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17.juin.201817.6.2018 // Les Crises

[Vidéo] Sarkozy, corruption, assassinat et affaire d’état ? Fabrice Arfi (Mediapart), par Thinkerview

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Source : Thinkerview, Youtube, 23-05-2018

Interview de Fabrice Arfi, journaliste, en direct le 23/05/2018 à 19h.

Source : Thinkerview, Youtube, 23-05-2018

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Fritz // 17.06.2018 à 08h15

Dès lors qu’il classe la Libye socialiste parmi les « dictatures », et son guide parmi les « tyrans ».

Car pour la mentalité simplette de croisé qui prévaut dans nos pays depuis 1990, « le monde se divise en deux catégories » : les gentils (nous-les-démocraties) et les vilains (eux-les-dictatures). Ne cherchez aucun rapport avec la forme ou le fonctionnement des régimes politiques des pays en question. Ce n’est qu’une question d’étiquette : être une démocratie, c’est avoir le droit de bombarder, avec la bonne conscience en plus.

Comme disait Pierre Thivolet sur Europe 1, en 1999, pour convaincre un auditeur inquiet devant les bombardements de l’OTAN : « la Serbie est une dictature… ». Il avait tout dit, avec pédagogie. Au printemps 2011, sur la même radio, Elkabbach introduisait son émission dominicale par ces mots : « les dictateurs narguent les démocraties : Kadhafi, Bachar al-Assad… ». L’OTAN redoublait ses frappes sur la Libye, faute de pouvoir bombarder la Syrie.

59 réactions et commentaires

  • Fritz // 17.06.2018 à 06h15

    En proie à une nuit d’insomnie, je me connecte aux crises.fr, j’ouvre la vidéo de Fabrice Arfi.
    J’apprécie sa remarque sur la « présomption d’innocence », devenue « un leurre français » utilisée « pour empêcher les citoyens de regarder les faits comme ils sont » (1’30 – 2′) ; puis je tombe sur cette tirade :

    « stipendié par une dictature » (2′ 50), « et il y a, seulement trois ans plus tard, une guerre qui est déclenchée par la France, qui fait semblant de découvrir que Kadhafi était un tyran, ce qu’il était, il a toujours été un tyran, Kadhafi, il y a pas de doute là-dessus, mais c’est Sarkozy, c’est la France de Sarkozy qui a vendu du matériel d’espionnage numérique à Kadhafi… » (à partir de 3′ 50)

    Du coup, j’ai arrêté la vidéo. Quoi qu’il dise, je n’écouterai plus ce monsieur. Personne ne l’obligeait à donner des gages au système du mensonge. Est-ce qu’il se rend seulement compte qu’il justifie la guerre impérialiste ?

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    • Laurent K // 17.06.2018 à 07h42

      J’avoue ne pas comprendre votre logique. En quoi justifie-t-il la guerre ?

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      • Fritz // 17.06.2018 à 08h15

        Dès lors qu’il classe la Libye socialiste parmi les « dictatures », et son guide parmi les « tyrans ».

        Car pour la mentalité simplette de croisé qui prévaut dans nos pays depuis 1990, « le monde se divise en deux catégories » : les gentils (nous-les-démocraties) et les vilains (eux-les-dictatures). Ne cherchez aucun rapport avec la forme ou le fonctionnement des régimes politiques des pays en question. Ce n’est qu’une question d’étiquette : être une démocratie, c’est avoir le droit de bombarder, avec la bonne conscience en plus.

        Comme disait Pierre Thivolet sur Europe 1, en 1999, pour convaincre un auditeur inquiet devant les bombardements de l’OTAN : « la Serbie est une dictature… ». Il avait tout dit, avec pédagogie. Au printemps 2011, sur la même radio, Elkabbach introduisait son émission dominicale par ces mots : « les dictateurs narguent les démocraties : Kadhafi, Bachar al-Assad… ». L’OTAN redoublait ses frappes sur la Libye, faute de pouvoir bombarder la Syrie.

