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Commentaire recommandé

Les-crises // 04.04.2017 à 16h37

même langue
mêmz culture
même Histoire
même solidarité
même peuple (ou presque) quoi… 🙂

Mais faisons simple : êtes vous prêt à payer beaucoup d’impôts pour aider des Lettons et des Grecs ? Si une majorité répond oui, il y a un peuple européen alors.

67 réactions et commentaires

  • Marc L. // 04.04.2017 à 16h17

    Vous dites: « un peuple, une monnaie », en précisant, à juste titre me semble-t-il, qu’un allemand n’est pas un grec, qu’un italien n’est pas un estonien et que dès lors, une monnaie commune n’a pas de sens et ne peut fonctionner compte tenu de notre diversité géographique et culturelle.
    Comment, sur ces mêmes bases, peut-on lire la situation des Etats-Unis, où pour reprendre la même approche, un texan n’est pas un new-yorkais etc…?

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    • Fabrice // 04.04.2017 à 16h32

      En gros les usa se sont construit sur le même mythe fondateur ainsi que sur une plus courte periode (moins de haine sauf sécession ).

      Ce qui n’est pas tout à fait le même cas que pour les europeens, pas la même langue, et beaucoup de rancoeurs du fait d’une plus longue histoire faite d’invasions croisees, de destructions, …

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      • charles-de // 04.04.2017 à 17h32

        EVIDEMMENT ! Comparer les Etats-Unis d’Amérique du Nord et l’Europe est une folie pure et simple ! L’Europe, même « l’Union » européenne compte 28 états avec 24 ou 25 langues, et des peuples qui se sont souvent fait la guerre pendant des siècles. Les Etats-Unis ne datent même pas de 2 siècles et demi, et ont été créés par un noyau de colons anglais auxquels se sont ajoutées des immigrations successives venues du monde entier, qui n’ont parlé, jusqu’à présent en tous cas, qu’une seule langue, avec un état FEDERAL, ce qui est loin d’être le cas en Europe !

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        • Lemercier // 04.04.2017 à 19h37

          Ne pas oublier que les États-Unis se sont constitués par l’extermination des peuples qui vivaient sur ce territoire avant l’invasion colonialiste, ainsi que par l’esclavage de dizaines de milliers d’Africains. C’est ce qui a fait le ciment de cette nation… Il nous faudrait en Europe un ennemi commun pour cimenter toutes les nations qui la constituent. Hitler en avait trouvé un. Sur cette question son mot ordre était : « L’Europe contre le bolchevisme ». Heureusement que le bolchevisme a largement contribué à nous libérer d’Hitler : quelle Europe aurions-nous ? On y vient peut-être progressivement.

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    • Les-crises // 04.04.2017 à 16h37

      même langue
      mêmz culture
      même Histoire
      même solidarité
      même peuple (ou presque) quoi… 🙂

      Mais faisons simple : êtes vous prêt à payer beaucoup d’impôts pour aider des Lettons et des Grecs ? Si une majorité répond oui, il y a un peuple européen alors.

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      • yvon // 04.04.2017 à 17h03

        Ben, déja, nous finançons l’Europe à hauteur d’environ 25 M€ et une grande partie nous revient, disons de l’ordre de 17 M€. Soit une différence approximative de 8 M€ dont on peut supposer, par exemple, qu’une partie va subventionner des ***concurrents** à nos producteurs, les paysans par exemple…
        J’au un vrai doute que cela puisse se perpétuer…

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      • Papagateau // 04.04.2017 à 18h56

        La BCE n’existe déjà plus, car les BCN (banques centrales Nationales) achètent toute seule, à titre individuel, des obligations pour soutenir, non pas les obligations de toute l’europe, mais de leur état respectif, et que lui.
        Preuve :
        https://www.insolentiae.com/effrayant-la-bce-nexiste-deja-plus-leuro-est-deja-mort-ledito-de-charles-sannat/
        Ne dites plus que l’euro existe encore.

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      • Incognitototo // 05.04.2017 à 01h48

        @ Olivier,

        Étonnantes affirmations…

        Pour réévaluer tes certitudes, tu devrais lire ça : http://solutions-politiques.over-blog.com/article-l-irresistible-progression-des-souverainistes-et-des-nationalistes-l-horreur-absolue-qui-est-re-116442221.html

        Juste un extrait : « (…) on y parle aussi beaucoup plus de langues qu’en Europe : 381 langues (!!!) sont parlées par la population, dont 169 sont indigènes ; tandis que beaucoup d’Européens ignorent que les USA n’ont même pas de langue officielle ; sans oublier que nombres d’idiomes, dialectes et accents locaux sont totalement incompréhensibles à un Américain moyen. »

        Par ailleurs, quand un État fédéral est en faillite ou quasiment (ce qui est le cas de mémoire pour 13 d’entre eux), le gouvernement le laisse crever et se débrouiller seul. Le pire ayant été atteint après l’ouragan Katrina, où les secours ont mis 4 jours à arriver… À l’évidence, il y a plus de « solidarité » entre pays européens (notamment par le refinancement des dettes) qu’il n’y en a entre États fédéraux US.

