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19.décembre.201719.12.2017 // Les Crises

Le Bitcoin, c’est quoi ? (1/3)

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À la demande générale, voici donc une courte série de 3 billets pour vous expliquer le phénomène bitcoin.

Je vous recommande d’écouter ce soir à 19h00 sur Europe 1 l’émission de Taddéi sur ce sujet. 🙂

Le Bitcoin, c’est quoi ?

Source : Bitcoin.fr

Bitcoin est un système expérimental de transfert et de vérification de propriété reposant sur un réseau de pair à pair sans aucune autorité centrale.

L’application initiale et l’innovation principale du réseau Bitcoin c’est un système de monnaie numérique décentralisée dont l’unité de compte, le bitcoin, est essentiellement acquis à des fins spéculatives ou pour protéger l’épargne partout où l’inflation monétaire la menace. Le bitcoin est également utilisé pour les transferts internationaux entre particuliers et de façon plus anecdotique comme monnaie de paiement pour les commerces de détail.

Bitcoin fonctionne avec des logiciels et un protocole qui permet aux utilisateurs d’émettre des bitcoins et de gérer les transactions de façon collective et automatique. En tant que protocole libre (code source ouvert), il permet également une interopérabilité des logiciels et services qui l’utilisent. En tant que monnaie le bitcoin est à la fois un intermédiaire de paiement et une réserve de valeur.

Bitcoin est conçu pour s’autoréguler. L’inflation limitée du système Bitcoin est distribuée de façon homogène par puissance de calcul à travers le réseau, et sera limitée à 21 millions d’unités divisibles jusqu’à la huitième décimale. Le bon fonctionnement des échanges est garanti par une organisation générale que tout le monde peut examiner, car tout y est public : les protocoles de base, les algorithmes cryptographiques utilisés, les programmes les rendant opérationnels, les données des comptes et les débats des développeurs.

La possession des bitcoins est matérialisée par une suite de chiffres et de lettres qui constituent une clé virtuelle permettant la dépense des bitcoins qui lui sont associés sur le registre. Une personne peut détenir plusieurs clés rassemblées dans un « Bitcoin Wallet« , un « porte-clés » web, logiciel ou matériel qui permet d’accéder au réseau afin d’effectuer des transactions. Le porte-clé permet de consulter le solde en bitcoins et les clés publiques destinées à recevoir des paiements. Il contient également (souvent de façon cryptée) les clés privées associées à ces clés publiques. Ces clés privées doivent rester secrètes, car leur détenteur peut dépenser les bitcoins qui leur sont associés sur le registre. Tout support (porte-clés) convient pour conserver la suite de symboles constituant votre porte-clé : papier, clef USB, la mémoire, etc. Grâce à des logiciels adéquats, vous pouvez gérer vos avoirs sur votre ordinateur ou votre téléphone.

Pour avoir des bitcoins sur un compte, il faut soit qu’un détenteur de bitcoins vous en ait donnés, par exemple en échange d’un bien, soit passer par une plateforme de change qui convertit des devises classiques en bitcoins, soit les avoir gagnés en participant aux opérations de contrôle collectif de la monnaie.

Le créateur de Bitcoin, Satoshi Nakamoto, a décrit son invention dans ce document.

Source : Bitcoin.fr, Jean-Luc

Le Bitcoin et la Blockchain (avec Heu?Reka) — Science étonnante #31

Source : Science Etonnante, Youtube, 24-06-2017

Qu’est-ce que le Bitcoin ? Comment marche-t-il ? En quoi la technique de la Blockchain permet-elle de le sécuriser ?

Source : Science Etonnante, Youtube, 24-06-2017

Comment fonctionne Bitcoin ?

Source : Bitcoin.fr, Jean-Luc

Bitcoin utilise la cryptographie par clés publique et privée (cryptographie asymétrique). Une pièce contient la clé publique de sa ou son propriétaire. Lorsqu’une pièce est transmise d’un utilisateur A à un utilisateur B, A ajoute la clé publique de B sur la pièce, puis la signe avec sa propre clé privée. B est alors propriétaire de la pièce, et peut à son tour la transmettre.

Afin d’empêcher A de transmettre à un utilisateur C la pièce déjà utilisée, une liste publique (mais anonyme) de toutes les transactions passées est maintenue collectivement par le réseau des nœuds Bitcoin. Ainsi, on vérifiera avant toute transaction que la pièce n’a pas encore servi.

La base pour un nouvel utilisateur

Comme nouvel utilisateur, vous avez seulement besoin de choisir un porte-monnaie que vous installerez sur votre ordinateur ou sur votre mobile. Une fois prêt, votre porte-monnaie créera votre première adresse Bitcoin et vous pouvez en créer de nouvelles chaque fois que vous en avez besoin. Vous pouvez communiquer l’une de vos adresses Bitcoin à un ami pour qu’il puisse vous payer. De la même façon, vous pouvez payer vos amis s’ils vous donnent leurs adresses. En fait, échanger des Bitcoins est assez similaire à échanger des emails. Ensuite, il ne reste qu’à obtenir quelques Bitcoins et à les garder en sûreté. En tant qu’utilisateur, vous n’avez pas besoin de connaître le fonctionnement technique.

Toutefois, si vous voulez en savoir plus, continuez votre lecture !

Chaîne de blocs

La chaîne de blocs est un journal de transactions partagé et public sur lequel repose le réseau Bitcoin. Toutes les transactions confirmées sont incluses dans la chaîne de blocs sans exception. De cette façon, il est possible de vérifier que chaque nouvelle transaction échange des bitcoins appartenant à l’émetteur du paiement. L’intégrité et l’ordre chronologique de la chaîne de blocs est protégée par la cryptographie.

Transaction

Une transaction est un transfert de valeur entre des adresses Bitcoin qui est incluse dans la chaîne de blocs. Les porte-monnaie Bitcoin conservent une information secrète pour chaque adresse Bitcoin qu’on appelle clé privée. Les clés privées sont utilisées pour signer chaque transaction, fournissant une preuve mathématique qu’elles proviennent des bons propriétaires. La signature permet également d’empêcher la transaction d’être modifiée une fois émise. Toutes les transactions sont diffusées entre les utilisateurs et sont confirmées par le réseau dans les minutes suivantes via un procédé nommé minage.

Minage

Le minage est un système de consensus distribué qui est utilisé pour confirmer les transactions en attente en les incluant dans la chaîne de blocs (une confirmation signifie qu’une transaction a été vérifiée par le réseau et que ses chances d’être renversée sont quasi inexistantes. Une seule confirmation offre un bon niveau de sécurité. Pour les paiements importants il est fortement recommandé d’attendre qu’une transaction ait accumulé davantage de confirmations – six est la norme la plus courante. Chaque nouvelle confirmation diminue le risque d’un renversement de façon exponentielle). Le minage impose un ordre chronologique dans la chaîne de blocs, protège la neutralité du réseau et permet aux ordinateurs du réseau d’être en accord sur l’état du système. Pour être confirmées, les transactions doivent être incluses dans un bloc (un bloc est un ajout dans la chaîne de blocs qui contient et confirme plusieurs transactions en attente. Toutes les 10 minutes environ, un bloc est ajouté à la chaîne de blocs via le minage) qui doit correspondre à des règles cryptographiques très strictes qui sont ensuite vérifiées par le réseau. Ces règles empêchent la modification d’un bloc antérieur car la logique des blocs suivants serait brisée. Et elles créent l’équivalent d’une loterie compétitive qui empêche tout individu d’ajouter des blocs consécutivement dans la chaîne de blocs. De cette façon, aucun individu ne peut contrôler ce qui est inclut dans la chaîne de blocs ni en remplacer des parties pour annuler ses propres transactions.

