Les Crises Les Crises
31.décembre.202031.12.2020 // Les Crises

La police en déconfiture ? Alexandre Langlois et Noam Anouar – par Thinkerview

Merci 139
J'envoie

Source : Thinkerview, Youtube

Source : Thinkerview, Youtube, 08-12-2020

Nous vous proposons cet article afin d'élargir votre champ de réflexion. Cela ne signifie pas forcément que nous approuvions la vision développée ici. Dans tous les cas, notre responsabilité s'arrête aux propos que nous reportons ici. [Lire plus]Nous ne sommes nullement engagés par les propos que l'auteur aurait pu tenir par ailleurs - et encore moins par ceux qu'il pourrait tenir dans le futur. Merci cependant de nous signaler par le formulaire de contact toute information concernant l'auteur qui pourrait nuire à sa réputation. 

Commentaire recommandé

Darras // 31.12.2020 à 08h13

Ben oui. A force d’ecoeurer les vocations, le nombre de candidats baisse et le niveau des candidats aussi. Aujourd’hui, on recrute des policiers du niveau collège (même pas brevet des collèges), ayant du mal à s’exprimer et même certains ayant commis des délits. Un désastre.

23 réactions et commentaires

  • Darras // 31.12.2020 à 08h13

    Ben oui. A force d’ecoeurer les vocations, le nombre de candidats baisse et le niveau des candidats aussi. Aujourd’hui, on recrute des policiers du niveau collège (même pas brevet des collèges), ayant du mal à s’exprimer et même certains ayant commis des délits. Un désastre.

      +25

    Alerter
    • Ricard’eau // 31.12.2020 à 12h30

      Ces gens doivent pouvoir exécuter des ordres de plus en plus controversés sans songer à se révolter…. des gens tres peu intelligents sont donc les bienvenus

        +9

      Alerter
      • Kasper // 31.12.2020 à 19h10

        L’expérience de Milgram démontre que, malheureusement, l’intelligence n’aide pas beaucoup dans ces cas là.

          +5

        Alerter
    • RGT // 02.01.2021 à 10h56

      Il y a longtemps déjà, « dans un pays lointain », j’avais un ami qui par motivation de justice (la vraie) s’était engagé dans les « gardiens de la paix » pour venir en aide aux populations et faire baisser la criminalité avec son beau képi et son destrier à pédales rutilant…

      Puis est arrivé Pierre Joxe et ses « amis » fauxcialistes qui leur ont fourni des uniformes façon flics US et les ont rebaptisés « forces de l’ordre » en exigeant des « résultats » sous la forme de carnets à souche bien remplis.

      Comme il préférait faire de la prévention (longues leçons de morales explicatives sur les risques encourus suite à des comportements dangereux) il était très mal vu de sa hiérarchie…

      Un jour, alors qu’il recherchait une « victime » à « torturer » avec une leçon de morale (pendant que son « collègue » mitraillait les voitures qui n’avaient pas payé les parcmètres) il a assisté au braquage d’un magasin et s’est précipité pour maîtriser l’agresseur armé.
      Il l’a maîtrisé et à procédé à son arrestation en flagrant délit sans jamais utiliser son arme de service d’ailleurs pour ne pas risquer de blesser un passant. L’agresseur était d’ailleurs un individu très dangereux recherché depuis plusieurs années.

      Au lieu d’être même simplement remercié par sa hiérarchie pour son acte utile à toute la population il s’est retrouvé avec un blâme pour avoir « mis en danger la population » au lieu de remplir sa mission essentielle consistant à verbaliser les « stationnements abusifs » qui sont encore le pire crime qui puisse être commis sur la voie publique, on ne plaisante pas avec le stationnement payant.

      Écœuré il a donné sa démission, a repris ses études, passé une thèse de philosophie et a terminé sa carrière en enseignant cette discipline aux étudiants dans les amphis en gardant jusqu’à sa mort le goût amer de l’injustice.

      Nota : Avant de s’engager dans la police, il avait réussi un DEUG B (maths/physique) et aurait pu entamer une carrière socialement plus « valorisante », mais avait choisi de vouloir réellement aider la population avec ses maigres moyens.

