer au paradigme suivant

      les citoyens surveillent les gouvernants sur tout ce qui est lié a leurs fonctions : ce qu’ils décident, qui les subventionne , les lois qu’ils passent en catamini l’été etc etc …

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      • Macarel // 06.08.2014 à 11h40

        Surveiller ses citoyens de façon attentatoire aux libertés individuelles fondamentales est une marque de faiblesse de nos démocraties. C’est un aveu d’échec de la pacification du monde par le mythe libéral du « doux commerce », et le mythe scientiste du progrès technologique.
        Après l’échec du socialisme scientifique, nous assistons à celui du libéralisme scientifique.
        Tous deux ont oublié que l’homme, a besoin certes d’un confort matériel lui assurant une vie descente, mais aussi que l’homme se développe dans un milieu culturel.
        Ces deux idéologies, sont basées sur un homme virtuel « hors sol », grosse erreur.
        L’homme ne devient humain, que par les liens qu’il tisse avec ses semblables, et avec son milieu.
        L’égalitarisme de la première de ces idéologies a tué la liberté, l’idéologie libertarienne de la deuxième a produit des inégalités insupportables, les deux ont oublié la fraternité.

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  • Macarel // 06.08.2014 à 10h22

    Le problème de l’occident, c’est qu’il constitue un ilot de richesse (certes de plus en plus mal répartie à l’intérieur même de cet ilot), dans un océan de pauvreté ou de misère.
    Le problème de l’occident, c’est que l’avantage démographique n’est pas, plus, de son côté.
    Et de ce point de vue la Russie fait partie de l’occident, c’est donc une erreur abyssale, si l’on raisonne d’un point de vue égoïste occidental, de chercher un conflit avec la Russie.
    Le problème de l’occident (et surtout des oligarchies occidentales), c’est que son modèle de développement ne peut être étendu à toutes les populations de la planète, car il faudrait quatre ou cinq planètes et nous n’en avons qu’une.
    L’archétype de cet occident c’est Israël, qui peut gagner toutes les guerres technologiques qu’il voudra, mais perdra la « guerre » démographique.
    Si l’occident, au lieu de se remettre en question poursuit sa fuite en avant guerrière actuelle, le monde finira par ressembler dans son ensemble, à ce qu’était l’Afrique du Sud du temps de l’apartheid : des citadelles de plus ou moins riches, entourées de Bantoustans peuplés de populations misérables et, il faudra mener une guerre sans fin contre « les terroristes » qu’elles produiront.
    Israël, est en ce sens une préfiguration de ce que pourrait devenir l’occident à plus ou moins long terme. C’est pour cela que peu de voix s’élèvent en occident pour condamner Israël, lorsqu’il se livre à ses opérations « de maintien de l’ordre » dans les Bantoustans palestiniens.
    L’histoire de l’occident, c’est une longue histoire de colonisations plus ou moins réussies,pour se procurer les ressources nécessaires à son mode de développement productiviste, ou carrément s’accaparer les terres d’autres peuples indigènes pour les exploiter à son profit.
    Le problème de l’occident, c’est que cette façon de procéder, devient de plus en plus contestée, par un reste du monde qui a l’avantage démographique, et qui veut aussi sa part du rêve de la société du confort matérialiste.
    Alors ? Dialogue des cultures ou choc des civilisations ? Guerre ou Paix ?

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    • Macarel // 06.08.2014 à 10h50

      Inutile de dire que la démocratie ne survivra pas au processus d’Africanisation du Sud de l’occident décrit précédemment, et que nos Etats, ou ce qu’il en restera deviendront de plus en plus, inégalitaires, policiers et paranoïaques.
      Bienvenue dans le monde d’Eric Arthur Blair (pas Tony, encore que…), alias George Orwell, dans l’âge de la pénombre, et d’un néo-obscurantisme
      Big Brother est déjà là, c’est la NSA, et ses petits frères des pays vassaux. Quant au télécran, ce sont tous les canaux « d’information » de masse, qui maintiennent les masses dans l’anxiété permanente et l’ignorance, afin de mieux les contrôler grâce à l’utilisation d’une novlangue.