Aller plus loin…

Tout cela n’est qu’un résumé très court et concis du système. Si vous voulez aller plus loin dans les détails, vous pouvez lire la spécification originale ou explorer le Wiki Bitcoin.

Source : Bitcoin.fr, Jean-Luc

Où mes bitcoins sont-ils stockés ?

Source : Bitcoin.fr, Jean-Luc

Un bitcoin ce n’est rien de palpable, c’est juste une inscription dans un grand livre dont il existe des milliers de copies (et aucun original).

Les bitcoins ne sont pas stockés à un endroit précis, mais sur tous les nœuds du réseau à la fois, dans la blockchain (le grand registre des transactions). Ainsi vous pouvez recevoir des bitcoins même si votre portefeuille logiciel est éteint, ou même si vous ne posséder aucun portefeuille, mais simplement un couple de clés cryptographiques noté sur un morceau de papier. Un logiciel n’est nécessaire que lorsque vous voulez dépenser vos bitcoins.

La question n’est donc pas de savoir où sont vos bitcoins, mais où est caché le secret de votre clé privée !

Celui qui connait cette clé, possède les bitcoins qui lui sont associés.

Source : Bitcoin.fr, Jean-Luc

Evolution du nombre de bitcoins à travers le temps

Source : Bitcoin.fr, Jean-Luc

Au bloc 210 000 : 10 500 000 bitcoins sur le marché
Au bloc 420 000 : 15 750 000 bitcoins sur le marché
Au bloc 630 000 : 18 375 000 bitcoins sur le marché
Au bloc 840 000 : 19 687 500 bitcoins sur le marché
Au bloc 1 050 000 : 20 343 750 bitcoins sur le marché…

Source : Bitcoin.fr, Jean-Luc

Quelle est la consommation électrique du réseau Bitcoin ?

Le PoW (Proof-of-Work), système de validation à la base de Bitcoin, adapte progressivement la sécurité du réseau à la valeur de sa masse monétaire. En novembre 2017 le coût énergétique de cette sécurité peut être estimé de 10 à 30 milliards de kWh par an… (L’Index est ici)

A titre de comparaison un réacteur nucléaire produit entre 7 et 8 milliards de kWh par an.

Bitcoin : la mise en garde de l’AMF et de l’ACPR

Source : Bitcoin.fr, 04-12-2017

L’Autorité des marchés financiers et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution ont publié aujourd’hui un communiqué commun mettant en garde les investisseurs contre les risques associés au bitcoin, un « actif spéculatif » qui n’est ni « une monnaie », ni « un instrument financier », ni « un moyen de paiement au sens juridique du terme ». L’AMF et l’ACPR recommandent ainsi aux épargnants « la plus grande vigilance avant d’envisager d’y investir une partie de leur épargne ».

Le communiqué

Compte tenu de la forte appréciation du Bitcoin ces dernières semaines et de sa volatilité, l’Autorité des marchés financiers et l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution rappellent les risques associés à un investissement sur ces actifs spéculatifs.

Le Bitcoin est l’un des actifs spéculatifs, parfois qualifiés à tort de « monnaies » virtuelles ou «crypto-monnaies », qui existent actuellement dans le monde. Il s’échange en ligne et n’est matérialisé par aucune pièce ou billet.

Le Bitcoin, comme les autres actifs de ce type, repose sur un protocole informatique de transactions cryptées et décentralisées, communément appelé la « Blockchain ». Son fonctionnement s’appuie sur un réseau sans intermédiaire et il ne bénéficie pas d’un cours légal contrairement aux monnaies émises par les banques centrales.

Depuis plusieurs semaines, le Bitcoin a vu sa valorisation croître brutalement. Cette valorisation peut aussi bien s’effondrer de la même manière. L’achat/vente et l’investissement en Bitcoins s’effectuent à ce jour en dehors de tout marché réglementé.

Les investisseurs s’exposent par conséquent à des risques de perte très élevés en cas de correction à la baisse et ne bénéficient d’aucune garantie ni protection du capital investi.

L’AMF et l’ACPR sont de plus en plus sollicitées à travers leurs centres d’appels par des épargnants à ce sujet.

Parce qu’ils ne sont pas considérés en l’état actuel du droit comme des instruments financiers, le Bitcoin et les autres « crypto » actifs n’entrent pas dans le périmètre de supervision directe de l’AMF. Ils ne peuvent pas non plus être qualifiés de monnaies ni être considérés comme des moyens de paiement au sens juridique du terme. Par conséquent, ils ne sont donc pas non plus assujettis au cadre réglementaire relatif aux moyens de paiement.

De façon plus générale, les deux autorités tiennent à préciser que l’environnement technologique Blockchain est susceptible d’offrir de nombreuses possibilités en termes d’usages par les entreprises. Ces technologies participent donc, comme d’autres, au développement de l’innovation.

Néanmoins, au cas particulier des « crypto » actifs reposant sur la blockchain, et compte tenu de leurs caractéristiques techniques, de leur forte volatilité et en l’absence de réglementation spécifique, l’AMF et l’ACPR recommandent aux épargnants la plus grande vigilance avant d’envisager d’y investir une partie de leur épargne.

Sources : amf-france.orgacpr.banque-france.fr

Source : Bitcoin.fr, 04-12-2017

L’envolée du bitcoin, le nouveau « trouillomètre » qui a remplacé l’or !

Source : Bitcoin.fr, Youtube, 24-10-2017

Comment expliquer le succès du bitcoin, dont la valeur s’est envolée depuis 4 ans ? La flambée de cette cryptomonnaie témoigne de la prise de conscience d’une fin proche du système monétaire selon Olivier Delamarche, fondateur de Triskelion Wealth Management. Ecorama du 24 octobre présenté par David Jacquot sur boursorama.com

Source : Bitcoin.fr, Youtube, 24-10-2017

Bitcoin: comprendre les enjeux de la monnaie virtuelle

Source : TV Bilan, Youtube, 21-10-2015

Comment fonctionne le bitcoin? Menace-t-il la place financière? Peut-on s’enrichir avec cette technologie? Michel Girardin, Alexis Roussel, Adrien Treccani et Michel Juvet analysent les enjeux de la crypto-monnaie.

Avec «Comment ça marche», Bilan décode les innovations technologiques et les modèles d’affaires.