      Il s’appelait Denis surnommé « l’hirondelle » (cherchez l’origine de ce surnom désuet des « flics de base » pendant les « 30 glorieuses ») et je garderai son souvenir en mémoire toute ma vie car il était réellement un « juste » cassé par un système qui ne voit que son propre intérêt.

        +8

      Alerter
  • vert-de-taire // 31.12.2020 à 10h30

    Ce document est accablant pour nos gouvernants.
    mais pas seulement.

    1) Le contrôle du gouvernement par la députation semble absent.
    Le régime change en permanence dans une seule direction funeste et ce n’est clairement pas vers plus de démocratie …
    Ce choix de la violence sociale va de pair avec la violence économique, un choix politique assumé depuis une quinzaine d’années : satisfaire les ultra-riches en priorité.
    2) Une logique que NOUS LAISSONS FAIRE par nos votes constamment imbéciles
    aidés en cela par une presse/TV des ultra-riches omniprésente.

    Bref des salauds abusent des crétins.
    Tant que cela (en) marche …

      +20

    Alerter
    • Anfer // 31.12.2020 à 11h19

      On a persuadé les gens durant des décennies que l’instabilité parlementaire est le problème le plus grave de l’univers, et que donner une légitimité et un pouvoir énorme à une seule personne dans un régime bonapartiste était la meilleure chose à faire.

      Il faut une 6ème république, en finir avec cette monarchie élective.

        +23

      Alerter
      • ez // 02.01.2021 à 12h29

        « Aussitôt atteinte, la liberté se perd. Lorsque l’État libéral prétend la garantir à tous, il la garantit du même coup à ceux qui la menacent : aux puissances économiques et aux partisans du coup d’État. Alors il ne lui reste plus pour la sauver qu’à proclamer la dictature ; à la détruire lui-même pour empêcher qu’elle ne le soit par ses ennemis. De l’État libéral naît Bonaparte, ou Robespierre. »

        « Dans la plupart des cas, la majorité n’est que la somme des médiocrités individuelles, et l’honnêteté nous impose de la juger d’après l’ignorance et l’absence de but de la moyenne des individus. Voilà la réalité que les démocrates doivent voir en face, s’ils veulent que la démocratie devienne un jour aussi tangible dans sa splendeur que la médiocrité humaine. Toutes les désillusions engendrées par le régime parlementaire ont pour origine ce mensonge : un homme qui n’existe pas, auquel d’ailleurs nous ne feignons de croire que dans les circonstances politiques. […] Le système majoritaire est un mensonge parce qu’à l’échelle des grandes nations les majorités n’ont pas de volonté propre. Elles sont inertes et elles ne se meuvent que par la manœuvre des minorités ; le suffrage universel a simplement remplacé une minorité d’aristocrates par une minorité d’hommes d’affaires et de militants. »

        https://lagrandemue.wordpress.com/2020/05/26/1498/

          +1

        Alerter
        • Anfer // 02.01.2021 à 12h52

          Très bien, une variante de plus sur le thème « les gens sont des cons ».

          Donc, on propose quoi ? Le despotisme éclairé ? Le gouvernement des experts ?

            +1

          Alerter
          • ez // 02.01.2021 à 13h20

            mais non, Charbonneau ne dit jamais cela, au contraire il a un profond respect pour les personnes et place la liberté des individus au sommet de toutes les exigences

            ce qu’il explique c’est que les règles du jeu sont faussées et c’est facile à comprendre puisque ce sont les dominants qui les font pour servir leurs intérêts et les modes de scrutins choisis dans toutes les démocraties sont en réalité censitaires, cela a été démontré méthodiquement depuis au moins deux siècles

            les élections sont un spectacle pour donner l’illusion de la démocratie et nous divertir des véritables enjeux

            des solutions ont été étudiées, voir https://www.lechoixcommun.fr/content/article/vous-reprendrez-bien-un-peu-de-democratie.html

            par ailleurs Charbonneau explique aussi que les partis politiques sont une partie du problème, il ne permettent pas le développement d’un débat serein et éclairé, l’émancipation des individus dans une société apaisée

            les élections sont devenues un barnum et des pompes à fric – on n’est pas encore au niveau des US mais on tend vers – voir tous les scandales de financement dont a pu faire l’expérience

            voir aussi les travaux de Julia Cagé sur le financement des élections https://youtu.be/IMAqL_LZLeY

            je suis toujours sidéré par les millions dépensés pour une campagne alors que les moyens d’expression libres et gratuits sont aujourd’hui foisonnant, par exemple n’importe quel youtubeur fait des millions de vue et touche des millions de personnes avec très peu de moyens

