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3.septembre.20133.9.2013 // Les Crises

[Média] BFM Business, Les Experts – 2 septembre

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Nicolas Doze m’a invité à son émission Les Experts le 2 septembre, sur BFM Business (la radio filmée, pas BFM TV).

Avec Mathilde Lemoine, économiste, et Christian Saint-Etienne.

Voici la vidéo :

Partie 1 :

Partie 2 :

Prochain rv : le 27 septembre.


N’hésitez pas à réagir en direct par mail sur cette émission via ce lien – Nicolas Doze consulte bien les mails en direct, et est très demandeur 😉 :

http://www.bfmtv.com/emission/les-experts/

(cliquez sur Lui écrire à droite)

29 réactions et commentaires

  • atanguy // 03.09.2013 à 03h29

    Le prof du CNAM semble penser qu’il faut une mise a niveau par le bas de la France sur l’Allemagne,mais pourquoi ne pas faire une mise a niveau par le haut? Par exemple,on pourrait aussi demander a l’Allemagne d’avoir le même smic et le même age de partir a la retraite qu’en France. Les travailleurs Allemands n’y seraient pas opposés,j’en suis sur.
    Marrant aussi qu’on veule réduire les dépenses de l’état en envoyant des bombes sur la Syrie. Ah je sais,ce n’est pas le même budget que les retraites, vraiment?

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    • yoananda // 03.09.2013 à 08h04

      parce qu’on ne peut pas décider de la politique d’un autre pays tout simplement, par principe (la souveraineté), du moins pas dans le sens France sur l’Allemagne (l’inverse étant moins vrai pour des raisons de poids économique).

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      • step // 03.09.2013 à 09h55

        donc le principe de souveraineté ne concerne que le pays le plus fort économiquement ? Effectivement, les grecs, portugais espagnols… ont l’impression d’être dans des colonies. principe de souveraineté ? 1) ca n’existe pas en europe, car il n’y a plus d’état et 2 cela n’existe pas dans le monde car il n’y a plus de souveraineté économique.

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        • Casquette // 03.09.2013 à 11h15

          Ben oui c’est le principe de souveraineté partagée , le chef de la bande garde la plus grosse part pour lui.

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          • step // 03.09.2013 à 13h37

            tiens j’appelle ça loi de la jungle. Moi gros moi manger, toi petit toi attendre.

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          • Globule rouge // 03.09.2013 à 23h42

            @ Step :
            C’est pas la loi de la jungle…. juste le bon vieux mecanisme de vassalisation.

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  • step // 03.09.2013 à 09h52

    « quand tu dois 1000 à ton banquier c’est ton problème, quand tu dois 1 000 000 c’est son problème » (napoléon, je crois).

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    • Mano // 03.09.2013 à 10h55

      Si vous devez cent dollars à la banque, c’est votre problème. Si vous devez cent millions de dollars à la banque, c’est le problème de la banque.

      John Paul Getty

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      • ploi // 03.09.2013 à 12h31

        Y en a qui ont été nettement plus radicaux :

        « Colbert fait mieux : il dresse le procès des oligarques. Des clans entiers d’affairistes, 494 d’entre eux, sont démantelés, poursuivis, leurs biens adjugés, eux qui vivaient sur l’impôt comme des parasites. Il faut mesurer le choc, à l’époque, la peur qui règne chez les nantis : comme si, en 2013, d’un coup, les gros actionnaires d’EADS, de Veolia, de Dassault, etc., ces sangsues accrochées à la société, étaient emprisonnés, spoliés. »

        Plus large extrait : http://www.fakirpresse.info/L-histoire-comme-arme,573.html

        Présentation du livre : http://www.editions.fakirpresse.info/index.php/catalogue/view/productdetails/virtuemart_product_id/4/virtuemart_category_id/1

        Imaginez dans quelques années la suite : « Quand Olivier Berruyer décida de régler les problèmes budgétaires français… » 😉

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      • step // 03.09.2013 à 13h58

        effectivement, mauvaise attribution. Napoleon c’est la main qui donne et celle qui recoit. (qui est valide jusqu’à l’acceptation de la devise de Getty):

        « Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. « 

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  • Casquette // 03.09.2013 à 11h07

    600 000 millions de bénéfice engrangés par Free , c’est sur que la concurrence est bonne pour Iliad et le consommateur , mais de la à conclure qu’elle est bonne en soi…
    A ma connaissance il n’existe toujours pas d’étude pour démontrer que les économies faites sur les abonnements sont reportés sur d’autres biens de consommation.

    Et Christian de saint-Etienne demande quoi exactement quand il rappelle qu’en Allemagne les éleveurs porcins payent leurs employés 6 euros , tandis que leurs homologues français doivent cracher le double ?
    Quand est-ce qu’on va arrêter de nous bassiner avec ce modèle mercantiliste qui créer des travailleurs pauvres sans protection sociale ,des destructions d’emplois et des trous dans la balance commerciale de ses voisins ?