      La guerre, c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force. »
      George Orwell

      Alors à tous les Winston Smith de la blogosphère :  » Big Brother is watching you, but keep calm and carry on ! »

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    • cepamoi // 06.08.2014 à 12h48

      Oui enfin le problème n’est spécifiquement occidental … Sinon Charles Martel n’aurait pas arrêté les Arabes à Poitiers et la Bosnie ne serait pas musulmane …

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    • Wilde Jagd // 06.08.2014 à 19h37

      1. Le but de cette offensive US contre la Russie, c’est de la couper définitivement de l’Europe occidentale et d’arrimer solidement celle-ci au navire Amérique, afin de retarder le naufrage de celui-ci. En somme, et pour reprendre la formule d’Emmanuel Todd dans cette vidéo déjà ancienne, « tous les événements de l’actualité internationale sont à lire et à interpréter à la lumière de l’affrontement entre l’Europe et les USA » : https://m.youtube.com/watch?v=zJWuzhqs6H8 (vers 39:30, mais toute la vidéo est intéressante, malgré la présence du déjà nullissime Demorand).

      2. Ce qu’il y a de curieux, c’est que douze ans après son livre « Après l’Empire », Todd est aujourd’hui beaucoup plus discret sur les USA considérés comme puissance déclinante aux ambitions délétères. Il a beaucoup insisté (à juste titre) sur le rôle négatif de l’Allemagne en tant que gardienne de cette orthodoxie budgétaire qui actuellement étrangle l’Europe. Mais il faudrait davantage souligner que c’est en Allemagne (au-delà des volte-faces d’Angela Merkel, explicables au moins en partie par les pressions de Washington) que se situe le principal foyer de résistance à l’offensive US contre la Russie. En effet, le grand patronat allemand a fort bien compris :

      a) qu’il est vital pour lui de consolider ses relations économiques avec la Russie, et aussi de pouvoir continuer à se fournir en Ukraine en main-d’œuvre bon marché ;

      b) et donc que, dans cette affaire, ses intérêts sont directement opposés à ceux de cet ‘ »État profond » qui contrôle la politique de Washington.

      3. À la fin de la vidéo que j’ai mise en lien, Todd émet le vœu que les oligarchies d’Europe occidentale finiront par s’opposer à celles des USA et de leurs dépendances (UK, Australie, etc.) et remettront en cause l’actuelle « gouvernance » économique mondiale, dont les USA sont les principaux bénéficiaires, de façon à améliorer le sort des classes moyennes et populaires européennes. (Pour l’oligarchie française, ça semble improbable vu son dévouement d’esclave en faveur des intérêts américains).

      Le problème, c’est que cette hypothèse d’un déblocage s’opérant via l’affrontement économique des différentes oligarchies nationales ressemble comme deux gouttes d’eau au scénario du déclenchement de la Première Guerre mondiale…

      4. Par ailleurs, dans tout ce qu’on peut lire ici ou là, la Chine n’est bizarrement presque jamais mentionnée. C’est d’autant plus curieux que c’est elle qui aurait le plus à gagner à l’installation d’une deuxième guerre froide : l’Europe occidentale serait économiquement bridée par la domination US (traité transatlantique, etc.), la Russie isolée serait forcée d’ouvrir à Pékin le plus large accès à ses ressources naturelles, la position de leader des BRICS serait naturellement acquise à la Chine et lui permettrait d’accroître sa présence en Afrique et en Amérique latine, etc.

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  • erde // 06.08.2014 à 11h13

    Concernant l’asile de Snowden, si celui-ci avait été u dictateur sanguinaires, ou s’il était riche en milliard, nul doute qu’il se serait trouvé un pays d’Europe pour l’héberger.
    Mais voilà ce n’est qu’un lanceur d’alerte soucieux du bien commun et de l’intérêt général…
    Comme quoi, dans ce système civilisationnel, l’honnêteté ne « paie » pas !

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  • Sylla // 06.08.2014 à 11h26

    « accueillir Edward Snowden “sans tarder, sous le statut de réfugié politique” »
    Offre sympa, mais vaut mieux qu’il décline. Cela dit jamais les malades qui sous la rumeur que « peut être Snowden est à bord » ont forcé un avion présidentiel à atterrir ne feront une telle offre. Quoique…

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    • Daniel // 06.08.2014 à 16h05

      Snowden ne demanderait jamais l’asile à un pays comme la France où il sait bien que les enjeux entre le Quai d’Orsay et Washington ont été toujours flous. La CIA et les RG ne font parfois qu’un seul service d’intelligence. Si Snowden ne veut pas séjourner à Guantanamo alors qu’il reste chez Poutine, c’est de loin plus sûr.