              +0

            Alerter
            • ez // 02.01.2021 à 13h31

              pour rappel https://www.franceculture.fr/politique/comment-800-grands-donateurs-ont-finance-la-moitie-de-la-campagne-demmanuel-macron

              enfin, voter pour une personne, c’est en réalité se choisir un chef, c’est un archaïsme qui n’a de rationalité qu’en temps de guerre et c’est une aberration en considération des pouvoirs incommensurables qui sont placés entre les mains des chefs d’états

              c’est aussi prendre le problème à l’envers car si le but premier des élections c’est de déterminer comment le pays doit être gouverné pendant x années alors il faut d’abord s’entendre sur le comment, comment le pays doit être gouverné, dans quel but, quels sont les objectifs visés et une fois le programme établi alors on peut commencer à choisir les personnes les plus aptes à mener ce programme à son terme

              et ces personnes seront choisies uniquement en fonction des preuves qu’elles ont données de leurs compétences, alors elles n’ont nul besoin de tous les privilèges et des apparats dont on dote les élus

                +2

              Alerter
      • ez // 02.01.2021 à 12h30

        « Dans le régime parlementaire, le peuple n’exerce pas le pouvoir. Il ne fait plus de lois, il ne gouverne plus, il ne juge plus. Mais il dépose un bulletin dans l’urne ; sorte d’opération magique par laquelle il s’assure d’une liberté qui n’est plus dans ses actes quotidiens. À tous les degrés, et surtout au premier, c’est sous la forme de la démission que se manifeste la vie politique : démission du peuple entre les mains de ses représentants, démission de la majorité parlementaire entre les mains de son gouvernement, démission des hommes de gouvernement devant la nécessité politique incarnée par les grands commis de l’administration. »

        « La démocratie n’est pas la solution la plus facile, mais la plus dure ; elle n’est pas donnée dans l’immédiat, elle est fin suprême. Son égalité est la reconnaissance chez tous d’une même possibilité humaine, et le devoir pour chacun d’exercer les pouvoirs dont il peut assumer effectivement la charge. La démocratie est le gouvernement de tous les hommes dignes de ce nom sans distinction de classes, et la passion de faire accéder le plus grand nombre à cette dignité. C’est tout ; mais jamais tyran n’exigea tant des forces humaines. »

        https://lagrandemue.wordpress.com/2020/05/26/1498/

          +2

        Alerter
      • ez // 02.01.2021 à 12h32

        « Pour assurer la répression, la science lui a fourni les armes les plus perfectionnées : il n’est pas d’émeute aujourd’hui qu’une police bien équipée ne puisse vaincre. Mais ses armes les plus redoutables ne sont pas les mitrailleuses ou les gaz lacrymogènes, c’est l’anthropométrie : l’archive et la fiche ; un esprit de méthode qui ferme peu à peu à l’individu toutes les issues. Dans le temps et dans l’espace, l’action de la police gagne ; de plus en plus, au lieu de réprimer elle cherche à prévenir le crime, elle tisse sur le pays une toile d’araignée qui aboutit à elle ; c’est pourquoi il est si important qu’il n’y ait qu’une seule police : celle de l’État. Qu’un jour la conquête ou même un accord international, en effaçant les derniers lieux d’asile où le crime puisse se faire oublier, fasse de toutes les polices du monde la police, alors un énorme filet sans commencement ni fin emprisonnera la Terre. »