        La comparaison/démonstration avec les USA ne tient pas à l’épreuve des faits.

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        • Eric10 // 05.04.2017 à 05h28

          Bonjour, oui, c’est sûr, la Grèce en sait quelque chose. … ‘À l’évidence, il y a plus de “solidarité” entre pays européens (notamment par le refinancement des dettes) qu’il n’y en a entre États fédéraux US. ‘

          Refinancement de quelles dettes ? parce qu’il me semble quand même que la Grèce  » crève » de la politique union-européenne, comme nous allons nous même « crever » avec notre « nouveau président » qui fera la politique union-européenne quoique par ailleurs, il promette. et ce pour 10 candidats sur 11.

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          • Incognitototo // 05.04.2017 à 05h45

            Vous êtes sûr qu’elle crève de l’Europe la Grèce ? Pas de ses magouilles comptables qui font qu’elle n’aurait jamais dû y rentrer, ni même de l’inconséquence de ses dirigeants…

            De 2010 à 2015, les pays de la ZE lui ont prêté 230 M€, sans compter les autres aides et effacement d’ardoise : http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/06/29/depuis-2010-260-milliards-d-euros-ont-ete-pretes-a-la-grece_4663599_3234.html

            Y a beaucoup d’États fédéraux US en faillites qui peuvent en dire autant ?

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            • Dizalch // 05.04.2017 à 08h58

              @Incognitototo:
              Vous êtes sûr qu’elle ne crève pas des magouilles des prêts par l’Allemagne et la France justement?…. Car ces deux pays savaient « pertinemment » la situation de la Grèce… Je vous en prie, arrêtez votre rhétorique pro-UE…

              Quand au fait que l’UE ait prêté à la Grèce à nouveau, qui « magouille » dans ce raisonnement?… Prêter 230 milliards à un pays qui ne pourra « jamais factuellement » rembourser…. hormis pour spoiler le pays au bénéfice de banques privées, etc… qui magouille hein?…
              Bref, merci, au revoir

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            • Incognitototo // 05.04.2017 à 18h23

              Bonjour Dizalch,

              C’est toujours si bon de vous lire, toujours à répondre à côté et à prêter aux autres des pensées qu’ils n’ont pas… Là c’est bon, j’ai compris votre histoire et aussi que les faits ne vous intéressent pas. Donc, c’est inutile de « dialoguer ». Comprendre le monde d’une façon aussi manichéenne doit vous faire bien du mal.

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            • Chris // 05.04.2017 à 14h44

              prêté 230 milliards pour que 90% rembourse les emprunts précédents, avec au passage, des emprunts liés à l’achat d’armement telle l’Allemagne et la vente d’un sous-marin ?
              Je n’appelle pas ça du financement ni de l’aide, mais de l’usure caractérisée.

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            • Incognitototo // 05.04.2017 à 18h15

              Faut lire les liens avant de répondre… Il y a eu aussi 200 Md€ d’abandon de créances… et qu’est-ce qui empêchait les Grecs de faire autrement ? Y inclus en sortant de la ZE ou en faisant défaut… Ou autrement dit, pourquoi les Grecs (y inclus Tsipras) ne veulent-ils pas sortir de la ZE, puisqu’ils sont si maltraités ? Ils sont masos ?

              La question était de savoir s’il y avait une solidarité ou pas, entre les États, pas de juger des conditions dans lesquelles elle s’effectue…. là oui, il y a beaucoup à dire et pas seulement à cause de l’UE et de la ZE…

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            • Karim Wilmotte // 06.04.2017 à 11h23

              Ce qui coince la Grèce, c’est l’extrême vulnérabilité des leurs entreprises à l’endettement extérieur.

              Quand aux Extend and pretend (même entrecoupé d’un haircut tellement l’impossibilité de rembourser était patente), il n’a JAMAIS été considéré comme de l’aide.

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        • PierreH // 05.04.2017 à 10h15

          C’est un peu fallacieux comme commentaire, aux USA l’écrasante majorité parle anglais (sauf migrants récents peut-être) et partage une culture commune. Les idiomes locaux il y en a un peu dans tous les pays, vous pouvez aussi trouver des papis au fond des Landes avec un accent à coupe au couteau, ok, ça reste marginal…
          Vous montez en épingle des détails. De même pour la solidarité, le refinancement des dettes se fait avec des prêts à taux d’interêts non 0 me semble-t-il, ça n’est pas « être solidaire », c’est faire de l’argent (ça fait partie de l’activité normale des banques). Quand on paie des impots on est solidaires, je ne sais pas vous mais je ne les vois pas revenir avec les interêts personnellement (si vous oui par contre ça m’intéresse :-P).