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      • Sylla // 06.08.2014 à 18h57

        sans compter les mandats d’arrêt européen (Assange est toujours dans une ambassade à londres?), mais raisons de plus pour lui en faire la proposition 😉 ceux qui ont lancé la pétition sont des gros malins 😀

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  • Sylla // 06.08.2014 à 11h27

    « Zbigniew Brezinski : relations Moscou Washington Ternies par Affaire Snowden »
    lol!

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  • PA.Québec // 06.08.2014 à 11h37

    Déjà un impact sur l’économie allemande ?

    La plus grande chute en 2½ ans dans les commandes aux usines allemandes serait un signe que la tension géopolitique avec la Russie laisse sa marque sur la plus grande économie de l’Europe.

    Les commandes, corrigées pour prendre en compte les variations saisonnières et l’inflation, ont chuté de 3,2 pour cent en juin par rapport à mai.

    http://www.manager-magazin.de/unternehmen/industrie/deutsche-industrie-mit-staerkstem-auftragsminus-seit-drei-jahren-a-984684.html#ref=rss

    (désolé pas le temps de traduire)

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  • Macarel // 06.08.2014 à 11h47

    Quand on joue au con, on peut trouver plus con que soit…

    « En réponses aux sanctions occidentales, la Russie étudierait la possibilité d’interdire l’utilisation des couloirs transsibériens aux compagnies aériennes européennes. Air France, Lufthansa et British Airways pourraient être les plus pénalisées. »

    http://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0203685725700-moscou-pourrait-interdire-le-survol-de-la-russie-aux-compagnies-aeriennes-europeennes-1030488.php

    Les caniches de l’Oncle Sam vont se prendre des coups de bâton en retour.

    Entre ceux du maître Obama, et du voisin Poutine, la vie des caniches européens, va devenir désagréable.

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  • theuric // 06.08.2014 à 12h24

    Les deux unions, U.S.A. et U.E. sont en mode de survie, chacun de leur acteur le sait et font tout pour que perdure le système ou, pour les plus intelligents, s’en détournent quand d’autres, simplement malins, retournent naturellement leur veste.
    Mais cette survie peut prendre divers formes et il est logique qu’il y ait des dissensions au sein de ces unions, devenant agressivité au fur et à mesure que celles-ci s’approchent de la rupture.
    Il y a, à mon sens et logiquement, plusieurs forces en présence à la gouvernance de ces unions:
    -Ceux qui s’écartent du jeu pour des raisons pertinentes et, souvent, luttent pour la fin du système actuel;
    -Ceux attendant de voir de quelle coté penchera la balance en préparant des vestes réversibles aux teintes différentes;
    -Ceux détenant de fait le pouvoir en proie à un affaiblissement plus ou moins prononcé dû à leur confrontation à la simple réalité du vécu;
    -Ceux, à l’intérieur de ce système, considérant les dirigeants comme ineptes et inaptes et qui se regroupent peut-être pour renverser le pouvoir actuel.
    La particularité de l’Union-Européenne c’est que ce sont des pays qui représentent ces diverses forces en présence, soit des gouvernements, soit des personnalités en opposition.
    En revanche, aux U.S.A., ce sont les groupes de pressions variées qui représentent ces forces, hormis quelques individualités réunies autour du premier, peut-être du second cas, rapidement placées hors-jeu.
    C’est pourquoi les enjeux européens sont et seront plus simples que ceux des étasuniens.
    En Europe il peut être facile, pour les gouvernements, de retrouver leur indépendance, quitte à ne faire de l’U.E. qu’une coquille vide.
    Aux Amériques, déjà dans un état économique pire qu’ici, la complexité politique de ce pays ne peut aller qu’en s’amplifiant avec, à terme, des discordes en augmentations constantes, entre des intérêts nécessairement divergents et des désaccords sur les démarches à venir.
    Lorsqu’un pays fait face à des tension conscientes et/ou inconscientes trop importantes, il n’a que trois choix:
    1) soit exterritorialiser ses tensions hors de ses frontières;
    2) soit se trouver un bouc-émissaire;
    3) soit laisser ces tensions déboucher sur de la violence, quelle que puisse être la forme qu’elle prendrait, symbolique jusqu’à la guerre civile.