        « Et la machine donne à l’État bien plus que des instruments de répression perfectionnés ; par le téléphone et la TSF, les moyens de rassembler et de conduire les peuples : par le chemin de fer et la production en série les moyens de transporter et de nourrir les armées nationales ; par la presse et le cinéma, ceux de leur forger méthodiquement un moral. Surtout, en imposant partout le contrôle de l’État, elle le fait pénétrer dans les activités les plus élémentaires d’une société qui ne peut même plus le combattre parce que sans lui elle ne serait pas. »

        https://lagrandemue.wordpress.com/2020/05/26/1498/

          +1

        Alerter
  • Ando // 31.12.2020 à 11h25

    Les fruits amers du gouvernement Macron ? On a plutôt l’impression que c’est une forme de décomposition conséquence de l’impuissance quasi complète du pays.

      +2

    Alerter
    • john // 31.12.2020 à 11h52

      Impuissance choisie et conduite par les élites au pouvoir, corrompues par le pouvoir de l’argent. Plus d’Europe technocratique, encadrement du pouvoir des élus, joug policier et fermeté de la justice pour ceux qui contestent. Ceci posé nous avons voté (environ la moitié du corps électoral) pour ceux qui nous ont amené là où nous en sommes ! Et la prise de conscience collective est absente ou ne débouche pas sur une réaction massive et déterminante.

      P.S : conseil de lecture, Auteur : Domenico Moro Titre : Le carcan de l’Euro Editions : Delga Prix : 10 euros pour 90 pages.

        +3

      Alerter
    • chb // 01.01.2021 à 00h50

      Oui Ando, mais cette impuissance est fort répandue en démocraties occidentales ! C’est dans la nature du capitalisme de détruire entre autres les services publics, dont la police ; notre fake président accompagne ce mouvement avec enthousiasme – à défaut de légitimité et d’humanité.
      Puisse 2021 déciller les masses pour le moment stupéfiées : bonne année, citoyens !

        +2

      Alerter
  • Darras // 31.12.2020 à 16h42

    En fait, on devrait inscrire le droit sacré au refus d’obtempérer dans la Constitution, on devrait renommer aussi les gardiens de la paix en  » gentils animateurs sociaux », les insultes, outrages, crachats, coups et tentatives de meurtres sur agent devraient ne plus être ni criminels ni délictuel mais de la simple contravention : 5€ l’insulte, 10€ le crachat, 20€ le coup et 30 pour foncer dessus en voiture. Si le contrevenant est insolvable beeeen…. tant pis.
    Par contre, il faudra confier l’IGPN aux indigenistes et autres associations flicophiles et toute utilisation de la force par un policier sera un délit.
    Il ne restera plus qu’à demander aux flics d’être bénévoles et on sera enfin au paradis de la démocratie et des droits de l’homme.
    En attendant, j’aurai demandé l’asile politique en Russie ou dans un autre pays loin des fous

      +7

    Alerter
    • LA ROQUE // 31.12.2020 à 18h00

      Plutôt que d’être dans la caricature il faudrait vous demander pourquoi il y a une défiance de plus en plus grande envers les forces de l’ordre. Pour cela écouter l’interview ci dessus et je vous invite à écouter ou réécouter celle d’Alexandre Langlois qui expliquait la parodie qu’est l’IGPN. Le comportement de cette dernière lors des derniers événements ne fait que confirmer ces propos. Oui nous avons besoin de policiers,gendarmes etc. Mais nous avons besoin de personnes intègres ainsi qu’une hiérarchie irréprochable. Malheureusement ce n’est pas toujours le cas et ce sont les forces de l’ordre qui font leur travail correctement qui en sont les premières victimes. Malheureusement certains vont jusqu’au suicide.

        +8

      Alerter
      • Darras // 01.01.2021 à 08h30

        Défiance de qui? La population soutien la police à 80%.
        On parle de la défiance pour la magistrature?

          +3

        Alerter
        • Ives // 01.01.2021 à 09h11

          je ne sais pas où vous avez trouvé le 80%, mais le dernier sondage IFOP (je sais, ce n’est qu’un sondage) du 3/12 indiquait que seulement 37% des français faisaient confiance à la police. Alors, même si ce n’est qu’un sondage, le 80% me semble loin de la marge d’erreur.