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        • Melson Moinfort // 17.06.2018 à 08h54

          Fabrice Arfi juge sans doute qu’il est important d’affirmer que Kadhafi était un tyran et la Libye une dictature, même s’il pense que ce n’est pas important et même s’il est convaincu qu’un régime « démocratique  » à l’occidentale n’est pas envisageable dans des pays tels que la Libye. Ce rappel a pour fonction d’affirmer qu’il n’est pas un partisan de Kadhafi
          Fabrice Arfi, s’il veut être crédible,ne pas passer pour un provocateur et donner une impression de neutralité, doit absolument veiller à rassurer ses auditeurs en leur parlant avec les mots qu’ils ont l’habitude d’entendre.

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          • andrea naz // 17.06.2018 à 10h52

            Je ne crois pas, non; Médiapart affiche son atlantisme à chaque instant; il n’est qu’à voir l’inanité, pour ne pas dire malhonnêteté, de ses docs sur la Russie.
            Aussi, Arfi est-il bien évidemment convaincu de la tyrannie de Kadhafi,jusqu’à dire que, puisque on ne sait pas, il se peut très bien que ce soit un Libyen anti Kadhafi qui a tiré sur le tyran!

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            • Haricophile // 17.06.2018 à 17h40

              Comme dirait l’autre…

              En même temps :
              Un tyran (du grec ancien τύραννος / túrannos), désigne dans l’Antiquité grecque un individu disposant d’un pouvoir absolu, après s’en être emparé de façon illégitime.

              Kadafi avait-il le pouvoir absolu et l’a-t-il acquis de manière illégitime ?

              Si on ne veux pas que les idées dérapent, il faut commencer par ne pas faire déraper les mots.

              Et j’attends toujours qu’on m’explique avec des arguments convaincants la légitimité de la guerre « dans le but de libérer son peuple », ainsi que son assassinat tant dans l’objectif que par la méthode.

              Je veux bien qu’on m’explique que c’était un très méchant monsieur et suis même prêt à le croire, mais se serait alors au niveau TPE/PME par rapport a d’autres multinationales… un peu comme accuser un agriculteur d’être un grand méchant de répandre des pesticides Bayer-Monsanto.

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            • iloveit // 19.06.2018 à 08h23

              Selon Roland Dumas, François Mitterrand lui aurait confié que Plenel est un agent de l’OTAN. Ce qui donnerait une cohérence au positionnement de Mediapart : un organe de propagande atlantiste déguisé en journal d’investigation dissident.

              Le lien vers les propos de Dumas : https://www.youtube.com/watch?v=rdTP4J01DRw

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        • Pepin Lecourt // 17.06.2018 à 09h35

          C’est le mécanisme de la novlangue analysé par Victor Klimpferer à propos du nazisme, changer le sens des mots pour que insidieusement le langage courant devienne le véhicule de l’idéologie.
          Toute la journée nous y sommes soumis sans même en avoir conscience ainsi pour parler d’un pays dont on veut discréditer le système et les dirigeants on ne parle pas de gouvernement mais de « régime », on parlera de la décision du gouvernement Britannique mais de la décision du « régime » de Poutine.

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          • Quentin // 17.06.2018 à 11h25

            Sauf qu’un gouvernement et un régime ne désignent pas la même chose, l’un étant en place pendant une durée relativement limitée (un ou deux mandats) et l’autre étant perpétuel.

            Après on peut parler du régime oligarchique/ploutocratique qui gouverne la France, ce ne serait pas faux, mais parler du « régime de Macron/May/Trump » ou du « gouvernement de Kim Jong Un » seraient inexact de ce point de vue

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          • Haricophile // 17.06.2018 à 17h45

            La méthode est la même avec les individu. Pour attaquer quelqu’un sans subir opprobre : Commencer par le dépersonnaliser. Les N° dans les prisons, tout le vocabulaire « managérial » actuel, les discours politiques…

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        • Quentin // 17.06.2018 à 09h35

          Reconnaître qu’un régime est dictatorial ce n’est pas forcément justifier l’impérialisme, je ne vois pas pourquoi vous faites le lien de manière aussi automatique.