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        • Téhèf // 05.04.2017 à 11h49

          https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/43/Tree_map_of_languages_in_the_United_States.png/300px-Tree_map_of_languages_in_the_United_States.png

          Faites la meme carte avec les langues en Europe, la part d’une seule langue sera beaucoup moins importante que celle de l’anglais aux Etats-Unis…

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          • Incognitototo // 06.04.2017 à 02h18

            @ PierreH et Téhèf,

            Oui, rien à objecter, et au niveau de la répartition géographique, ça donne ça : http://www.courrierinternational.com/article/2013/08/28/l-anglais-de-moins-en-moins-dominant ; mais je ne vois pas en quoi cela serait fallacieux de rappeler que ce pays est probablement le plus cosmopolite du monde.

            De plus, les accents et idiomes anglais ne sont pas marginaux, ce qui rend des régions entières quasiment incompréhensibles pour d’autres. D’ailleurs, demandez à un Anglais (d’Angleterre) s’il comprend un Texan, un habitant du Middle West rural ou même un New-yorkais, mais également à ces 3 derniers s’ils se comprennent entre eux ; à ce qu’on m’a dit, la réponse est non.
            Aussi, on ne peut pas conclure que parce que 80 % des habitants parlent « américain », qu’ils se comprennent majoritairement entre eux.
            Quant aux différences culturelles que dire… pour le coup, il y a bien plus de différences entre un New-yorkais et un Cadien, qu’entre un Slovaque et un Français, si tant est qu’on puisse faire des généralités (forcément abusives) sur ce type de sujet.
            Aussi, on ne peut pas faire de l’argument des différences culturelles et linguistiques de la ZE, un argument pour dire que ça ne peut pas tenir et ce d’autant plus que je serais curieux de savoir combien d’européens sont déjà au moins bilingues.
            La Suisse s’en sort-elle si mal avec ses 4 langues officielles ?

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      • François Lemaire // 05.04.2017 à 08h34

        Je suis autant prêt à payer des impôts pour aider des lettons que pour aider des auvergnats ou des provençaux, ça vous va comme réponse Olivier ?

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        • Les-crises // 05.04.2017 à 08h52

          Oui, parfait.

          Dès que vous êtes 51 %, on le fait.

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          • PierreH // 05.04.2017 à 10h17

            On peut arrêter de traiter tout le monde de troll et de soupçonner tous ceux qui n’ont pas le même avis d’être en service commandé svp ? C’est un peu fatigant à la longue…

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          • marie p // 05.04.2017 à 16h39

            Etant complotiste je vote pour la sortie de l’euro et le plus vite possible.

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          • Incognitototo // 05.04.2017 à 18h28

            Bien sûr Dizaph… Et vous, pour qui roulez-vous ? Contrairement à vous le chantre du « il faut tout casser », personnellement, je ne roule pour personne et personne ne me représente. Je ne m’intéresse qu’aux faits, rien qu’aux faits et je ne passe pas mon temps à faire dire aux autres ce qu’ils n’ont pas dit.
            Mais s’intéresser aux faits, surtout quand ils sont contradictoires avec ce qu’on peut penser, impliquerait de sortir de la pensée magique et ça c’est compliqué pour certains.

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          • Mustang98 // 06.04.2017 à 04h18

            Juste un p’tit mot pour saluer la qualité de votre travail et le plaisir que j’ai eu à vous écouter cette fois et la fois précédente où je vous ai découvert avec les Éconoclastes. Encore bravo !
            En revanche ce serait bien, pour une vulgarisation maximale, que votre rendez-vous écono-gastronomique au Crabe Marteau, soit hebdomadaire, au moins jusqu’au 1er tour du 23/04… Mais il s’agit là surement d’un voeu pieu ! Cdlt.

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          • step // 06.04.2017 à 15h31

            je redoute le second degré de « autant » pour pas mal de monde 🙂

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        • Chris // 05.04.2017 à 15h02

          Vous trouvez que la facture n’est pas assez salée ?
          Et bien, moi je ne paye plus rien.
          J’ai voté en 2005 contre l’UE et maintiens mon opinion plus que jamais.
          La France régale déjà d’autres pays pour un montant de 8 et 9 milliards : ça suffit comme ça.
          Le Brexit amputera les aides européennes de 30%…
          Ajoutons-y Schengen, la « concurrence libre et non faussée » assortie de la libre-circulation des capitaux favorisant délocalisations, privatisations, optimisation et évasion fiscales, lesquels nous coutent 40 à 60 milliards/an et détruisent à terme non seulement nos emplois, nos industries/entreprises, mais aussi notre système social par manque de revenus.
          Qu’ils aillent se faire voir !

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        • visiteur // 05.04.2017 à 22h16

          Les Lettons sont à peine 2 millions, donc même en étant généreux, répartie entre les pays « riches » de l’UE, la charge fiscale supplémentaire ne sera pas lourde.

          Serez-vous aussi prêt à payer des impôts pour les Polonais (38,5 millions), les Espagnols (46,4 millions), les Roumains (19,5 millions), et tous les autres ?