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    • Delphin // 03.09.2013 à 18h16

      … qui crée des travailleurs pauvres qui torturent des porcs ou des volailles.

      Delphin

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  • Fabrice // 03.09.2013 à 13h30

    Free montré en exemple franchement (je reconnais, je suis un peu juge et parti) mais il n’a pas vraiment de réseau à lui, à mon avis il attend que le plus faible des opérateurs en ayant un fasse faillite pour racheter son réseau à moindre coup.

    Peu importe la casse sociale qu’il aura provoqué entre temps, il pratique exactement la politique de l’Allemagne sur ce point en réduisant les coûts avec lesquels les autres sont astreints pour s’accaparer les marchés en étranglant les concurrents, avec les mêmes résultats.

    A ce niveau on est dans la même optique bien loin de la méthode de Ford qui voulait bien payer ses employés pour leur permettre d’acheter ses voitures et par extension consommer mais bon… les autres salariés seront contant d’avoir un forfait à prix bradé (tant pis si le réseau se dégrade), du fait que leur patron réduit leurs salaires pour pouvoir concurrencer d’autres, qui à leur tour, etc c’est sans fin mais puisque c’est le jeu réjouissons nous…

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    • step // 03.09.2013 à 13h36

      tout ceci m’a toujours fait penser a W de perec, mais visiblement ce n’est pas toujours une référence littéraire partagée, c’est bien dommage. La fin est grotesque et mortifère comme voulu par ce système.

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    • Globule rouge // 03.09.2013 à 23h53

      Le cas de Free est loin d’etre l’exemple tout puissant en faveur de la concurrence tel que le concoit les liberaux :
      Comme il a ete dit, il y’a une distorsion entre ce qui est exigé de free et ce qui a ete/est exigé des autres acteurs du secteur.

      Si je possede une boulangerie qui marche pas trop mal, mais que d’un coup l’autorité decide pour des raisons de concurrences/prix de « subventionner » un nouvel acteur….. je l’aurais « un peu mauvaise »….

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  • FLURY // 03.09.2013 à 13h39

    Dommage que personne n’ait rebondi sur la transparence fiscale car là, il y avait un vrai sujet à creuser. Oui, madame Lemoine, pour la transparence, à fond, à commencer par exemple par HSBC. Car là, on va en découvrir des vertes et des pas mûres!!

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  • FLURY // 03.09.2013 à 13h45

    Monsieur St Etienne, partir à 67 ans, encore faut-il qu’il y ait de l’emploi pour les seniors, apparemment vous n’avez pas d’inquiétude à avoir, puisque vous pouvez vous accrocher. Ah les donneurs de leçons.

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    • grub // 03.09.2013 à 14h32

      La retraite à 67 ans ça n’est pas fait pour que les gens bossent jusqu’à 67 ans. C’est fait pour qu’ils touchent leurs retraites à partir de 67 ans.

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  • tchoo // 03.09.2013 à 14h20

    Pas vu la vidéo, mais à vous lirte on retombe encore sur ceux qui prennent l’Allemagne pour exemple
    Pas foutu de réfléchir plus loin, pauvre d’eux

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  • olivier69 // 03.09.2013 à 15h07

    Merci à Mr Berruyer de recentrer les débats dans ses interventions (démographie, coût des dépenses de fonctionnement,…). Le must, c’est lorsqu’il parle de la forme du défaut de la Grèce : génial.

    Hallucinant ! Faisons de l’économie réellement.
    C’est bien connu, notre politicien parle la langue de bois (la sémantique) : la richesse créée n’est pas la richesse répartie donc en utilisant le PIB comme indicateur, il laisse à penser que les riches sont déjà trop solidaires. Ensuite, l’ensemble de son plaidoyer se focalise sur la protection sociale : la retraite principalement et la sécurité sociale. Normal, il a eu le temps de mettre à l’abri ses enfants ! Mieux, il faut cotiser 44 ans et entrevoir la possibilité de partir à la retraite à 64 ans : autant dire qu’il faut travailler ou être au chômage à 20 ans et sans interruptions parce que le travail court les rues du chômage. Mais pourquoi n’ose-t-il pas parler du service de la dette dans les dépenses publiques ?
    Je continue : « nous anticipons le scénario central » et « petit risque » mais « nous sortons d’une situation incroyable ». Allo, allo, je suis toujours dans le noir ! Où est la sortie ? A pardon, je suis rentré à mon tour dans une situation incroyable. Question : vais-je pouvoir en sortir comme vous ?
    Réponse du politique : « la compréhension » par les retraites. Mais alors si les allemands refusent de payer nos retraites, doit-on payer ou financer les fonds de pension US ? Est-ce compréhensible ? Et pourquoi ne part-il pas pour vivre en Allemagne. ? Nous avons un amoureux de la France qui vous dit qu’il fait bon vivre en Allemagne. La dette de l’Allemagne n’est donc pas composée du passif de ses banques et de ses régions ?
    Attention, à la menace des marchés financiers (sont-ils aussi en faillite ?) et ils sont pilotés ou plutôt appartiennent à qui ?
    Pardon mon capitaine, je ne savais pas que vous faisiez parti de l’armée de réserve politique !
    Je ne recommencerai plus……