Source : TV Bilan, Youtube, 21-10-2015

Nous vous proposons cet article afin d'élargir votre champ de réflexion. Cela ne signifie pas forcément que nous approuvions la vision développée ici. Dans tous les cas, notre responsabilité s'arrête aux propos que nous reportons ici. [Lire plus]Nous ne sommes nullement engagés par les propos que l'auteur aurait pu tenir par ailleurs - et encore moins par ceux qu'il pourrait tenir dans le futur. Merci cependant de nous signaler par le formulaire de contact toute information concernant l'auteur qui pourrait nuire à sa réputation. 

Commentaire recommandé

Popy // 19.12.2017 à 09h49

« monnaie virtuelle pour une economie virtuelle »
Toutes les monnaies sont virtuelles aujourd’hui. Par contre, acheter une vidéo à la demande, c’est de l’économie réelle.

« M’obliger a payer une taxe fonciere en bitcoin sinon je suis expulse,la je ne serai pas content »
Et pourquoi donc ? Une monnaie, ça n’est rien d’autre qu’un truc sans valeur à laquelle on accorde une certaine valeur. Payer en euros, en dollars ou en bitcoins, ca ne change strictement rien à ce que ça te coute réellement.

75 réactions et commentaires

  • LBSSO // 19.12.2017 à 08h12

    Bitcoin: décryptage avec:
    Mirko Hayat, professeur de droit et fiscalité à HEC Paris.
    Gonzague Grandval, fondateur de Paymium et de ChainForge.
    Alain Pitous, directeur général de Talence Gestion.
    Et Adrien Lafuma, CTO de Blockchain Partner. – Les Décodeurs de l’éco, du mardi 7 novembre 2017, présenté par Fabrice Lundy, sur BFM Business.

    http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/le-bitcoin-un-mirage-0711-1000285.html

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  • calal // 19.12.2017 à 08h24

    une remarque vite fait sur la « forme du bitcoin » : comme dit sur un site alt americain, souvent on represente un bitcoin par une piece en or ou en argent ou avec le signe caracteristique du dollar.

    La sur le meme site,je viens de voir une iconographie bitcoin versus etherum ,ou les deux sont representes par un  » signe digital » sans lien avec une « monnaie traditionnelle »: ben j’ai vraiment eu l’impression de me retrouver dans un jeu video, en train d’amasser la monnaie du jeu ou la mana…

    monnaie virtuelle pour une economie virtuelle ( bitcoin pour payer une video a la dmeande etc),ca me parait bien. M’obliger a payer une taxe fonciere en bitcoin sinon je suis expulse,la je ne serai pas content…

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    • Popy // 19.12.2017 à 09h49

      « monnaie virtuelle pour une economie virtuelle »
      Toutes les monnaies sont virtuelles aujourd’hui. Par contre, acheter une vidéo à la demande, c’est de l’économie réelle.

      « M’obliger a payer une taxe fonciere en bitcoin sinon je suis expulse,la je ne serai pas content »
      Et pourquoi donc ? Une monnaie, ça n’est rien d’autre qu’un truc sans valeur à laquelle on accorde une certaine valeur. Payer en euros, en dollars ou en bitcoins, ca ne change strictement rien à ce que ça te coute réellement.

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      • calal // 19.12.2017 à 19h17

        Par contre, acheter une vidéo à la demande, c’est de l’économie réelle.:

        c’est un fichier electronique qui est duplique: pour moi c’est pas ce que j’appelle de « l’economie reelle ».

        « Une monnaie, ça n’est rien d’autre qu’un truc sans valeur à laquelle on accorde une certaine valeur. » non derriere certaines monnaies , y a la pression de la force armee d’un gouvernement…ce n’est pas moi qui accorde une valeur a cette monnaie, j’y suis oblige par l’impot et la menace de la violence legale.
        Que les gens qui veulent aller sur bitcoin y aillent. Que l’etat ne m’oblige pas a y aller c’est tout ce que je demande.

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    • 5cents // 20.12.2017 à 06h31

      le symbole utilisé partout est en fait celui du Bath Thaïlandais !
      Une initiative existe pour promouvoir un logo différent
      https://bitcoinsymbol.org

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  • BOURDEAUX // 19.12.2017 à 10h09

    « il n’y a pas de coût de transaction sur le bitcoin »…Il ne paye pas ses factures EDF celui-là ? Entre l’énergie consommée pour sécuriser le système et celle dépensée pour chaque transaction, le BTC est, de loin, l’unité « monétaire » la plus chère à produire et à utiliser.

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    • Popy // 19.12.2017 à 12h42

      Le cout énergétique de la transaction est a la charge du mineur, pas de l’émetteur ou du receveur des fonds.

      Et comment affirmer que c’est la monaie la plus chère a produire ? Tu a fait le calcul de l’énergie consommée par les banques pour comparer ?

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      • some // 19.12.2017 à 13h34

        on peut ajouter que la production minière, si on calcul son cout environnementale totale, est extrêmement polluante sans que l’on puisse y changer quoi que ce soit structurellement.

        Le btc, les cyptos en général, peuvent fonctionner sur du renouvelable, pas de manière ultra optimum, mais c’est du domaine de l’envisageable.

        La production minière ne peut se passer de la destruction de l’environnement pour exister.

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        • Alfred // 19.12.2017 à 18h11

          Le moins cher pour l’environnement cela reste la monnaie Fiat. Du PQ ou des bouts de bois peu importe, du moment qu’on coupe les c.. aux tricheurs. C’est la modernité de dans 150 ans quand les choses inefficientes comme la blockchain auront fait la preuve du gâchis qu’elles représentent. De même que dans 200 ans le qi sera remonté (le cerveau humain qu’elle merveille technologique..) quand on préférera faire de l’eau propre avec des Joules plutôt qu’une petendue ia inutile.

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    • Ben // 20.12.2017 à 10h03

      Desole cette affirmation est fausse.
      Une transaction en bitcoin a un coût, (fees) qui détermine la vitesse de traitement de la transaction.

      Elle dépend de la taille de la transaction, qui n’est pas son montant, mais le nombre de sources / destinations des bitcoins.

      Si vous ne voulez pas payer, votre transactions sera placé en priorité basse, soit 2 semaines à 1 mois de traitement, voir annulée car personne n’a voulu s’en occuper.