          Pour mémoire : les Allemands de l’ouest ont effectué en 25 ans des transferts d´environ 1500 à 2000 milliards d’€ vers leurs régions de l’est, juste pour 17 millions d’habitants…

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          • step // 06.04.2017 à 15h47

            il faut bien voir que la question vaut pour eux aussi…. que c’est une vraie et peut être la seule vraie question permettant de savoir une Europe socialement fonctionnelle se peut.

            A titre personnel, cela ne me gène pas -évidemment à charge réciproque- d’être solidaire avec plus de monde, à quatre conditions:
            – Que ce ne soit pas un moyen de minimiser la solidarité existante.
            – Que la structure contrôlant ce pacte social soit démocratiquement élue par ses parties prenantes et au besoin révocable
            – Que ce pacte social puisse se protéger le cas échéant de ceux qui conduisent des politiques hostiles de dumping, y compris par une pénalisation aux frontières de l’ensemble.
            – Que l’assiette de prélèvement intègre une taxe différentielle pour les entreprises chassant au sein de l’ensemble européen les bas salaires afin de ramener dans tous les pays le cout du travail à une moyenne pondérée de la productivité et à équilibrer globalement les taux de chômage.

            On est bien d’accord que l’UE ne remplit aucune de ces 4 conditions et pire, ne semble pas vouloir les remplir.

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    • 5cents // 05.04.2017 à 06h40

      Ne pas oublier que la définition du dollars à été longtemps l’once d’argent et l’once d’or pour les 20 us $. Avec un ancrage métallique, la valeur d’une monnaie était plus facile à faire accepter.
      Aujourd’hui la valeur d’une monnaie est basée sur la confiance qui finalement est la confiance pour ceux qui possèdent cette monnaie que la politique menée sera à leur avantage.

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    • Mathieu // 05.04.2017 à 11h15

      Sur la comparaison USA/UE, de Gaulle disait « On ne fait pas d’omelette avec des œufs dur ».

      Pour dire que les états nations européens qui ne parlent pas la même langue, qui n’ont pas la même culture, le même taux de luttes sociales, d’inflation, la même structure démographique etc, et où les français n’acceptent pas de payer pour les grecs. Les nations européennes ne peuvent fusionner aussi facilement que les américains qui parlent la même langue, ont la même culture, et acceptent en définitive que la Californie paye pour la Louisiane.

      Il y a un peuple américain, il n’y a pas de peuple européen.

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      • Incognitototo // 06.04.2017 à 01h15

        C’est quoi la ZE, si ce n’est les USA peu après 1792 ? Avec tout également, exactement les mêmes discordances culturelles…

        Après la création du dollar (en 1792), les Américains ont mis 141 ans pour arrêter de se faire la guerre (économique et aussi sanglante) entre États fédéraux, en subissant tous les avatars et problèmes que nous connaissons nous-mêmes… C’est Roosevelt qui y a mis fin avec le New-Deal, sans pour autant résoudre les disparités économiques qui, encore aujourd’hui, subsistent entre États fédéraux.

        L’euro a 18 ans et souffre de tares congénitales indéniables. Pour autant, je reste persuadé, face aux faits, rien qu’aux faits, que cela est dû à l’incapacité de nos dirigeants nationaux à comprendre et modifier la machine infernale qu’ils ont mise en place. Il faudrait pour la résoudre, apporter des solutions nouvelles, qui sortent des sempiternels : faire sécession, ou faire toujours plus de la même chose… et là, je reste coi devant l’incapacité de nos politiques à s’attaquer aux problèmes de fond depuis plus de 40 ans.

        Les solutions sont ailleurs et je ne vois toujours aucun de nos candidats qui les proposerait. J’espère que nous n’aurons pas à attendre 141 ans qu’un Roosevelt se propose d’apaiser les « chicayas » des « peuples » qui, qu’on le veuille ou non, sont liés pour le meilleur et pour le pire en Europe.

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        • Mustang98 // 06.04.2017 à 04h33

          @ Incognitototo : Ben voui, mais on fait comment alors ??? Puisque les eurolâtres nous affirment qu’il n’y a pas d’autre alternative que celle qu’ils suivent envers et contre tout et tous… Qu’il faut toujours plus d’intégration ; à la manière dont les Soviets expliquaient que si ça ne marchait pas c’était parce qu’on était pas allé assez loin dans le communisme !
          Les tenants de l’UE ont raison, les autres, tous les autres ont tort…
          Et comme il est gravé dans le marbre des traités que rien ne pourra changer à la définition de cette UE, il faut reconnaître -admettre dans votre cas- que la seule solution, c’est d’en sortir le plus proprement du monde par respect pour les autres nations concernées, et actionner l’Art 50 du TUE. Par ailleurs, je crois que nombre de peuples européens attendent que les français ouvrent une voie, dans laquelle ils s’engouffreront à leur tour… À moins que la pragmatique Allemagne, ne devance tout le monde… Cdlt.