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  • David D // 06.08.2014 à 13h09

    Il y a eu plusieurs alliés de l’Allemagne en 40-45. Ce fut le cas de la Finlande jusqu’aux insignes identiques, mais l’alliance de la Finlande ne fut que tactique pour résister aux russes. Aucun livre d’Histoire n’accable les finlandais. En revanche, les divisions SS bosniaques et ukrainiennes soulèvent un problème d’adhésion franche, et cette adhésion franche est confirmée par les images actuelles de sympathisants de partis en place en Ukraine.
    Ce qui est incompréhensible aujourd’hui, c’est l’impeccable alignement des dirigeants européens sur des mensonges américains qui sont la suite d’autres depuis longtemps discrédités (Irak, Syrie, etc.), qui sont dénoncés par une partie vive du public (ce qui devrait inviter les politiques à prendre un peu la température des choses), qui appellent à des décisions politiques qui loin d’avoir le moindre intérêt pour nous nous sont franchement défavorables.
    On apprend quoi à l’ENA, à l’IEP Paris, en fac de droit ou d’économie : « oui le gaz de schiste, oh ça devrait pas être Gasland, oh le traité transatlantique je ne crois pas que ça se passera aussi caricaturalement que ça se dit dans la rue et que les entreprises abuseront si facilement, oh si les Etats-Unis veulent intervenir en Ukraine, il faut leur faire confiance »
    Ils ont quoi dans la tête ? Du coca cola ?

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    • theuric // 06.08.2014 à 13h18

      Ils n’ont pas appris mais ingurgité leurs connaissances, ils ne sont pas instruits mais juste éduqués.
      Madame Dolto explique cela très bien.

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  • barre-de-rire // 06.08.2014 à 14h07

    vous pensez encore à une alternative sur la sortie….

    1) poutine pliera, se fera dégager, liesse dans les rues: l’envahisseur est déchu.
    2) correction sur le prix gaz & pétrole : prétexte avancé : financement énergie renouvelable
    3) 2015-2030 prix énergie multiplié par 2.
    4) personne dans les rues, ca grognera en silence comme tous CHIENS battus recevant leurs gamelles.

    je signe d’avance.

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    • Horzabky // 07.08.2014 à 01h24

      Si le prix du pétrole double dans les années qui viennent, c’est la fin de l’économie mondiale. Déjà, au-dessus de 100 $ le baril, c’est l’asphyxiation lente de l’économie (le Brent est à 104$ aujourd’hui).

      Derrière tous ces événements, on a l’énergie, qui doit être bon marché pour que nos économies modernes soient prospères. Sans énergie bon marché, pas de prospérité possible. Or, la tendance est à l’épuisement des réserves d’énergie fossile, au manque d’eau (catastrophe en vue pour tout le sud-ouest des USA), etc. Il y aura des guerres…

      Toute la politique étrangère des Etats-Unis s’explique par une réalité simple : les USA, c’est 5% de la population mondiale qui consomment 25% des ressources de la planète. Il leur faut dominer directement ou indirectement les 95% d’êtres humains qui ne sont pas américains pour maintenir leur mode de vie. C’est aussi simple que ça.

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  • erde // 06.08.2014 à 14h49

    Un livre à lire, une autre vision des choses de la vie « américaine ».
    Comme quoi, il ne faut pas mettre tous les Américains dans le même sac…

    http://www.legrandsoir.info/les-guerres-scelerates-interventions-de-l-armee-us-et-de-la-cia-depuis-1945.html

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  • theuric // 06.08.2014 à 15h00

    Autre alternative:
    Début Septembre 2014, Wall Street annonce une baisse record de la bourse de plus de 5 000 points et cette baisse est en accélération constante.
    Les troupes russes entre sur le front de l’est de l’Ukraine.
    Des dissensions augmentent entre les capitales de l’U.E. entre le nord et le sud de l’Europe et l’Allemagne se tourne définitivement vers l’est et le nord de l’Europe en facilitant le départ des pays du sud.
    L’Angleterre organise un référendum pour ou contre l’U.E. et à une majorité à voté contre, ce pays sort aussi de l’union.
    Un mois après, les bourses mondiales sont revenues, pour la plupart, à leur niveau d’un siècle auparavant, aux U.S.A. des émeutes armées se passent dans de grandes villes, des corps d’armées font scission suivant leur lieu de casernement.
    Les troupes restées en Afghanistan sont bloquées là-bas et ce sont les russes qui les aides à rentrer chez eux, français, anglais, américains.