      Si vous voulez que votre transaction soit validée en moins d’une heure, comptez en ce moment au moins 20€ pour une simple transaction (soit la consommation électrique d’une maison sur une semaine)

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  • Véloute // 19.12.2017 à 10h41

    « L’application initiale et l’innovation principale du réseau Bitcoin c’est un système de monnaie numérique décentralisée dont l’unité de compte, le bitcoin, est essentiellement acquis à des fins SPECULATIVES ou POUR PROTEGER L’EPARGNE PARTOUT OU L’INFLATION MONETAIRE LA MENACE. »

    D’entrée de texte, je décroche. Protéger son épargne de l’inflation à l’aide d’un outil spéculatif, à l’instar des monnaies mais à la valeur volatile et adossée à rien : quelqu’un peut-il m’expliquer le concept ? (question rhétorique)

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    • rosecestlamort // 19.12.2017 à 11h12

      théorie et pratique sont 2 mondes parallèles 🙂
      plus concretement, bitcoin est devenu un outil speculatif à la minute où ont été montés des sites d’échange. En termes pratiques, il n’avait cependant que bien peu de chances d’avoir une autre utilité, certes on peut commander des barrettes de RAM ou une pizza avec, mais ça fait pas un ecosysteme. Pour que le commerce au sens large l’accepte, il faut que l’etage au dessus des commercants (soit la finance) l’accepte aussi en tant que monnaie. Ca n’arrivera jamais. Ils n’ont aucune objetion à la dematerialisation totale de l’argent (bien au contraire) mais ils veulent en garder le controle.. Au mieux ça sert juste d’insipration à des petits malins scenaristes comme pour le e-coin de Mr Robot 😉

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      • Popy // 19.12.2017 à 12h49

        On peut deja acheter de matériel, louer des machines, des chambres d’hôtel, et le japon l’accepte comme moyen de paiement officiel. Pour qu’il y ait une transaction, il suffit que deux personnes soient d’accord.

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        • rosecestlamort // 19.12.2017 à 15h21

          8 ans apres ses debuts :

          . je peux toujours pas faire mes courses avec
          . je peux toujours pas payer mon loyer avec
          . je peux payer aucune de mes factures avec.

          mais à part ça l’avenir est radieux il parait 😉

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          • Popy // 19.12.2017 à 23h45

            Et donc ? Vous ne trouvez pas qu’en huit ans, c’est déjà énorme ? Que le bitcoin qui fait apparaitre la notion de crypto monnaie soit toujours debout, vale quelque chose, et soit de plus en plus utilisable, le tout sans avoir un état derrière pour l’imposer à une population ?

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            • rosecestlamort // 20.12.2017 à 09h32

              on peut laisser les fantasmes libertariens au placard 5 mn pour s’apercevoir qu’il n’est pas « de plus en plus utilisable » si vous suivez un peu mais de moins en moins (temps de validation toujours plus long, frais autour de 15 euros pour la moindre transaction à ce jour, tu parles d’une revolution qui libere…), le mur ne fait que monter au fil du temps avec la blockchain, aussi « revolutionnaire » fut-elle. Je me permets d’ailleurs d’en parler un peu au passé puisque si vous vous renseignez un peu vous verrez qu’il y a déjà d’autres cryptos en developpement qui ont compris le probleme et qui font une croix dessus, preferant miser sur d’autres systemes de validation pour en finir avec les frais de transaction/les temps d’attente/l’imbitable scalabilité de la blockchain. Je ne mentionnerai aucune crypto parce que je ne suis pas là pour en faire la pub mais allez voir du coté des graphes acycliques pour comprendre ce qui est en train de se jouer, il y en a qui sont furax en ce moment coté crypto « traditionnelles » à s’apercevoir qu’ils ont peut-etre pas misé sur le bon cheval/la bonne techno 😉

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            • porcinet // 20.12.2017 à 12h23

              Enorme, j’en suis tout retourné.
              Demain les humains sont intelligents, empathiques et ne polluent plus.
              Merci le bitcoin.

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      • some // 19.12.2017 à 13h30
      • Véloute // 20.12.2017 à 04h23

        Ma connaissance du sujet est lacunaire, mais peut-être pourrez m’éclairer sur ces quelques questions (que j’admets rhétoriques) :

        – Le « spéculatif » du bitcoin ne repose-t-il pas, comme pour tout objet de spéculation, sur sa rareté ? Or, la rareté de bitcoin n’a-t-elle pas été fixée (arbitrairement, parce qu’adossé à aucune valeur objective) d’emblée ?
        – Le « spéculatif » de bitcoin, par conséquent, n’est-il pas intrasèque au concept (comprendre, antérieur à « l’apparition de sites d’échange » ?
        – La valeur du bitcoin n’est-elle pas fonction, comme de toute monnaie, de la confiance que l’étage « le plus inférieur » lui prête ? Seulement,

        Reste le facteur, pendant de la confiance, de la garantie. Et c’est là que le bas blesse : si une monnaie garde la confiance des « étages inférieurs » tant que sa valeur est garantie par l’état (plus précisément par la Banque Centrale), le bitcoin se comporte pour l’heure, à mon sens, plus comme un artiste contemporain, à la côte qui s’envole par effet de confiance des acteurs, sans garantie en cas de chute.

        On voit, d’ailleurs, à titre complémentaire, que son usage est mineur en termes d’échanges (paiement de biens/services) par rapport à son usage capitalistique (placement, spéculation).

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    • Ferdi // 19.12.2017 à 14h25

      « Protéger son épargne », la bonne blague. C’est se faire plumer si on y prête pas attention. Je préfère de loin la pièce ou le lingot d’or qui est un élément physique qui possède une valeur intrinsèque et qui ne peut pas disparaître du jour au lendemain.

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      • 5cents // 20.12.2017 à 06h56

        Je suis d’accord avec vous sauf que la valeur intrinsèque est subjective. Les stocks d’or sont immense par rapport a son usage industriel ou en joaillerie sans la valeur subjective due a une très longue histoire l’or serait bien meilleur marché.
        En europe l’or représente une très faible partie de l’épargne et les jeunes n’ont pas le rapport au métal jaune qu’avait la génération avant 1971, en asie c’est différent mais les mentalités peuvent aussi évoluer. L’homme est un animal croyant, la valeur des choses en dépend et les croyances peuvent changer rapidement dans un monde interconnecté.

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  • some // 19.12.2017 à 10h47

    la grande questions c’est de rendre utile ce bouzin, n’en déplaise à ses fervent croyants.

    quelques idées
    – les 2/3 de co2 ont déjà étaient émis dans l’atmosphère depuis la rév indus
    – le co2 restera dans l’atmosphere 10K ans
    – on par sur +2°, c’est 35% du -5° connu il y à 4 millions d’années. Il faut tenter de s’imaginer la puissance colossale développée par les systèmes climatique pour contre balancer.

    interdire le bitcoin car => consomme trop => dans des temps où il nous faut optimiser notre consommation => ne changera pas le problème du co2 => Par contre, cela ouvre un précédent imparable pour justifier l’interdiction illico presto des comportements jmenfoutiste envers notre air.

    Si l’interdiction du bitcoin mène à ce scénario, on aura tout gagné. Dans tous les cas contraire on perd du temps, de l’énergie, de la volonté, du commun, de la liberté etc.

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    • Le Rouméliote // 19.12.2017 à 11h44

      Sauf que « la fraction de CO2 d’origine anthropique dans l’atmosphère n’excède pas 5% » des 400ppm de CO2 dans l’atmosphère, soit 20ppm. La part de l’Europe est de 11% des émissions humaines, donc 0,55% de 400ppm. La faire baisser de 20% fera passer sa part de 0,55 à 0,45% avec des coûts exorbitants… pour rien, donc ! Contrairement à notre président qui croit que le CO2 est un polluant atmosphérique, il est inutile de s’affoler : notre air se porte très bien !
      Lire François Gervais (physicien thermodynamicien, professeur d’université émérite, médaillé du CNRS, primé par l’Académie des Sciences et rapporteur critique du Giec), L’Innocence du carbone, Albin Michel, 2013.