            +10

          Alerter
        • LA ROQUE // 01.01.2021 à 14h00

          « on parle de défiance de la magistrature ?  »

          Oui parlons en.
          Que pensez vous de la garde à vu sans motif ?
          https://www.mediapart.fr/journal/france/120319/gilets-jaunes-paris-le-procureur-invente-la-garde-vue-sans-motif
          Que pensez vous de la différence de sentence entre un policier qui lance un pavé sur des manifestants et qui est condamné à 2 mois avec sursis alors qu’un GJ qui lance un pavé prend 8 mois ferme ?
          Que pensez vous de l’impunité organisé envers les dérives policières de l’IGPN ?
          https://www.mediapart.fr/journal/france/120620/igpn-plongee-dans-la-fabrique-de-l-impunite
          Que pensez vous des abus de plaintes pour outrage à agent ?
          https://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/01/18/01016-20140118ARTFIG00351-des-policiers-abusent-des-plaintes-pour-outrage-a-agent.php
          etc…

            +5

          Alerter
        • VVR // 02.01.2021 à 00h32

          Il y a en a d’autre qui ont un peu de mal: les pompiers gazés et tabassé par des policiers zélés, les soignants traités de la même façon, comme les générations d’étudiants qui se sont fait tabassé leur sale gueule d’intello. La fille d’un ami, dont la porte a été défoncée a 6h du matin parce qu’un ex était recherché pour cambriolage, se sent très moyennement rassurée en présence de la police.

          La police avait le soutient de la France « raisonnable » biberonnée à TF1 et aux chaines d’informations continue. Et comme une partie de cette France a découvert quelle est la fonction réelle de la police ces dernières années, les 80% c’est dans vos rêves.

          Et en fait, si, la magistrature soutient bien: quand avez vous vu un policier condamné à de la prison ferme pour avoir péter fait preuve d’un peu trop de zèle pendant son service ? Les seuls cas que je trouve concerne des faits de torture à la matraque électrique, ou un autre qui a tiré au fusil a pompe sur un détenu pendant un interrogatoire au poste.

          Dans la rue, même tirer sur un voleur de voiture à bout portant et le laisser se vider de sang dans le caniveau, c’est du sursis. Quand aux sanction disciplinaires, quand tuer quelqu’un qui n’avait rien a se reprocher entraine le châtiment terrible d’une mutation d’office, on a du mal a pleurer.

            +7

          Alerter
  • Guise // 03.01.2021 à 12h29

    Pour ceux et celles qui voudraient compléter avec un point de vue moins corporatiste, je conseille vraiment d’aller écouter, sur la même chaîne thinkerview, l’interview plus ancienne avec Mathieu Rigouste, chercheur indépendant mais de grande qualité, qui travaille sur la police (et le lien avec les politiques coloniales).
    Je mets le lien :
    https://www.youtube.com/watch?v=iCu-zqidtPo

      +1

    Alerter
  • Casimir Ioulianov // 04.01.2021 à 13h47

    Ultimement c’est Beauvau et les préfets qui ont multiplié les décisions stupides ces dernières années.
    Que le condé de base soit du « poulet de batterie élevé en caserne » comme disait l’autre, c’est presque accessoire. Par contre quand le ministère politise sa police ou quand la pref prend des décisions débiles ET politiques (de quoi j’me mêle) quitte à mettre les agents et le public en danger, QUID ?
    On a un énorme problème d’impunité totale des donneurs d’ordres… qui déteint sur toute la chaîne. Ajoutez à ça des consignes débiles genre « politique du chiffre » ou « nettoyage par la nasse » qui ne sont pas de nature à régler les problèmes et vous obtenez … une police qui fait les choux gras de la presse pour de mauvaises raisons et un opinion publique qui perd la confiance.
    Comme quoi , mettre au pouvoir des incapables c’est pas forcement moins nocif que d’y mettre des fous.

      +1

    Alerter
  • Afficher tous les commentaires

Les commentaires sont fermés.

Et recevez nos publications