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    • Wilde Jagd // 06.08.2014 à 19h58

      1. Pour l’hypothèse de ce futur krach à Wall Street en septembre prochain c’est quoi, votre méthode de prévision ? Votre doigt mouillé tendu en l’air, ou bien autre chose ?

      Qu’une réédition de septembre 2008 soit possible voire probable, personne ici n’a beaucoup de doutes là-dessus. Mais imaginer que cette nouvelle crise bancaire pousse l’obligeance jusqu’à intervenir en plein milieu de l’effort de guerre américain, c’est tout simplement du wishful thinking.

      2. La Russie n’interviendra pas en Ukraine. Elle n’en a pas besoin : sinon, il y a longtemps que ça serait fait. Elle va laisser les coupures de gaz et l’hiver ukrainien faire leur œuvre (sans parler des plans d’austérité dictés par le FMI à Porochenko).

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      • theuric // 06.08.2014 à 21h15

        Pour la bourse: http://www.abcbourse.com/graphes/eod.aspx?s=DJIAx&t=lc1
        Les russes ont annoncé une guerre économique, donc acte.
        Monsieur Poutine avait dit à son peuple qu’il défendrait les russes subissant une guerre, croyez-vous que si la faiblesse U.S. devient patente, le président de Russie continuerait à laisser la situation actuelle en Ukraine dans le même état?
        Les tension politiques sont déjà flagrant au sein de l’U.E., il n’est qu’à voir les mines tendues et les sourires forcés de Monsieur Hollande et de Madame Merkel lors de leur dernière rencontre, et je ne vous parle même pas du ressentiment anglais lors de l’élection de Monsieur Junker…
        Les déséquilibres entre l’hyper-production de $, £, €, ¥ et les pays et unions d’où sortent ces monnaies et la réalité économique de ceux-ci me font dire que nous sommes dans une phase où ce sont, ad minima, l’ensemble de ces économies de ces régions qui vont s’effondrer et, plus sûrement, quasiment toutes les économies mondiales en raison des liens étroits que chacun entretient avec tous et des diverses et nombreuses bulles spéculatives s’égrainant un petit peu partout.
        Si cela se révélait telle, alors nous assisterons au plus effroyable cataclysme économique qu’il soit et comme toutes cartouches monétaires furent tirées lors du crash précédent de 2008, plus rien ne pourra retenir une chute boursière vertigineuse.
        Quand à l’Afghanistan, vu que Monsieur Obama ne fait rien pour rapatrier ces troupes au plus vite et vu que ce crash peut se produire à tout moment, qui peur les rapatrier sinon les pays frontaliers ou ceux ayant un voisin puissant: l’Iran, le Pakistan, Turkménistan, Tadjikistan et Ouzbékistan, il n’y en a pas d’autre.
        Le choix est dès lors simple, soit ces troupes passent par l’Iran qui a quelques divergences de vu avec Tonton Sam, soit par le Pakistan puis l’Inde, mais ces pays se regardent depuis longtemps en chien de faïence, soit par l’un des trois autres pays pour rejoindre la Chine ou la Russie et ce dernier est en face de l’Alaska.
        Ou alors cette armée reste sur place et à un moment ou à un autre se fera massacrer.

        Je ne joue pas au devin, il y a une cohérence dans ce que je dis même si les faits peuvent se révéler plus complexes que je ne l’avais supposé, ce qui est logique.

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        • lon // 07.08.2014 à 09h21

          Il faut d’ailleurs remarquer qu’on parle de « sanctions » quand on veut punir la Russie, mais de « guerre économique » quand Poutine réagit…

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  • purefrancophone // 06.08.2014 à 15h03

    Est-ce réaliste?Probablement !!!!!
    http://youtu.be/LnrJSyel_j0

    Reste à savoir , maintenant que cette vidéo est en ligne , si ces attentats seront finalisés !!!!