    Ebouriffant ! Faisons de la finance réellement.
    C’est bien notoire, notre économiste parle le langage binaire (la science) : La transparence fiscale n’est ni délocalisable, ni transposable. Elle suppose que l’Etat n’est pas capable d’établir des règles de transparence fiscale contrairement aux banques et multinationales. Le paradis fiscal est donc un modèle de transparence contrairement à l’enfer étatique ? C’est l’hôpital qui se fout de la charité ! Je jeu du « bonneteau » ? Parle bien la dame….
    Bref, cette fois-ci « l’avenir est incertain », c’est un pléonasme ou un délire philosophique ? Non, juste un moyen de stigmatiser la balance des paiements. Attention, « le commerce extérieur » va déséquilibrer les comptes et la bonne gestion courante. Et l’ennemi est aux frontières du réel. Allo, allo, comment vais-je manger du jambon dans ma voiture ?
    Réponse du financier : Voyons, on ne mange pas de jambon dans sa voiture, c’est cochon ! Question : Mais alors, les fabricants de cochons et de voitures ne vont plus m’envoyer mon colis ?
    L’imposture se dévoile lorsque notre chère financière recadre le politique sur le taux d’emprunt. C’est « la complexité » du « point » ! « Ils ne subissent pas », « il n’avait qu’à… »
    Sérieusement, comment voulez-vous que l’investissement ou la formation se développent équitablement si la masse monétaire se dirige vers les placements ? Ou encore comment expliquez-vous que la richesse créée n’est pas corrélée avec cette masse si ce n’est un transfert temporel de richesses vers les plus riches ? Elle propose un financement privé mais sélectif. C’est une concentration voulue ! Et les petites entreprises comme les salariés vont en payer le prix. Comparons le développement du PIB dans le temps sur la croissance de la masse monétaire ! Vous constaterez que c’est un transfert géographique et principalement social. C’est la maîtrise des marchés par les prix (le revenu est également un prix, c’est un rendement actualisé). « La confiance en l’avenir » ne semble pas concerner tout le monde puisqu’elle ne précise pas dans quelle mesure stimuler « la formation et l’investissement ». Ainsi, elle se dédouane du service de la dette et fait l’impasse sur une volonté politique de créer des investissements publics sans contrepartie financière (sans collatéral c’est-à-dire sans impôts, ni intérêts, ni inscription comptable sous la forme d’une dette). Ce jour là, ce serait la reprise de la création monétaire par le peuple c’est-à-dire les résidents et non les dissidents pour une redistribution des ressources ! Les territoires sont des hôtels pour riches qui donnent le pourboire à nos politiques. Le mode de financement uniquement par l’endettement n’est pas une obligation mais une manipulation pour le contrôle de l’échange et donc des richesses (présentes et futures) via la monnaie institutionnalisée. Les fonctions de la monnaie sont pilotées.

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  • ronron // 03.09.2013 à 15h15

    J’ai du mal à me concentrer sur le discours de Mathilde Lemoine, j’ai les yeux qui tombent.

    C’est moi qui ne suit pas normal ?

    En tout cas, je suis sous le charme, intelligente et sexy, c’est troublant.

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    • step // 03.09.2013 à 17h21

      personnellement les lunettes double/triple foyer m’inquieteraient un peu.

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    • Patrick Luder // 03.09.2013 à 22h40

      En pleine forme Mathilde Lemoine … j’ai visionné 3x le début de la 2e partie, et j’a rien compris, cétait une recette pour une tarte ?

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    • Hajik // 04.09.2013 à 00h37

      Même sensation mais j’ai suivi. En clair elle parle pendant 10 minutes pour dire quelque chose qui aurait pu être résumé en quelques mots…

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  • Lisztfr // 03.09.2013 à 16h56

    J’aimerais bien avoir les chiffres, par exemple du secteur des taxis, dont on entend jamais rien. Le nombre de courses peut être un indice économique. Tout ce qui a trait au transport donne une idée très précise de l’état de l’économie, au lieu de s’en référer à des indices composites etc!

    Le luxe c’est une chose, mais il y a le petit luxe (lipstick factor), sensible au stress. Il faut s’occuper de tout cela et des indices boursiers pour autant qu’on est capable d’en lisser les bulles..