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      • some // 19.12.2017 à 12h06

        moi c’est le genre d’attitude qui me donne envie de mettre en branle mon plan de ferme de minage a .5 million de dollar histoire de participer à la grande messe moi aussi.

        Allons y gaiement!

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      • some // 19.12.2017 à 12h26

        on va planter le décor et tenter une approche pragmatique car c’est une bataille d’expert http://www.kin152.org/climatologie/reponse_au_monde.pdf

        Bien malin celui qui saura dire avec certitudes.

        Alors voilà ce que je vous propose, on organise une réunion publique, où vous pourrez faire la démonstration au monde entier, on fera un live youtube pour que vous deveniez célèbre, que mettre sa bouche sur un pot d’échappement d’une voiture en fonctionnement est bénéfique pour votre corps.

        Si vous faites cela, et je suis prêt à ne pas attendre 6 mois que votre cancer se déclare, je deviendrais un fervent partisan de votre croyance.

        D’ici là, j’ai mes propres expériences pour me guider dans cette bataille d’expert.

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        • Le Rouméliote // 19.12.2017 à 15h09

          Il ne s’agit d’aucune croyance de ma part, contrairement aux thuriféraires du Giec, mais de science. D’ailleurs, le pdf que vous citez montre clairement, pour peu qu’on se donne la peine de lire, que les arguments de François Gervais sont nettement plus solides que ceux du Monde.
          Enfin, le CO2 n’a rien à voir avec ce qui sort du pot d’échappement d’une voiture ! Une voiture émet des polluants nocifs pour le corps du genre oxydes de soufre, d’azote, benzène, particules fines, etc. Ce qui est un problème (réel celui-là !) mais qui n’a rien à voir avec les climats de la Terre ! Ceci dit, je roule au GPL, ce qui est de loin le plus propre en attendant le GNL… Et moi aussi, j’ai mes propres expériences, dont celle d’avoir étudié la climatologie !

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        • Véloute // 20.12.2017 à 03h56

          « D’ici là, j’ai mes propres expériences pour me guider dans cette bataille d’expert. »

          On fera confiance à vos propres expériences (très à propos… Enfin, moi je ne vois pas et pas envie de chercher mais je vous fais confiance) de collage de bouche sur un pot d’échappement…

          Je n’attends pas, en revanche que votre cancer par CO2 induit se déclare, hein ? D’autres montrent que le plus vachard monoxyde de carbone vous a emporté tellement biiiiIiiiiien avant.

          Merci d’avoir tenté de participer au débat et mes sincères condoléances à votre famille.

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    • Popy // 19.12.2017 à 12h51

      Depuis quand on réfléchis a l’environnement dans les politiques économiques ? Si c’était le cas, il n’y aurait pas d’autres interdictions avant le bitcoin ?

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      • some // 19.12.2017 à 13h19

        vous avez tout à fait raison,
        ce n’est pas une raison pour reproduire les erreurs du passé.

        C’est aussi stupide que cela.

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        • popy // 19.12.2017 à 14h12

          « ce n’est pas une raison pour reproduire les erreurs du passé »
          On est d’accord… sauf que puisque l’environnement n’a jamais été un argument, il ne va pas le devenir pour le bitcoin. Le bitcoin est un outil financier comme un autre, avec lequelle les riches peuvent s’enrichir, il n’y a donc aucune raison qu’un argument écolo viennent géner tout ça.

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  • Dany // 19.12.2017 à 11h12

     » le bitcoin, est essentiellement acquis à des fins spéculatives ou pour protéger l’épargne »
    Je ne savais pas que c’était compatible…

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  • BOURDEAUX // 19.12.2017 à 11h33

    J’ai beau lire et relire le billet, la valeur d’un BTC ne me semble pas devoir dépasser celle de l’énergie qu’a nécessitée son émission. Autrement dit, cela ne vaut rigoureusement RIEN. La seule valeur que je perçois dans ce système, c’est la relative sécurisation des propriétaires et de leurs échanges, sans toutefois comprendre qu’il puisse être utile de sécuriser des échanges sans valeur.

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    • rosecestlamort // 19.12.2017 à 12h11
    • some // 19.12.2017 à 12h35

      où l’on se rend compte qu’il va falloir refaire tout une éducation économique..

      Les temps à venir vont être très intéressant avec ce genre de persistance dogmatique et la pression qui continue d’augmenter de toute part.

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    • Popy // 19.12.2017 à 12h54

      Il vaut quoi ton billet de 20 euros imprimé sur du papier ? Ou le chiffre de ton compte en banque, quelque part sur un ordinateur ?

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      • Olivier MONTULET // 19.12.2017 à 13h23

        Il s’adosse à l’économie de la zone Euro et est garanti par celle-ci.

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        • Popy // 19.12.2017 à 13h27

          Donc tu penses que si tout le monde va retirer son argent la banque centrale va imprimer des billets ?

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          • Olivier MONTULET // 19.12.2017 à 13h56

            La monnaie depuis son invention repose sur la confiance… Et des abuseurs de confiance, il y en a toujours eu. 4000 ans avant JC à Babylone des fraudeurs avaient inventé la pile électrique pour doré par la dialyse des pièce en cuivre.
            La Bitcoin est fondé sur la spéculation à l’instar des spéculateurs en bourse. Tous les spéculateurs sont des destructeurs des économies n’en déplaise au monde financier qui prétend le contraire pour justifier leurs abus du plus grand nombre.

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            • popy // 19.12.2017 à 14h03

              « La monnaie depuis son invention repose sur la confiance »
              Exactement. Et rien d’autre. Une monnaie n’a de valeur que parce qu’on lui en donne. A l’instant où on perd confiance, tout s’écroule.

              « La Bitcoin est fondé sur la spéculation »
              Absolument pas. Le bitcoin est une monnaie en quantité limitée, et sa valeur est dépendante des usages qui en sont fait, bref, de l’offre et de la demande. Rien n’oblige à spéculer sur le bitcoin. On peut tout à fait se faire payer en bitcoin, et acheter des choses en bitcoin, sans être obligé de spéculer. Simplement, comme ça n’est pas une monnaie nationale, on constate tous sa prise de valeur (alors que les fluctuations de l’euro sont quasiment invisibles pour nous). Et comme c’est de plus en plus utilisé, la demande fait monter le prix, et attire les spéculateurs.

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            • Véloute // 20.12.2017 à 04h36

              Popy,
              Attention aux raisonnements incohérents :
              « Le bitcoin est une monnaie en quantité limitée, et sa valeur est dépendante des usages qui en sont fait, bref, de l’offre et de la demande. »
              [Okey..]
              « On peut tout à fait se faire payer en bitcoin, et acheter des choses en bitcoin, sans être obligé de spéculer. »
              [OKey…]
              « Simplement, comme ça n’est pas une monnaie nationale, on constate tous sa prise de valeur »
              [Là, je suis perdu… Gné, quoi, d’où ça ça sor, où ça va ?]
              « Et comme c’est de plus en plus utilisé, la demande fait monter le prix, et attire les spéculateurs. »
              [Ouais, donc,… Si on l’utilise, ça fait monter le prix donc attire les spéculateurs. Solutions : il ne faut pas l’utiliser, pour ne pas faire bouger le prix et le préserver de la spéculation. Donc, laisser mourir le truc. Conclusion : bitcoin est, par essence un objet de spéculation. CQFD. Merci, au revoir]

              Si je tire des conclusions sophistiques hâtives, merci de préciser AVEC PLUS DE COHERENCE le concept.