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        • Karim Wilmotte // 06.04.2017 à 11h28

          Ha ben voilà, suffit d’attendre 180 ans.
          Donc, vous êtes prêt à sacrifier encore 8 générations!

          Vous pouvez comprendre que les générations en question vous invite à faire des choses avec votre anus? Vous imaginez à quel point cette invitation au sacrifice, à mourir au champ d’horreur économique, est indécente et violente?

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          • Incognitototo // 06.04.2017 à 13h22

            Ce qui est toujours « rafraîchissant  » avec les thuriféraires de la sortie de l’euro, c’est qu’on n’est jamais déçu par leur capacité à comprendre ce qu’ils lisent… et comment, certains semblent incapables de comprendre le monde autrement qu’avec du on/off.
            Où ai-je dit que j’étais d’accord avec ce qui se passe ? Que j’étais résigné (je vous rappelle que j’ai voté non en 2005, et même plus) ? On ne propose juste pas les mêmes moyens de sortir de ce bourbier, et c’est tout.
            J’ai l’air d’être un eurolâtre ? Mais pas plus un europhobe, juste un « euro-pragma-réaliste » qui pense qu’on n’a besoin de personne pour s’en sortir.

            Trop « abîmé » pour y aller moi-même (puisque personne ne me représente), j’attends juste qu’Olivier, avec la maturité, se transforme en un Roosevelt actualisé.

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            • Karim Wilmotte // 08.04.2017 à 18h51

              Sauf que je ne suis pas un thuriféraire de la sortie de l’euro.
              C’est une modalité, pas une fin en soi.

              Sinon, oui, sur toutes vos interventions sur cette page, vous semblez être un « eurolâtre ».

              Et je suis d’accord avec le fait que la France peut s’en sortir au sein de l’euro. Il suffit d’écraser brutalement la consommation interne pour rééquilibrer la balance commerciale. On appelle cela la déflation interne.
              Et c’est la politique menée.

              Ça peut réussir. Par contre, cela ne correspond pas aux intérêts de la majorité des français.

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            • Incognitototo // 11.04.2017 à 13h33

              Ha… et une dévaluation, ça produit quoi pour les salariés ? C’est dans l’intérêt de la majorité des salariés ?…

              Ça fait 15 fois que j’explique et démontre qu’il y a d’autres solutions que la modération salariale (quelle que soit sa forme), mais visiblement vous ne suivez pas les débats, alors tant pis…

              Quant à passer pour un eurolâtre, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise… si les europhobes se fient plus à leurs projections qu’à ce qu’ils peuvent vérifier, je n’y peux rien.

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    • LEAL // 06.04.2017 à 11h57

      Bonjour Marc

      Nous avons oublié le traité de Rome et surtout l’article 99
      avant l’euro il fallait une HARMONIE SOCIALE FISCALE progressive pour mettre en place cette monnaie
      c’est si trois famille avec des revenus différents partageaient leurs dépenses ??
      je défend depuis plus de trente ans la TVA SOCIALE qui n’a pas été faite par GISCARD EN 1969
      merci
      Guy.leal@sfr.fr

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  • matlac // 04.04.2017 à 17h05

    Marc L les USA ont un budget fédérale de plus de 25 % pour à peine 1 % pour l’UE. Ca vous donne une idée de l’implication d’une communauté par rapport à une autre dans un projet commun.
    L’Europe = Posture et imposture.

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  • Ret // 04.04.2017 à 17h10

    Le souci avec la mort de l’euro c’est qu’elle est annoncée depuis dix ans, qu’une affaire pareille est de nature politique, que les tenants de l’euro ont tous les leviers y compris contre leurs propres règles.
    Les pays et les populations peuvent claquer, ça n’a aucune importance.

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    • Vlois // 04.04.2017 à 17h23

      Pour faire survivre l’euro on tape maintenant le portefeuille de ceux qui ont soutenu le projet : La génération à la retraite et qui a peur pour sa rente alors que le remède qu’on leur a vendu est aussi un poison. Pour vous dire qu’ils ils en sont a racler les fonds des tiroirs.

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      • Kiwixar // 05.04.2017 à 03h45

        « ceux qui ont soutenu le projet » : on a majoritairement tous soutenu le projet, et quelque part on s’est fait avoir. La démocratie représentative c’est avoir confiance dans nos représentants qui étudieraient en profondeur un sujet en obtenant des conseils extérieurs d’experts et prendraient des décisions avisées. Il n’en est rien, et l’intelligence médiane des Français est bien plus apte à prendre des bonnes décisions pour le pays que l’espèce d’élite de bras cassés qui nous gouvernent. Il faut tirer la chasse et passer à autre chose, avec déjà referendums (aux décisions appliquées hein) sur tous les grands sujets.