    Nombre de litres vendus aux stations d’essence ? On ne sait pas.. passagers transportés par air, par rail, sur combien de km ? La croissance s’il y en a se reflète dans toute cette activité.

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  • step // 03.09.2013 à 18h28

    partie 2 : Oublié le olivier si ce n’est sur l’explication du non défaut et de la stratégie de la montre (très bien). C’est vraiment nul que quand on approche d’un des noeuds de la pensée approfondie d’olivier, il soit privé de parole.

    – Mr St Etienne: En gros sa réflexion est que si la France faisait un nivellement social par la bas à l’allemande, cette dernière sifflerait la fin de la partie de moulinets pour une paix des braves avec accord social à la clé ? ???? C’est du délire profond. Si la France fait ce genre d’anneries, l’Allemagne pour « préserver son équilibre budgettaire » (donc le déficit des autres) mettrait un autre coup de canif à son droit du travail pour préserver sa position. RIEN ne prouve la validité de sa théorie de la paix des braves, en tout cas je connais un paquet de lobby patronaux qui seraient parfaitement d’accords pour que ce concourt de levier vers la ruine collective continue. C’est vraiment affligeant de fonder des discours sur la CROYANCE d’une pseudo limite inférieure qui surgira ex-nihilo pour établir un concordat sur des pays qui se balancent du moins disant fiscal depuis 20 ans ! NB : Le travailleurs allemand est PARFAITEMENT D’ACCORD pour partir à la retraite plus tôt. Ce n’est pas lui qui a sollicité ces efforts, il lui ont pourtant bien été demandé sans son accord et c’est bien pour cela que votre petite théorie est absolument nulle, car c’est exactement ce qui se repassera si le France faisait dans la gueguerre débile vers le bas. Ce n’est pas la France, le noeud du débat européen, c’est l’Allemagne. C’est elle qui doit se décompétitiviser un peu car les exports « européen global VS reste du monde » est à l’équilibre, lui. Evidemment cela nuit à la notion de « compétitivité à tout prix » qui sert beaucoup les intérêts de quelques uns. Trouvez vous normal que pour faire pression sur le cout du travail en Allemagne on fasse venir des salariés à bas cout pour prendre la place ? Zola, les misérables, bientot on fera feu pour arrêter les grêves comme à la (bonne) vieille époque ? Et vous voulez faire politique ? C’est ça la vision d’avenir de l’UDI pour la France ?

    Tiens une libérale contre la concurrence ? Ahh non c’est juste qu’on est des inadaptés économiques. Ouf le dogme est sauf. Petite remarque, ce problème de mobilité du travail pour assurer des « bienfaits de la concurrence », il est bizarrement présent dans pleins de pays, pas que en France. Les US viennent de découvrir cela, avec l’explosion du chômage chez eux. Au lieu de voir des problèmes français, la demoiselle pourrait se demander si ce n’est pas la tiertiarisation sur des secteurs de pointes à hautes compétitivité de nos économies occidentales qui cause le même effet partout. Il est plus facile de passer de barman à balayeur que de specialiste web à specialiste en science nucléaire ? Ah, on est des économies avec un déficit de travail sur des fonctions non spécialisées ? c’est peut- être ça le vrai problème, non ?

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    • France41 // 04.09.2013 à 10h51

      En somme, nous n’avons rien à faire, c’est la faute aux allemands.D’ailleurs, connaissez-vous le nombre de travailleurs français en Allemagne et pourquoi ils y travaillent?.Avez-vous visité l’Allemagne?.
      Les bas salaires en Allemagne sont un véritable probléme mais cela n’explique absolument pas
      les différences entre les industries des deux pays.
      Intéressez-vous à la formation des élites allemandes?.Quand dans un pays on vous demande ce que vous savez faire et que dans l’autre on vous demande quels sont vos diplomes trout est dit.

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  • dany // 03.09.2013 à 20h24

    La vidéo était sur un autre site internet dès hier soir et de bien meilleure qualité…
    C’était uniquement le temps de parole d’ Olivier…Comme je lis toujours les commentaires, il est rare que je manque quelque chose avec les autres intervenants…Surtout quand je vois le nom de  » Saint- Etienne ».

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  • guyomette // 04.09.2013 à 15h48

    « Ce n’est pas la France, le noeud du débat européen, c’est l’Allemagne. C’est elle qui doit se décompétitiviser un peu ». Ok avec Step, St-Etienne : « pourquoi les Allemands paieraient-ils pour (notre déficit si on résume) ».
    Parce que c’est avec NOTRE déficit que l’on a acheté LEUR marchandise ! Alors si l’on veut que les gens vivent de façon convenable, sans faire (trop) de déficit, en effet, il faut payer des salaires corrects, créer des emplois toussa. Si l’on veut que les populations profitent de la vie, et pas juste les actionnaires. Si l’on veut… mais St-Etienne ne veut pas.

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