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  • Norton // 06.08.2014 à 15h13

    « Malheureusement pour la France et l’Europe, François Hollande qui reste comme une partie de l’intelligentsia française fasciné par Obama et Laurent Fabius qui a longtemps bénéficié des avantages des fondations américaines n’ont pas encore pris conscience qu’ils mettaient ainsi en cause les intérêts stratégiques de la France et de l’Europe. »

    « n’ont pas encore pris conscience »

    Je le trouve plutôt sympa avec ces traîtres,ce général Pinatel…
    Traîtres à l’insu de leur plein gré,alors…!

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    • lon // 07.08.2014 à 09h35

      La fascination de la classe politique et de l’intelligentsia française non seulement pour Obama mais pour les US en général est une fascination de « ploucs » timides et rongés par un complexe d’infériorité envers la « brilliance » de la civilisation US. Un vieux problème d’ailleurs : Benjamin Franklin passa quelque temps à Paris lors de la guerre d’Indépendance US, et sa bonhomie et simplicité d’apparence en firent vite la coqueluche du Tout Paris de l’époque, qui devaient se pâmer devant son personnage comme ils se pâment devant les inepties d’un Warren Buffet. Franklin en a bien profité : outre les innombrables groupies qui atterrirent dans son lit, il se constitua une excellente cave de vins fins, sans doute ce qui lui a permis de supporter la bêtise des bonnes âmes parisiennes . Cela n’empêcha pas d’ailleurs les rebelles américains de s’entendre avec les Brits et de b….r les français lors de la signature des accords de Paris en 1783. La royauté française avait cru faire un bon coup en soutenant les rebelles face aux anglais , elle en fut complètement ruinée et s’effondra en 1789 .

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  • theuric // 06.08.2014 à 15h28

    Je crois que rares sont les gens comprenant le fonctionnement de notre président, si je le dis c’est que je fonctionne comme lui.
    Je comprends ce qu’il doit combattre en lui et quand il aura fait la synthèse ce sera l’homme politique le plus inventif qu’il soit.
    Le réel traite c’est celui qui a vendu l’or de notre pays aux étasuniens au plus bas du cours contre des dollars qui ne valaient déjà plus pipette.
    Ce qui est vrai c’est que beaucoup de son entourage sont part trop formatés, si un tel cataclysme économique survient, alors il est probable que nous aurons le droit à un remaniement ministériel, sauf si contrôle tout cet entourage.

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  • samuel // 06.08.2014 à 17h03

    Ce monsieur est peut-être un expert reconnu des questions géopolitiques et d’intelligence économique, mais il ne fait pas plus le lien que ça dans la vie entre l’introduction et la finalité de son propos. On en revient toujours au même double langage de nos élites, serait-ce un autre dirigeant, fort possible, car son papier ne me dit pas plus tout ce qui se trame en coulisses. Comme dans les aspects les plus sordides de la « nation » américaine, et dont les valeurs à mon avis ne posséderont pas toujours un grand pouvoir d’attraction de nous endormir, car de nos jours à quoi ressemble principalement le monde de nos dirigeants ? C’est sur ils ont tous été à bonne école de vie.

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  • samuel // 06.08.2014 à 18h21

    Je ne sais si c’est la véritable raison première, mais en tous cas l’Amérique est une sacrée mauvaise perdante au poker menteur. C’est pourquoi il n’y a plus lieu de chercher midi à quatorze heure, ceci dit il suffirait de pas grand chose pour changer la vie, déjà pour commencer essayer de destituer en douce le président Obama de son poste, ou alors les plus pesants à la tête des services secrets, NSA, CIA ou GESTAPO selon votre préférence. Et puis pendant que j’y suis quelques autres bons politiciens de renom en Europe, par exemple Cameron, etc, car ils savent bien tous faire la leçon et virer les petites gens lorsque les affaires ne vont plus. Ou peut-être qu’à partir d’un certain niveau de protection entre eux tout ça ne s’applique plus dans l’échelle sociale.