          Oui Kafhafi était un dictateur, de même que Saddam Hussein, mais ce n’est pas pour autant qu’il fallait les dégager

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          • Pepin Lecourt // 17.06.2018 à 09h55

            A noter que si l’on parle de la dictature d’un tyran, on ne parle pas de la dictature des marchés ou de la finance qui me semblent pourtant plus nombreux, et qui ne justifient jamais « qu’on les dégage » , il doit y avoir une explication !

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            • Quentin // 17.06.2018 à 11h21

              Faut arrêter de tout ramener à la dictature des marchés. Ok elle existe et ok il faut la dégager (vaste programme…), mais encore une fois ça n’empêche pas de dénoncer d’autres formes de dictature.

              J’ai l’impression que sur ce site dès qu’on dénonce autre chose que l’UE ou l’économie néolibérale on ne mérite pas d’être écouté.

              C’est dommage, Arfi donne des info intéressantes sur le milieu politico-journalistique que le grand public ne connaît pas forcément. Alors les lecteurs des crises n’y apprendront certainement pas grand chose certes, mais cette interview a le mérite de changer de la soupe habituelle des médias « mainstream »

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            • Pepin Lecourt // 17.06.2018 à 13h33

              Quentin
              Ben justement si on dénonce sans cesse la dictature des tyrans, j’entend rarement la dénonciation de la dictature des marchés bien qu’elle nous concerne particulièrement !

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            • Quentin // 17.06.2018 à 14h37

              Donc vous espériez qu’en demandant à Arfi de parler de l’affaire Libyenne et du régime Kadhafiste il dise « là n’est pas le sujet, il y a d’autres formes de dictatures dont on ne parle pas (…) » ?

              Je ne comprends pas le reproche qui lui est fait pour le coup.

              Que Mediapart choisisse ses cibles, c’est indéniable, mais qu’un média fasse comprendre au grand public que les élections sont des grands jeux de magouilles, c’est un gros progrès à mes yeux, et le début d’une prise de conscience globale.

              Dernière chose, la dictature des marchés est infiniment plus complexe à décrire du fait de son caractère diffus et du fait qu’il s’agit plus d’une conjonction que d’une coordination d’actions, assise par la complicité de nos gouvernants.

              Le sujet est donc radicalement différent et mérite une étude bien plus longue que l’affaire Libyenne, que certains médias tentent d’ailleurs de faire à coups de documentaires ou d’articles (cf les doc « La spirale de la dette » ou « La fabrique du consentement » d’Arte, ou certaines publications du Monde diplo), mais hormis Cash investigation les audiences ne sont pas toujours au rendez-vous

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        • ceusette // 17.06.2018 à 11h16

          L’intérêt de cet entretien n’est pas de connaître l’opinion de M. Arfi sur Kadhafi (moi-même, j’ai un peu tiqué sur ce passage), c’est une question très marginale ici, mais de comprendre comment aurait été financée la campagne d’un président français, c’est-à-dire par une puissance étrangère. C’est d’autant plus intéressant que Sarkozy a été un des principaux artisans de « l’atlantisation » de la France. Si les faits sont avérés -personnellement, je pense que c’est vrai, mais que jamais on ne pourra/voudra/acceptera de le « prouver » pour diverses raisons-, ce serait quelque chose de quasi inédit dans l’histoire de France contemporaine.

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    • jcnello // 17.06.2018 à 09h41

      Votre logique est bizarre en effet, que Khadafi fut un tyran n’autorise pas la corruption, la guerre et le manipulation des opinions dans les oligarchies occidentales…
      De toute façon, sur les 200 pays reconnus il doit y avoir environ 150 tyrans… what else ?