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            • BOURDEAUX // 20.12.2017 à 12h57

              Si la monnaie est effectivement le reflet de la confiance publique, c’est parce qu’elle est émise à proportion de la création de richesses dans une économie donnée (idéalement, hein ? oublions ici les délires actuels à la BCE et à la FED). Ce qui me fait donc dire que le btc ne vaut rien : un mineur de btc ne crée pas de richesse lorsqu’ il « fabrique » un btc, il ne crée qu’une valeur virtuelle.

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          • Okkoh // 19.12.2017 à 16h11

            Il suffit de demander aux grecs, aux chypriotes, aux vénézuéliens, aux gens du Zimbabwe (pas sûr du nom des gens là bas :D)

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        • step // 19.12.2017 à 13h29

          Je ne suis pas sûr de savoir celui qui est sensé être rassurant.

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          • Olivier MONTULET // 19.12.2017 à 13h59

            Tout est une queston de confiance. Le Bitcoin à profité d’une perte de confiance dans les millieux bancaire mais surtout permet des transactions mafieuses en toute impunité ainsi que le blanchiment d’argent sale. C’est ce qui a déclenché sa valeur. Dans un second temps c’est l’aspect spéculatif qui a rajouté à son attraction et dans un troisième temps l’idée d’argent facile.

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            • yclick // 19.12.2017 à 18h12

              « transactions mafieuses en toute impunité » Il va falloir relire l’article. La liste des transactions est publique et partagée par tous…
              Bref c’est (beaucoup) moins anonyme que du liquide… Et même la monnaie électronique légale est moins transparente que ça…

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    • Kris // 20.12.2017 à 08h04

      Si le prix est fixé sur le prix de l’energie / la création de monnaie. Le prix du bitcoin ne fera qu’augmenter.
      Dire que ce sont des échanges sans valeur est tout de même incorrect puisque comme toute autre monnaie sa valeur est celle que certains lui accorde.
      De plus en plus de technologies blockchain proposent un consensus bcp plus vert. Le secteur énergétique d’ailleurs est très impliqué dans la blockchain afin de créer des certificats d’orignie ou l’équilibrage du réseau. Ce sont des applactions réelles qui arrivent grâce au bitcoin.

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  • Olivier MONTULET // 19.12.2017 à 12h47

    Le bitcoin c’est assez simple.
    C’est une merde pyramidale de spéculation capitaliste. Il n’est adossé à aucune valeur réelle et encore moins à une activité industrielle. Aucune garantie n’y est associée. Il va finir à court ou moyen terme par s’effondrer au plus grand profits de son « inventeur » et des gros de la finance, les petits leur cédant ainsi tous leurs investissements et épargne. Le Bitcoin devrait être interdit et son pseudo-inventeur mis en prison.
    Cessons de lui faire de la publicité.

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    • Olivier MONTULET // 19.12.2017 à 14h02

      En fait, il n’est pas juste de dire que le bitcoin n’est adossé à rien. Il est adossé à l’économie mafieuse et frauduleuse (transaction criminelles, blanchiment d’argent, fraude fiscale, optimalisation fiscale…).
      Le pari est de dire que cette économie est plus stable que les autres économies.
      Mais la spéculation risque bien de provoquer son écroulement…
      Il est urgent que la puissance publique mette fin à toutes les crypto-monnaies dont le bitcoin.

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    • popy // 19.12.2017 à 14h10

      « C’est une merde pyramidale »
      Il n’y a pas de pyramide.

      « Aucune garantie n’y est associée. »
      Comme sur l’intégralité des monnaies actuelles.

      « au plus grand profits de son “inventeur” »
      Fort peu probable. Comme dans toutes les bulles, ceux qui y gagnet sont ceux qui ont vendu avant l’éclatement. Le créateur ne touche pas d’argent quand la bulle éclate.

      « leur cédant ainsi tous leurs investissements et épargne »
      A quel moment ça se passe ça ?

      « Le Bitcoin devrait être interdit et son pseudo-inventeur mis en prison. »
      Au nom de quoi ?

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      • Patte blanche // 19.12.2017 à 23h18

        Tout comme Olivier M., je pense que c’est bien un système pyramidal : Les premiers seront plus avantagés que les derniers et ce système a été créé pour cela ou au moins en partie (comme une mine d’or dont les premiers pourront le mieux profiter du filon, suivi par d’autres qui pourront en profiter mais un peu moins, suivi par d’autres etc.).
        Et comme on achète des bitcoins en dollars ou en euros (ou …) et que l’on revend des bitcoins en dollars ou en bitcoins (ou …), il n’y a pas de création de richesses (la mine d’or est composée par tous ceux qui y ont participé). Quant aux biens ou services que l’on peut acheter en bitcoins, ils peuvent être évalués avec les monnaies classiques.
        Et donc, si quelqu’un a pu gagner 1 million de dollars, ce million vient bien de quelque-part, ici des prochains et nombreux derniers de ce système lorsque ce dernier sera épuisé (il n’y a pas une infinité d’acheteurs sur notre planète).

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        • Popy // 19.12.2017 à 23h39

          C’est une monnaie. Évidemment que ca ne crée pas de richesse. Et ca n’est pas non plus une pyramide, puisque meme quand la bulle aura explosé, personne n’aura gagné ni perdu de bitcoins.

          Ne confondez pas pyramide et bulle speculative

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          • Patte blanche // 20.12.2017 à 01h52

            Effectivement, ce n’est pas un système pyramidal si on raisonne seulement en bitcoins, mais je regrette : ce système est pyramidal par rapport aux autres monnaies auxquels il est référencé.

            Et un acquéreur voyant à quel point le bitcoin a pris de l’importance aura sérieusement du mal à ne pas être tenté de ne pas revendre ses bitcoins avant sa probable chute. Combien parmi ceux-là seront prêt à suivre jusqu’au bout l’idéal de cette monnaie hors du commun, jusqu’à la fin de la phase spéculative ?

            Sinon, je n’ai pas pensé à la notion de bulle spéculative en écrivant mon précédent message, j’ai repéré simplement les caractéristiques des systèmes pyramidaux.