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        • vlois // 05.04.2017 à 20h31

          J’ai dit cela car j’étais trop jeune pour voter Maastricht et j’ai donc hérité d’une situation qui m’enrage et effectivement référendum gagné de justesse par les tenants du oui.
          Il aurait sans doute fait revoter jusqu’au oui ou passer par le Congrès de toute façon quoique avec Séguin…
          Et je vous soutiens entièrement, je reprends la définition de Sieyès, la France est un état représentatif et comme il dirait, ne serait être un état démocratique.
          C’est un chèque en blanc donnée à une mafia qui n’a plus de code d’honneur (comme celui de défendre le pays et le peuple).

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  • Le Wallon // 04.04.2017 à 17h25

    Pour rejoindre Monsieur Berruyer (cfr, le premier épisode des Econoclastes), l’actuelle Union-Européenne -se voulant les « Etats-Unis » d’Europe- c’est la Yougoslavie réincarnée.
    Il est évident que l’euro n’est que passager (je le pense sincèrement depuis le début de cette sordide aventure) et que nos devises reviendront (le franc français, le franc belge -si la Belgique existe encore d’ici-là- ou la lire italienne).
    La seule inconnue est le degré d’agressivité anti-française et anti-italienne (et accessoirement anti-belge et anti-néerlandaise) que cette disparition de l’euro déclenchera, hélas, Outre-Rhin.
    Car lorsque les Allemands seront mis devant le fait accompli, ils risquent de ne pas être ravis (puisque l’euro leur garantit des excédents commerciaux énormes) !

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    • Chris // 05.04.2017 à 15h05

      Les Allemands resteront dans l’Euro aussi longtemps qu’il servira leur économie.

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  • Xavier // 04.04.2017 à 17h43

    L’approche économique me semble très limitée.
    Imposer des règles communes alors que la langue de base, la culture et l’histoire sont différentes c’est plus qu’un doux rêve, c’est un enfumage en règle.

    Et ceux qui l’ont préparé et réalisé savent très bien que dans un système plus grand avec plus de distances entre ceux qui administrent et ceux qui subissent la taille de l’entreprise compte pour passer un seuil où les budgets com, lobbying et juridiques permettent de s’en sortir.

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  • Eric83 // 04.04.2017 à 18h38

    Pour ma part, j’ai trouvé ce débat intéressant mais je regrette que chaque intervenant n’ait pas le temps de développer à minima son argumentation sans être coupé de manière intempestive.
    Philippe Béchade n’a quasiment pas eu la parole alors que c’est au « médiateur » de lui faciliter la tâche afin qu’il puisse prendre la parole et s’exprimer sereinement.

    Sur le contenu, j’ai trouvé la métaphore de OB, sur la taille des chaussures, remarquable car elle illustre tout à fait et simplement la situation.
    En revanche, dire à la fin que les personnes ayant un patrimoine de 50 000 € « liquide » n’ont pas de souci à se faire me parait plutôt optimiste car le fonds de garantie des banques est de l’ordre de 2 milliards tout comme celui des assurances et l’Etat Français endetté en trillions n’a aucunement les moyens de garantir, comme il le prétend, les dépôts sur comptes personnels à hauteur de 100 000 €.

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    • Bourdeaux // 05.04.2017 à 07h51

      Exact, d’autant plus que les « fonds de garantie » sont placés sur des produits qui dégringoleront aussi le jour J. Donc, le jour où une première banque systémique fait faillite, c’est l’éconocide assuré…

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  • Eric83 // 04.04.2017 à 18h53

    La fin de l’euro est une évidence et comme il a été dit, la BCE continue à acheter à crédit du temps.

    La question est comment va arriver la fin de l’euro et le retour aux monnaies nationales.

    Il est clair qu’une sortie de l’Italie, de l’Espagne ou de la Grèce ne peut se faire qu’en faisant défaut sur leur dette Target 2, donc en faisant défaut. Et là, bien malin est celui capable de deviner la chute en cascade des dominos et les conséquences que cela engendrera au niveau mondial.

    En revanche, la France pourrait annoncer sa sortie rapidement, sans faire défaut, puisque sa dette target 2 n’est que d’une douzaine de milliards…mais ce n’est pas ce qui semble se dessiner.

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  • SanKuKai // 04.04.2017 à 18h58

    Concernant la phrase bateau; « je n’ai rien à cacher » (minute 8:40 de la vidéo), Je citerai simplement Lionel Dricot:
    « La phrase « Celui qui n’a rien à se reprocher n’a rien à cacher » est fausse car ce n’est pas vous qui choisissez ce que vous vous reprochez. »

    Source: https://ploum.net/rien-a-cacher/

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  • Boris // 04.04.2017 à 19h09

    Imaginons que j’ai 100 000 euros à la banque … je suis donc sur un actif unique et donc à risque si j’ai bien compris.

    Dans quels autres actifs investir car j’hésite entre :

    – l’or et l’argent
    – le dollar australien, canadien et singapourien
    – la couronne norvégienne
    – le franc suisse
    – l’horlogerie ( montre de luxe)
    – l’investissement dans des petites coopératives maraichère ( investissement dans la terre)

    Pouvez-vous me donner votre avis sur ces perspectives ou m’en donner de nouvelles ?