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    • Vercoquin // 17.06.2018 à 10h00

      Je suis désolé, mais, Fabrice Arfi a plutôt du recul par rapport à la guerre en Libye.
      Je ne voie pas en quoi dire que Kadhafi était un dictateur serait une justification de la guerre contre lui.
      Et dans la suite de l’entretien, il est nettement à charge contre Sarkozy. D’ailleurs, il nous apprend pas mal de choses sur cette affaire, que l’on ne retrouve pas toujours dans les médias de la pensée unique. Merci à Thinkerview pour cette vidéo. Merci à Olivier de multiplier nos sources d’informations.

      Faut-il bombarder tous les dictateurs ?
      Combien y a t’il de dictateurs en ce bas monde, et combien sont bombardés ?

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    • RGT // 17.06.2018 à 10h02

      Quelques jours avant l’attaque de l’OTAN, Mouammar Kadhafi avait accordé une entrevue à la « chaîne complotiste propagandiste intègre France 24 dans son agence de Tripoli.

      Petite question : Comment se fait-il qu’un dictateur aussi sanguinaire ait permis à une chaîne TV étrangère qu’il ne contrôlait pas de s’installer dans SON pays ?

      Dans cette vidéo il avertissait les €uropéens de ce qui les attendait si jamais la Libye sombrait dans le chaos…

      https://www.youtube.com/watch?v=teY6ChozpzI

      Tout s’est réalisé, et même en pire…

      C’est étrange, tout le monde semble avoir oublié de document. Sans doute parce qu’il s’agissait de propagande mensongère de la part de cet homme si méprisable qui avait sans doute CONTRAINT cette chaîne publique française à diffuser cette entrevue minutieusement préparée depuis des années.

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  • bruno // 17.06.2018 à 09h05

    le problème avec ces « jeunes » journalistes,c’est qu’en fin de compte,ils manquent terriblement d’expérience,que ce soit vécue ou sur le terrain.
    le problème avec Arfi,c’est que si un président élu fait respecter l’ordre,je dis bien, »respecter » pour ça il faut déjà avoir une certaine autorité et dans le cas de la Libye qui est loin de se gérer comme un kebab à Bobigny ou même la France car en Libye il y a de grandes disparités religieuses ou ethniques et bien tout ça, Arfi il aura du mal à le comprendre.
    Kadhafi de son vivant savait maintenir tout ça en ordre et savait arroser(argent) les différents chefs de clans qui gigotaient de la mâchoire.
    et si là dessus on y rajoute qu’il voulait se passer du pétro-dollar,alors c’était fini pour lui.
    il est au courant Arfi,qu’en Libye il y avait une excellente instruction scolaire et excellent système de santé ??
    Le revenu annuel qui était de 2 milliards 223 millions de dollars en 1973 passe à 6 milliards en 1974, pour atteindre 8,87 milliards de dollars en 1977. Des centaines de milliers de familles libyennes voient leur condition de vie s’améliorer considérablement.
    Kadhafi se révèle rapidement être un nationaliste souverainiste habité par l’idée de protéger son pays et de faire bénéficier à son peuple les revenus tirés des ressources pétrolières et gazières, jusqu’alors détournés et dilapidés par un régime corrompu, celui du Roi Idriss et les compagnies pétrolières.
    ils avaient tout en Libye le pétrole le gaz,déjà rien qu’avec ça…

    maintenant que Arfi aille demander à un libyen ce qu’il en pense de la Libye d’aujourd’hui…y a une grande chance qu’il se prenne une claque dans la gueule.
    alors monsieur Arfi,avant de dire tel ou tel président est un « dictateur ou tyran » ou je ne sais trop quelle connerie,renseignez vous bien sur les tenants et aboutissants de la gouvernance d’un pays.
    pour résumer,faites votre travail de journaliste correctement.
    car il y en a marre de toujours entendre les mêmes âneries et surtout de se permettre de faire des ingérences dans ces pays là.

    Cordialement.

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    • petitjean // 17.06.2018 à 11h25

      il n’y a pas de « jeunes » journalistes ! Il n’y a QUE des agents de propagande !
      relire la Charte des journalistes et vous pourrez mesurer à quel point cette profession nous trahi……….