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    • Stephane // 19.12.2017 à 20h42

      Le système financier actuel est une chaine de ponzi .: Jacques Attali : « Madoff et les gouvernements occidentaux font la même chose »
      Publié le 30 décembre 2013 par Olivier Demeulenaere
      « Au fond, la seule différence entre Monsieur Madoff et les gouvernements occidentaux, c’est que Monsieur Madoff est en prison, à part ça ils font la même chose (…) . »Et pour ce qui concerne le blanchiment d’argent je pense que le bitcoin est très loin derrière la HSBC ( Voir « Les Gangsters de la finance » sur Arte)

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  • Catalina // 19.12.2017 à 13h14

    Votre bitcoin n’est plus anonyme

    « Via Bitcoin.com :

    Selon un contrat récemment obtenu par le Daily Beast, l’IRS peut maintenant suivre les bitcoins et d’autres crypto-monnaies. Ils peuvent le faire pour éliminer toute éventuelle évasion fiscale. Ils ont acheté des logiciels du groupe d’analyse des blockchains, Chainanalysis. »

    ws/your-bitcoin-is-not-anonymous-irs-moves-to-track-bitcoiners-with-new-chain-analysis-tools_08252017
    traduit en français sur un site francophone.

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    • some // 19.12.2017 à 14h04

      Le protocole n’est pas prévu pour cela, il faudrait expliquer le cryptonote pour commencer à parler de monnaies anonyme.

      A l’usage, une solution existe pour anonymiser les échanges, c’est simplement un système de mélanges des paiements de plusieurs personnes via une troisième partie.
      C’est cette étape du mélange qui crée l’anonymat à l’échange de btc, SI on a confiance dans le mélangeur.

      Il me semble que ce dont vous parlez c’est d’identifier les porteurs sur les plateformes d’échanges (achat/revente de btc).
      Ils cherchent à identifier les gros porteurs qui font des aller – retours btc – $$, et inversement.
      Comme bien évidemment on assiste à un gros mouvement spéculatif, la plupart des gens visés sont des nuisible qui n’ont rien apporté à la consistance de ce projet.

      Et cela n’a strictement rien à voir avec le protocole qu’il soit capable ou non d’anonymiser.
      Si j’achète du monero via bitfinex, l’irs le saura, si je le revends pour du $$, l’irs sera informé.
      Pourtant monero est une monnaie cryptonote, donc anonyme.

      Pour les puristes qui minent leurs btc, achètent/vendent en btc, ce truc ne fonctionne pas.

      Au mieux on va assister à une recrudescence de la vente de la main-à-la-main et favoriser ainsi le ligthning network (https://lightning.network/).

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  • Catalina // 19.12.2017 à 13h17

    La monnaie unique mondiale des globalistes ressemblera beaucoup à Bitcoin

    Par Brandon Smith – Le 27 juillet 2017

    « Tapez crypto-monnaie sur le web comme bitcoin. Bitcoin arrive apparemment de nulle part, mise en place par un crypto-magicien du nom de Satoshi Nakamoto, une étiquette censée représenter une personne ou un groupe de personnes que personne n’a jamais vu ni entendu. Nous sommes simplement censés avoir la foi qu’ils ne travaillent pas pour la NSA ou une entité similaire. Mais qui se soucie de qui ils sont, n’est-ce pas ? Peu importe parce que bitcoin est une œuvre d’art, elle est presque infaillible – la contre-mesure parfaite d’un monde monétaire dominé par le dollar et la Réserve fédérale. »

    http://alt-market.com/articles/3239-the-globalist-one-world-currency-will-look-a-lot-like-bitcoin

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    • popy // 19.12.2017 à 14h07

      « Mais qui se soucie de qui ils sont, n’est-ce pas ?  »
      Exactement. Pourquoi s’en soucier ? Le protocole de bitcoin est public, il n’y a rien de caché la dedans, et qu’une monnaie internationale sans contrôle des états serve la mondialisation n’est un secret pour personne.

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      • Alfred // 19.12.2017 à 18h21

        Il me semble que vous passez totalement à côté de la capacité de contrôle que procure le bitcoin (ou plus généralement la blockchain). C’est un grand danger et un immense piège à cons pour le grand public (voir etherum). Le bitcoin c’est de la blague pour faire de la recherche et payer les mots cassés. Si jamais ses inconvénients ne sont jamais surmontés cela aura été une pyramide de ponzi (qui va assurer les transactions quand le dernier bit con aura été émis (personne)). Si jamais ses inconvénients sont surmontés alors malheur à nous car nous entrerons dans un monde où chacun sera piste à chaque seconde de la naissance à la mort (c’est CELA le seul intérêt de la blockchain et il n’est pas pour nous).

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        • Popy // 20.12.2017 à 01h33

          « Il me semble que vous passez totalement à côté de la capacité de contrôle que procure le bitcoin »
          De quoi parlez vous exactement ?

          « Si jamais ses inconvénients ne sont jamais surmontés cela aura été une pyramide de ponzi »
          Aucun rapport. Si le système toombe, c’est juste une monnaie inutilisable. Une pyramide de ponzi utilise une monnaie existante, et des gens en perdent. Si bitcoin meurt, tout le monde garde ses bitcoins, comme au Zimbabwe. C’est juste que ca ne sers a rien.

          « qui va assurer les transactions quand le dernier bit con aura été émis (personne) »
          AU hazard :
          1) Ceux qui ont des bitcoins et qui ont donc un intéret à ce que le système fonctionne encore pour ne pas tout perdre
          2) Des banques (juste pour info, elles assurent actuelllement l’essentiel des transfers de fond avec des monnaies qui ne se minent pas…)

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          • Alfred // 22.12.2017 à 18h38

            0) cela aura bien été une pyramide pour ceux qui ont acheté ces derniers mois..
            1) quelque chose vous a échappé : à quel coût cela sera t il i encore intéressant MEME pour ceux qui en possèdeont encore?
            2) décidément vous n’avez pas compris le problème avec la blockchain : les coûts ne peuvent QUe croître indéfiniment (alors qu’avec Swift par exemple ils sont stables).
            (Je ne défend pas les banques que je déteste mais il faudrait comprendre le problème avec le BC un jour…).

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        • Popy // 20.12.2017 à 01h33

          « Si jamais ses inconvénients sont surmontés alors malheur à nous car nous entrerons dans un monde où chacun sera piste à chaque seconde de la naissance à la mort »
          Ca n’est que partiellement vrai. Il y a des moyens de suivre des transfers, mais pas d’identifier le possesseur d’un compte (et une MAJ est sensée améliorer cette anonymisation). Ce suivi de transfers permet éventuellement de suivre l’argent sale et « taper » sur l’utilisateur final de cet argent sale (c’est a dire lorsqu’on arrive a identifier le possesseur d’un wallet lorsqu’il dépense les bitcoins par exemple).

          Au final, en l’état actuel des choses, un wallet bitcoin de particulier est plus « secret » qu’un compte en banque normal, sans compter de la quantité d’information dont les banques disposent sur nous. SI vous ne voulez pas être espionné, j’espère que vous n’avez pas de compte en banque, sinon ca veut dire que votre banquier connait le détail de vos revenus et de vos dépenses.

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  • Okkoh // 19.12.2017 à 17h21

    En réponse au chapitre « Quelle est la consommation électrique du réseau Bitcoin ? », j’aimerai clarifier la chose.