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  • Sébastien // 06.08.2014 à 20h29

    L’Allemagne est depuis 1945 le fer de lance de l’occupation américaine en Europe avec le Royaume-Uni dans le but de mater la France.
    Je suis très étonné des deux dernières analyses publiées qui ne cadrent en rien avec la réalité de l’Allemagne.
    S’étonner d’être écouté par les Ricains relève de la plus grande hypocrisie. Quant au Zèle de Merkel pour japper avec les chiens contre Poutine, c’est un grand signe d’indépendance en effet.
    Bref, attendre des autres des solutions qu’on est incapables de prendre chez soi ne peut mener qu’à de sévères désillusions.

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    • samuel // 06.08.2014 à 21h51

       » L’Allemagne est depuis 1945 le fer de lance de l’occupation américaine en Europe avec le Royaume-Uni dans le but de mater la France. »

      Pourtant en juillet 1214 à la bataille de Bouvines, les Allemands et les Anglais se sont pris une sacrée raclée contre les Français, mais bon c’était dans un autre temps. Il y a eu je crois une commémoration récemment mais je n’y ai pas été le train ça revient trop cher.

      Moi en tous cas l’Allemagne ça me saoule point, quand bien même elle se montrerait la plus vertueuse de l’Europe et son bilan économique serait irréprochable, je me demande des fois si les petites gens vivent beaucoup mieux là bas, moi à mon avis ça m’étonnerait avec nos médias.

      Un jour elle est contre les sanctions, et puis un autre jour elle change de discours, ouais des fois c’est pas très cohérent je trouve, alors forcément en France nous en sommes toujours les plus responsables, peut-être bien sur certains aspects mais certainement pas sur d’autres.

      Et on se demande des fois pourquoi ne pouvons plus prendre d’autres solutions, lorsque nous devons souvent appliquer les consignes de la mort de Bruxelles, et vive les sanctions qui tuent l’activité. En plus quand on voit des fois la tête de la Merkel, mais bon c’est encore autre chose.

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      • samuel // 07.08.2014 à 07h24

        Si vous me permettez les gars et pour se changer un peu les idées.

        En réalité, les élites Allemandes n’ont jamais réellement acceptés la défaite de leur pays ou idéal de puissance en 1914 et 1945, pourtant à l’époque nous avions fait un peu de sacrifices et d’efforts mais pas seulement sur cela, mais pour éviter que cela ne se reproduise comme pour le Japon qui se remilitarise un peu à la cravache.

        Si seulement j’avais mieux su faire du théâtre, en fait toutes les premières mesures imposées à la Russie, ne feront que plus de mal indirectement envers les petites gens, vu qu’en Occident c’est seulement la mentalité des plus pourris par l’argent facile qui prédomine et influence le seul cours des choses en économie.

        Et puis comment l’Allemagne pourrait-elle faire de la qualité, lorsque tous ces rapports ne sont pas toujours synonyme de meilleure qualité, mais bon plus de leçons maternelles et de dictât en UE, nous empêchera certainement de moins revoir l’histoire se répéter. Mais voilà leur conception de la vie, de l’effort, du travail, de la discipline n’est aucunement la mienne, pour ça que l’esprit de charité ou de solidarité se perd dans le pays.

        Oui tout est vraiment bien fait partout pour que nous puissions plus y échapper.

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  • lanQou // 06.08.2014 à 22h31

    J’ai passé les commentaires en revue mais je ne l’ai pas vu ou l’ai manqué:
    le lien vers le blog de Jean Bernard Pinatel a été doublement raté ;-p
    C’est:
    http://www.geopolitique-geostrategie.fr/

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  • Talbot cyril // 07.08.2014 à 01h56

    Benoit Hamon est responsable du dialogue transatlantique comme vice-président de la délégation des relations avec les Etats-Unis et il est Membre de l’European American Business Council qui réunit 72 multinationales, leur but est d’aligner les réglementations européennes sur celles des USA

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  • mcfr // 09.08.2014 à 11h24

    Pour se faire respecter, les Russes ont intérêt à mettre en place un embargo sur le gaz et le pétrole en accord avec l’Opep.

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  • Xuméi // 29.03.2015 à 15h50

    Géopolitique-Géostratégie:
    http://www.geopolitique-geostrategie.fr/

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