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  • Lysbeth Levy // 17.06.2018 à 09h11

    Comme je vous comprends Fritz, en effet la tirade de ce Monsieur Arfi sur « le tyran » Kaddhafi, ne démontre que son allégeance masquée, avec les réseaux Soros dans le milieu du « journalisme » (indépendant ?) plutôt lié au pouvoir économique des Usa : https://sorosconnection.files.wordpress.com/2017/01/amesys1.jpg
    Qui vient de ce site sur Soros et sa toile : https://sorosconnection.wordpress.com/2017/01/31/retour-sur-le-role-des-reseaux-soros-dans-laffaire-amesys/
    Voilà ou on en est du journalisme français, a moins que dans ces livres il ne traite autrement les faits ? Quand on présente cette carte et les faits à Mr Arfi il nie tout simplement. Que dire alors de Mediapart et Edwy Plenel ? Mitterrand le disait agent américain, Roland Dumas l’avait bien dit. Dommage car il y a matière a faire et dire dans l’entourage et la personne de Sarkozy, l’élève de Pasqua n’a rien d’un homme politique intègre, mais tiens plus du mafiosi, Il faudra attendre pour de vrais révélations pleines et entières.sachant qu’il y a déjà eu quelques morts suspectes autour de Sarkozy… .

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    • sassy2 // 17.06.2018 à 15h37

      Trés chère Madame,

      Fabrice Arfi est l’un des quatre journalistes français membres du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ)

      CTRL F soros
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Center_for_Public_Integrity

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    • Tepavac // 17.06.2018 à 16h18

      Pour la République la tentative de corruption dans l’appareil d’État à déclenchée une réponse digne des Pères fondateurs de notre Nation actuelle.
      Ce n’est pas qu’ une question de prestige, mais avant tout de défense immunitaire. …dans un premier temps, puis de convoitises dans un second.

      Je penses que tout le monde a compris le message.

        +0

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    • Mr K. // 17.06.2018 à 16h38

      @Lysbeth Levy
      Très intéressant lien que « Retour sur le rôle des réseaux Soros dans l’affaire Amesys ».

      Où l’on a confirmation de l’utilisation de la « fable humanitaire et des droits de l’homme » comme levier pour des actions de guerre économique et de renversements politiques, à l’aide de myriades d’ONGs bien loin d’être neutre, financées par de l’argent publique et des milliardaires américains directement intéressés aux résultats.

        +6

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    • sassy2 // 17.06.2018 à 16h53

      Aussi Pour Fritz, qui ne s’est pas laissé trompé par son instinct
      https://www.fayard.fr/avec-les-compliments-du-guide-9782213687049
      Consortium international des journalistes d’investigation
      CTRL F soros
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Center_for_Public_Integrity

      Je suis à 40min, mais c’est fort instructif, et d’ailleurs thinkerview semble jouer avec lui.
      Le mec parle de 50me, même de toiles à 50ke, se prend pour jean edern Hallier, et ne parle pas et ne va pas parler de :
      70?t de l’or de la Lybie qui sont à l’OTAN
      le cash en numéraire : x milliards USD EUR

      le cash>>
      https://www.youtube.com/watch?v=GhRq0Sj6fOM
      une date figure coincidant avec la chute de kadhafi

      soros cia hillary => lybie => migrant=>aquarius/esclavagisme/ recyclage BCE /relance eurosysteme avec les migrants

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      • sassy2 // 17.06.2018 à 17h24

        Bon, la seconde partie est mieux

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        • Lysbeth Levy // 19.06.2018 à 07h47