    Merci 😉

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    • Kiwixar // 05.04.2017 à 02h04

      Déjà, vous « n’avez pas 100.000 euros à la banque ». Il n’y a pas une petite boîte avec votre nom dessus et qui dont le contenu vous appartiendrait. Ce que vous avez confié à la banque lui appartient, et vous avez une créance dessus.
      AUD : il me semble que la moitié des prêts immobiliers australiens sont « interests only » donc en cas de baisse du marché immo, les emprunteurs boiront la tasse et les 4 banques avec. L’AUD devrait suivre.

      De toute façon on est à la fin de 150 de croissance de production de pétrole, avec l’euro qui va splitter avec d’énormes problèmes de créances entre BCN. Bien malin celui qui arrivera à s’en sortir sans perdre de plumes.

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    • Gwen // 05.04.2017 à 09h12

      L’or et l’argent semblent être des valeurs fiables, la preuve, tout le monde cherche à en avoir. Et ceux qui en ont ne veulent pas le rendre, je pense notamment à l’or allemand entreposé à fort Knox aux USA, pour le récupérer, il faut attendre 30 ans, et pas surs que les allemands récupèrent tout. Puis pas de droit de visite.
      Bref, l’or semble être sur.

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      • Mustang98 // 06.04.2017 à 04h55

        @ Gwen : Oui, l’or et l’argent peuvent être des valeurs fiables, mais à la condition expresse qu’ils ne soient pas d’expression papier* et pas dans un coffre d’une banque s’adonnant au trading.
        Il reste à ceux qui veulent investir, les sociétés de l’économie réelle (PME-TPE/PMI-TPI) à rayonnement régional ou national, ou comme le suggérait O. Lamarche, dans les obligations Michelin ! Bien cdlt.
        *Il semblerait qu’il se soit vendu beaucoup (3 fois plus ai-je lu ici ou là) d’or qu’il en existe réellement et physiquement. Ceux qui ont acheté de l’or et n’en ont une preuve qu’écrite (certificat de transaction), risquent bien de l’avoir déjà perdu…

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    • Kiwixar // 05.04.2017 à 10h10

      Sans rire, je vous conseille d’investir dans une cave remplie de milliers de bouteilles de bons alcools :
      – ça se boit
      – ça se conserve longtemps sans perte (au contraire, ça se bonifie)
      – vous permet de faire du troc (contre nourriture)(pensez à la IIe GM)
      – vous permet d’être amis avec les voisins
      – vous permet de stipendier les forces de l’ordre locales
      – antiseptique et analgésique
      – le pastis est un excellent anti-diarrhéïque
      – permet d’oublier les problèmes
      – vous pouvez assommer un gêneur avec la bouteille
      – ça sent bon
      – ça rend heureux
      – ça se boit

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      • step // 06.04.2017 à 16h16

        « stipendier »….c’est toujours un plaisir de vous lire kiwixar. on redécouvre parfois quelques expressions, et souvent on rit de bon cœur en s’aiguisant l’esprit.

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    • Chris // 05.04.2017 à 15h07

      Pariez plutôt sur la production de nourriture… mais en direct !

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  • cahier // 04.04.2017 à 20h08

    je suis au service militaire à 19 ans en 1965 en ALLEMAGNE pendant 14 mois, en arrivant j’échangé 1 franc contre 1 euro j’en suis ressorti en 1966 j’échangé 1,16 francs contre un euro ,cela
    « pendant les fameuses trente glorieuses » dans les années 1970 nous avions selon MR POMPIDOU
    le cordon bleue de l’évolution économique européenne devant les allemands,tout cela pour aboutir
    dans les années 1980 à : 3,40 francs contre 1 : dm et, il y a des génies qui ont pensés que nous pouvions vivre avec la meme monnaie qu’eux, nous en voyons les résultats à peine 20 ans plus tard,ce qu’il faut faire maintenant, sortir certainement, mais il aurait valu ne pas y entrer, en connaissance de cause,il n’y aura pas de sortie facile, il faut du courage ce n’est pas la qualité de nos politiques qui aiment tant ce cacher derrière L’EUROPE nous en sortirons pas de notre initiative, mais virés .

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    • Karim Wilmotte // 06.04.2017 à 11h32

      Il est tout à fait possible de maintenir l’euro.
      Soit via un changement de rapport de force social extrêmement important, produisant une modification tout aussi substantielle de la répartition des richesses et cela au niveau de la zone.
      Soit via l’écrasement des peuples (ce qui est en cours).

      Et des peuples écrasés longtemps, cela peut exister.