    La source choisie, le BECI de Digiconomist, est UNE façon d’estimer la consommation. Mais elle n’est pas impartiale (Parcours de l’auteur Alex de Vries https://www.linkedin.com/in/alex-de-vries-a5b51349/ ) et pas dénuée d’erreurs http://blog.zorinaq.com/serious-faults-in-beci/

    Dès lors, présenter le BECI comme l’Index de la consommation Bitcoin, avec un grand i, est quelque peu… étrange. C’est pourtant quelque chose qui est faite par beaucoup de gens. Ce que je trouve encore plus étrange.

    Ca ne veut pas dire que Bitcoin crée de l’énergie, mais ce qui est inexact mérite d’être corrigé.

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    • Kiwixar // 19.12.2017 à 19h55

      Si vous êtes en désaccord avec la méthode de calcul, vous devriez vous empresser de proposer une autre source ou un autre calcul, car il me semble que la consommation électrique du BTC est un talon d’Achille le condamnant à court terme.

      Ça expliquerait pourquoi la part du bitcoin par rapport aux autres cryptos est en forte baisse (de 90% à 50%) : les connaisseurs vendent pour se positionner sur des meilleures cryptos, tout en faisant la promotion du bitcoin partout pour trouver des pigeo… euh des amateurs éclairés.

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      • Alfred // 20.12.2017 à 01h30

        Bonjour
        Quelles sont les autres cryptomonaies que vous connaissez? En quoi sont elles meilleures?

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        • Popy // 20.12.2017 à 01h41

          Il y en a un millier sur https://coinmarketcap.com

          Certaines ont une meilleure anonymité des transactions (Monero), d’autres supportent des tokens et des smart contracts (Etherums), certains sont basés sur d’autres formes de minage (Le bitcoin fonctionne en Proof of Work, il y a des proof of stake, des système de voters, etc), d’autres proposent des transactions plus rapides, etc etc.

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      • Popy // 20.12.2017 à 01h38

        LE cou energétique ne condamne pas le bitcoin. Pas assez malheureusement. Si la consommation est si importante, c’est parce que c’est rentable de mettre des centaines de bécanes pour miner… donc on continue d’ajouter des mineurs sans que cela n’apporte rien au système.

        Arrivera un moment ou ce sera moins rentable, et le nombre de mineurs baissera. L’inconnue la dedans, c’est la vitesse à laquelle ca va se produire, et la vitesse d’adaptation de la difficulté de minage. Si le nombre de mineurs baisse trop vite, ca rendra les transactions trop lentes, et ce sera la fin du bitcoin. mais si c’est suffisement progressif, le système pourrait perdurer avec une signature énergétique réduite.

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        • Catalina // 20.12.2017 à 02h38

          Bonjour Popy,

          J’arrive sur le site et je vois que vous postez beaucoup et sans vouloir vous offenser, j’ai l’impression d’avoir affaire à un « croyant » de la religion « bitqouin ».

          Apparemment, il ne peut pas survivre parce que l’énergie qu’il demande est monstrueuse et qu’on est justement sur un pente où il faut sérieusement faire des économies d’énergie. Voilà, je ne suis spécialiste en rien du tout et surtout pas en trafics informatiques et autres montages techniques basés sur le binaire mais une chose dont je suis certaine c’est que l’énergie devient quelque chose de très précieux qui’l ne faut pas gaspiller, de plus, comme dit plus bas (Orlov) votre monnaie repose sur tout un tas de choses indispensables que l’une d’elles vienne à manquer et PFFF, plus de monnaie ! en plus, si je ne m’abuse il y a déjà des millions de bitquoins qui ont été volés.

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      • Okkoh // 20.12.2017 à 08h33

        J’en conclue que vous n’avez même pas lu le premier paragraphe de mon lien…

        http://blog.zorinaq.com/bitcoin-electricity-consumption/

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  • Catalina // 20.12.2017 à 02h29

    Cryptomania !
    Dmitri Orlov

    « Une seule décharge électromagnétique provenant d’une fusée éclairante ou d’une explosion nucléaire stratosphérique provenant d’une fusée de Kim Jong-un pourrait anéantir une énorme quantité de crypto-monnaie. Les pannes de réseau rendent les crypto-monnaies inaccessibles. Combien de transactions Bitcoin se sont déroulées en Dominique, à la Barbade ou à Puerto Rico après le récent ouragan ? Contrairement à un lingot d’or physique, la crypto-monnaie est invisible et ne peut être validée sans équipement spécial connecté à Internet. »

    https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2017/12/14/cryptomanie/

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    • Patrick // 20.12.2017 à 10h03

      A ce jeu là, pas sûr que votre compte dans une grande banque française soit davantage accessible… Avec le tout numérique (hôpitaux, transport, téléphonie, etc.), une décharge EMP posera des problèmes autrement plus urgents que d’avoir accès à ces cryptomonnaies, non ?

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      • Okkoh // 20.12.2017 à 16h29

        Combien de transactions en vraie monnaie en Dominique, à la Barbade ou à Puerto Rico après le récent ouragan sachant que les convoyeurs ne pouvaient pas alimenter les distributeurs ? Combien en lingots d’or ? Y en a-t-il seulement dans ces contrées ?

        J’aime bien le scénario de la destruction d’une partie des bitcoin par fusée en tout cas 😀

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  • isidor ducasse // 20.12.2017 à 07h46

    Oh….làlà !
    C’est du grand n’importe quoi !
    Une monnaie est forcément adossée à un bien réel, que ce soit l’or ou l’économie d’un pays (comme les assignats pendant la révolution Française); d’où le rôle de la banque centrale, qui garantie la monnaie qui est émission de dettes de l’état qui la produit.
    Sur le Bitcoin, qui garantie cette monnaie ?
    Que de bêtises à propos des bitcoins, quelle arnaque.

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  • Catalina // 20.12.2017 à 08h22

    décembre 19, 2017 par LHK
    « Vous savez qui détient le plus grand nombre de Bitcoins ? Non ? Allez… le gouvernement américain !!! » Charles SANNAT

    https://lilianeheldkhawam.com/2017/12/19/vous-savez-qui-detient-le-plus-grand-nombre-de-bitcoins-non-allez-le-gouvernement-americain-charles-sannat/

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  • gryzor // 20.12.2017 à 18h01

    J’adore les mises en garde des banques centrales/AMF :
    —-
    Le Bitcoin est l’un des actifs spéculatifs, parfois qualifiés à tort de « monnaies » virtuelles ou «crypto-monnaies », qui existent actuellement dans le monde. Il s’échange en ligne et n’est matérialisé par aucune pièce ou billet.
    —-
    Alors, que l’Euro, c’est une monnaie sûre, vous n’avez qu’à demander aux chypriotes ce qu’ils en pensent. Quant à être matérialisé par des pièces ou billets, il est remarquable que nos bons maîtres sont en phase de faire disparaître les pièces et billets en euros, sous prétexte de lutte contre le « terrorisme ». Une bonne grosse propagande est en marche depuis quelque temps vers cet objectif.

    Alors, les mises en garde contre le casino, je veux bien ; maisil reste à acter que le système conventionnel est lui-même un casino toujours gagnant pour le monde de la finance !

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