          Mr Sassy, j’attends que les coupables de guerres, pillages de ces pays soient REELLEMENT puni pour leurs crimes, mais comme il s’agit de grandes puissances, je peux toujours attendre ..: https://fr.wikipedia.org/wiki/Profiteur_de_guerre#Moyen-Orient Or il s’avère que ces faits là sont enoncés contre un homme politique uniquement pour le gêner aux entournures et non parce qu’il a commis des crimes contre l’humanité.Et ça c’est la manière de faire des américains dont Georges Soros. Comme indiqué par celui qui tient le blog sur Soros connections c’est du domaine de l’intelligence économique ou guerre économique. Ce n’est pas par justice mais bien pour faire pression que sont utilisés « les affaires » comme les Panama Papers, ou Luxleaks.. Fabriice Arfi travaille dans l’ICI mais relié à l’acronyme que vous donnez en anglais c’est mieux dit : https://en.wikipedia.org/wiki/Center_for_Public_Integrity les liens sont bien établis donc Mr Arfi peux nous tromper un temps pas mais pas trop quand on gratte un peu .Pierre Péan et quelques uns sont « les derniers » du genre « journaliste d’investigation »..eux ne rendent compte à personne…

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  • gracques // 17.06.2018 à 09h53

    Cher Fritz , vous vous fourvoyez complet , si je puis me permettre …. la Libye de kahadafi était une dictature ….. non tolérée par l’occident ,’alors que le Maroc ou l’Algérie le sont tout autant , mais ne gênent pas l’occident.
    Ne pas confondre la cible de l’impérialisme avec ‘le camp du bien’ . Que Poutine ne soit pas un démocrate ( et il ne l’est pas ) n’est pas ce qui gêne les states ,ce qui gene c’est qu’il mène une politique indépendante, c’est pour cela q’il est désigné comme ‘un autocrate’ pour la ‘presse alors que sa majesté mohamed Vi ne l’est pas.

      +11

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    • Pepin Lecourt // 17.06.2018 à 10h01

      La Russie est autant une démocratie que les pays occidentaux qui n’en sont pas réèllement mais des ploutocratie par le fait que ce sont toujours des défenseurs des intérêts des 0.1 % voire 1% qui arrivent au pouvoir, constante qui ne peut être fortuite !

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      • gracques // 17.06.2018 à 13h08

        Mais ….. votre remarque n’est pas contradictoire avec ce que je maintiens !

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    • Fritz // 17.06.2018 à 10h03

      Untel EST un dictateur, @gracques ? Vous donnez de la consistance à des catégories biaisées, voire pourries par l’usage qu’en a fait l’Occident. Un exemple de plus. J’expliquais récemment à des élèves de Sixième les magistratures de la République romaine, en terminant par le dictateur : un magistrat exceptionnel, désigné par le Sénat pour assumer tous les pouvoirs en cas de crise grave, et ce pour un temps limité, comme Lucius Quinctius Cincinnatus.

      C’est alors qu’un élève me dit : « mais monsieur, Poutine est un dictateur et pourtant il est là depuis des années… »

      J’ai tenté de rectifier en faisant remarquer que Vladimir Poutine avait été élu (2000, 2004, 2012, 2018), pas désigné, et qu’il y avait d’autres pouvoirs que le sien en Russie. Puis je me suis permis de faire un peu d’éducation civique en mettant ces élèves en garde : dès qu’on vous parle d’une dictature dans le monde aujourd’hui, c’est pour préparer la guerre.

      Et j’ai mentionné Saddam Hussein, dirigeant respectable et progressiste dans les années 1970 et 80, affreux dictateur sanguinaire à partir du 2 août 1990. Je leur ai aussi montré son portrait dans la salle, car je suis moi-même un dictateur (la preuve, je dicte aux élèves).

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      • TC // 17.06.2018 à 11h13

        Ah, si tous les enseignants étaient de la même veine que vous, Fritz ! Peut être que nous arriverions enfin à avoir une vraie démocratie dans les années à venir (on peut toujours rêver !). Une des tares de l’éducation aujourd’hui est justement l’absence d’incitation à développer chez les élèves un esprit critique, à ne plus avaler du prêt-à-penser, à toujours remettre en question les paradigmes et aussi, bien sûr à se remettre en question.