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      • step // 06.04.2017 à 16h21

        il y a une limite à l’écrasement, c’est le vote par les pieds. Un peuple émigre et ne meurt pas sur pied. C’est d’ailleurs en partie ce qui se passe en europe et qui s’aggravera si la situation continue de pourrir. Seule alternative à ce fait, la méthode « corée du nord » à base de barbelée, mais « c’est contraire aux traités » 🙂

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  • Caliban // 04.04.2017 à 21h37

    J’aime bien ces émissions, très bien filmées … cependant n’étant pas versé dans la science économique, une bonne partie m’échappe. J’aimerais que M. Sabatier soit plus bavard car il est extrêmement pédagogique 🙂

    Un sujet en particulier m’intéresserait (si je peux émettre un souhait pour une prochaine émission), creuser en profondeur le rôle des robots dans la finance.

    Merci.

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  • christian gedeon // 05.04.2017 à 11h37

    L’Europe? Non,l’UE…l’exact inverse de l’Europe…si l’Euro pouvait servir à « tuer  » l’UE,il aurait enfin trouvé une utilité!

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  • Crapaud Rouge // 05.04.2017 à 16h45

    DECODEX : lire http://eric-verhaeghe.entreprise.news/2017/04/03/avec-le-decodex-les-subventions-a-la-presse-sont-elles-devenues-des-aides-detat-remboursables/ Je ne comprends pas bien pourquoi mais voilà qui mérite d’y prêter attention : « En termes juridiques, le Decodex ouvre la voie à la requalification des subventions accordées au Monde en aide d’Etat remboursables. » L’argumentation, c’est que les subventions ont apporté au Monde la marge de manœuvre nécessaire pour financer le Decodex. Est-ce suffisant pour requalifier ces subventions dans le cas du Monde ? C’est toute la question.

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  • 1Direct // 05.04.2017 à 18h29

    Il y a quelques jours, sur BFM-Business (Les décodeurs de l’éco), surprise, voilà ce qu’ils disaient (en gros):
    1) L’Allemagne est la garante des dettes des autres pays (pas officiellement mais de facto d’où les taux d’intérêts et la confiance)
    2) La balance des comptes des pays est en quasi équilibre puisque la contre-partie des dettes est assurée par le solde positif de l’Allemagne. De mémoire, environ + 750 milliards €.
    Jusqu’à cette somme les allemands trouve acceptable ce montant.
    3) Mais si, à certains moments, les créanciers méfiants demandent de garantir la totalité des créances des pays les plus endettés cela représenterait environ 6.000 milliards€ de garantie.
    Et là ça va coincer ! A 750 cela reste « rentable » à 6000 plus du tout.
    4) Comme ce sera NON (enfin NEIN) ce sera la fin de l’Euro et de l’U.E. en …
    UNE NUIT ET EN CATIMINI !
    …/…

      +2

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    • 1Direct // 05.04.2017 à 18h30

      …/…
      Le plus intéressant et qui va dans ce sens les participants dont Christian Saint-Étienne ont annoncé:
      1) L’Allemagne à quasiment rapatrier sur son territoire TOUTES ses réserves d’or, y compris celles stockées aux U.S.A qu’en France (Banque de France).
      2) L’Allemagne a fait et continue à faire des stocks de papier-monnaie (papiers destiné à la fabrication/impression des billets) de plusieurs centaines de tonnes.

      Par recoupement et addition avec ce disent les Econoclastes cela semble de plus en plus réaliste. Et les Allemands nous prendrons tous de cours
      (Qui a dit « comme d’habitude »?)

      Les allemands sont donc prêts (ou quasiment prêt) alors que nous, et d’autres, bisounours, en sommes toujours à papoter ?

      Désolé … je sais … je suis long.

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  • Claude // 06.04.2017 à 18h12

    Delamarche dit qu’il y a des banques de dépôt en France. Lesquelles ?

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  • Fulsi // 07.04.2017 à 12h31

    Pour information ça fait plusieurs années que je visite ce site et que je vois Incognitototo commenter les articles, donc on ne peut pas dire que « Les Trolls pro UE arrivent ».

    Il a un point de vue et l’argumente. Il est fort probable que le coup des environ 360 langues est monté en épingle compte du pourcentage de la population concerné. Quand à la solidarité des dettes il ne faut pas oublier le caractère très libéral des états-uniens et leur organisation politique. Il m’empêche qu’ils partagent une histoire commune.

    De plus le niveau de développement économique est à prendre en compte pour juger de la pertinence d’une monnaie commune

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  • NC // 10.04.2017 à 03h00

    J’ai du mal à comprendre pourquoi on se focalise tant sur la sortie de l’Euro.
    Certes, les dysfonctionnements de la zone sont connus et les arguments pour son éclatement assez convaincants.
    Cependant, plutôt que de condamner l’Euro, pourquoi ne pas créer une nouvelle monnaie en parallèle ?
    L’Euro resterait la monnaie des échanges, des investissements (et donc de la dette) au sein de la zone Euro.
    La nouvelle monnaie aurait vocation à matérialiser les échanges uniquement au sein de sa zone d’influence (en gros uniquement la consommation et encore, pour des transactions d’un montant limité).
    Pour que cela marche, il faudrait sans doute limiter la convertibilité de cette nouvelle monnaie…

    Bref, un modèle à cubaine mais en mieux!

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