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        • Nadine // 18.06.2018 à 06h25

          On se calme ! Si tous les…. ! Mais si, il y a beaucoup d’autres enseignants comme lui ! Et dès la maternelle pour expliquer que l’on peut dire non à l’enseignant qui n’est pas le détenteur du tout savoir. Et que le refus peut être ou non justifié, avec des arguments à la mesure de chaque enfant. Bon, c’est juste une petite mise au point face à un pensum (encore un)… Voyez, la politique internationale n’est pas le seul élément qui prête aux abus de langage et aux raccourcis d’idées ! ?…M’enfin !

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        • Nadine // 18.06.2018 à 06h45

          J’ajoute juste une chose…dans les années 80 un vieux militant communiste me disait :  » …à une minute d’info télé, tu devras consacrer plus d’une heure pour espérer mettre le doute dans l’esprit de ton interlocuteur. » Alors je pose à présent la question bête : aujourd’hui à l’heure du tout écran et des réseaux dits sociaux, du prêt à penser diffusé en boucle sur toutes les chaînes (que je n’ai plus…ouf !) et du remplissage de parts de cerveaux disponibles, combien de temps faut-il à un enseignant pour glisser une goutte d’esprit critique dans la tête d’un seul jeune ?

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  • petitjean // 17.06.2018 à 11h22

    Mais, à propos de « dictature », la Chine n’est-elle pas la plus grande dictature du monde ?
    et que dire de l’Arabie saoudite ?

    et pourtant nous faisons de bonnes affaires avec elles !
    comme quoi ……………………………..

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    • Pepin Lecourt // 17.06.2018 à 13h45

      On ne devrait parler de démocratie que lorsque par les élections on peut changer de systéme et pas seulement de gouvernement..

      Dans la Chine communiste les élections peuvent amener à un changement de l’équipe dirigeante mais pas de système, ce n’est donc pas une démocratie mais en occident peut-on par les élections changer de système par exemple opter pour un système communiste en théorie peut-être mais dans les faits je ne connais pas d’exemple par contre j’en connais des tas ou des régimes de gauche arrivés au pouvoir légalement ont été renversé par des coup d’état il est vrai inspirés de l’extérieur.

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  • Pierre D // 17.06.2018 à 11h26

    Bel exposé historique de l’avant Hollande.

    Tenir 1h 45 sans prononcer le nom de Macron, ni même de Jupiter ou de Père Limpimpin, pas même Flamby, voilà un exercice qui fera école… de journalisme.

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  • ceusette // 17.06.2018 à 11h27

    « Quand le doigt montre la lune, les naïfs regardent le doigt » J’ai quelque peu tempéré ce proverbe chinois, car je ne veux pas insulter les commentateurs (que je respecte vraiment). Mais simplement, je crois que certains entre eux son passé complètement à côté de l’objet même de cet entretien. Ces journalistes ont mené une enquête très fouillée sur le financement de l’élection d’un de nos présidents, ce qui tendrait à montrer que celle-ci aurait été « faussée » dans le sens où le candidat qui gagne est souvent celui qui a le plus d’argent (tout au moins, ça aide). Que M. Sarkozy ait été financé par la Libye, le Maroc, la Russie, les E-U, la RPC ou même la Papouasie, n’est pas le fond du problème, mais plutôt le niveau de corruption et de trahison de notre personnel politique, qui atteint un niveau quasi jamais vu (et pourtant!). Par conséquent, ne vous arrêtez pas aux deux trois phrases sur Kadhafi qui ne vous plaisent pas, mais prenez du recul et concentrez-vous sur le fond de l’affaire.

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    • Fritz // 17.06.2018 à 11h47

      Je reconnais mon tort, @ceusette. Si d’autres lecteurs des crises.fr pouvaient décortiquer l’essentiel du message de M. Arfi, j’en serai ravi. Mais j’ai fait un blocage sur cette question cruciale : notre vision du monde binaire, appauvrie, et même débile, entre les gentils-démocrates et les vilains-dictateurs.

      L’élection de 2007 a été faussée, évidemment. A peine deux ans après le NON des Français au Traité constitutionnel européen, les médias et les intérêts qu’ils représentent ont réussi à imposer aux Français une fausse alternative entre deux candidats du OUI, Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal…
      le troisième candidat (Bayrou) faisant figure de « dissident » était lui aussi acquis au OUI.

      D’après mes souvenirs, Sarkozy a été promu par les médias dès 2002, et Royal fin 2005, quelques mois donc après le référendum sur le TCE.

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      • gracques // 17.06.2018 à 13h21

        Fritz , je pense que nous’pourrions être d’accord sur la plupart des choses et que vous rappelliez l’origine historique du concept de dictature me réjouit , mais penser que tous’les malheurs du monde viennent de l’occident (qui est impérialiste ) ….ben cela me semble rapide….. mais l’expression écrite n’est pas toujours la plus simple pour moi !

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        • Fritz // 17.06.2018 à 20h56

          Il n’y a pas de mal, @gracques (à propos, je lirai cette semaine aux élèves de Sixième le discours impressionnant de Tiberius Sempronius Gracchus transmis par Plutarque, en grec et en français…). Je ne pense pas que tous les malheurs du monde viennent de l’Occident. Il a offert de très belles choses au monde, comme la musique classique, pour ne prendre que cet exemple. Et je ne partage pas le discours unilatéral contre la colonisation.

          Mais je constate, comme bien d’autres, que cet Occident en pleine régression morale et intellectuelle a connu depuis 1990 une sorte de furie impérialiste, dont il n’est même pas conscient, ce qui est d’ailleurs typique d’une régression.

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    • andrea naz // 17.06.2018 à 12h40

      Je pense que l’on s’est permis de s’arrêter sur deux ou trois phrases irritantes à force d’être partout, parce que on connaît le fond de l’affaire! et c’est vrai que ces trois phrases ( c’est-à-dire quand même non seulement une vision du monde mais une crédulité en des paroles flatteuses, ce qui caractérise tous les occidentaux assez sensibles à la doxa pour se l’approprier) n’ôtent rien au travail fait!
      Peut-être juste une petite déception d’y voir une ombre au tableau…

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      • Manuel // 17.06.2018 à 14h44

        Déception parce que vous ne partagez pas le mêmes idées, mais pas le même combat

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        • andrea naz // 17.06.2018 à 16h16

          Non, déception parce qu’il dénonce ce qu’il y a à dénoncer, mais s’arrête en chemin, reste coincé dans les limites étroites de la « bonne pensée » dominante!
          Si j’ai un combat c’est celui de la vérité, aidé par le bon sens, aussi faut-il aller jusqu’au bout.

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    • Pepin Lecourt // 17.06.2018 à 14h11

      Maintenant nul doute que Arfi va enquêter avec autant de zèle sur la campagne qui a amené ce brillant représentant des intérêts financiers et de l’atlantisme qu’est Emmanuel Macron à la Présidence ainsi que sur ses réseaux d’influence !

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  • Mr K. // 17.06.2018 à 11h52

    J’ai quitté Mediapart en 2011.
    Je comprend que l’on puisse rester abonné.
    Il y a chez Mediapart des journalistes de qualité menant des enquêtes très intéressantes sur des sujets plutôt spécifiques à la France.

    Fabrice Arfi fait partie de ces journalistes de qualité, je regarderai donc l’entretien (pas le temps là).
    Après il est évident qu’il doit coller à la « ligne atlantiste Plenel », par pente naturelle ou par auto-censure, s’il veut garder son boulot.

    Ce qui m’a décidé à quitter Mediapart sont les méthodes presque « dictatoriales » que la rédaction employait pour défendre l’intervention de l’OTAN en Libye.
    J’ai failli me réabonner lorsque j’ai vu, lors d’une soirée « portes ouvertes », des intervenants très intéressants sur la catastrophe Libyenne.
    Oui mais c’était après, l’Otan avait eu sa guerre sans trop de remous dans l’opinion publique.

    Mediapart a des angles morts sur des sujets précis liés à l’Amérique impériale (Otan, UE, …).
    On sent bien que quoi qu’en dise même une très grande majorité d’abonnés, rien n’y fera, la position de la rédaction ne peut pas changer.
    Il y a donc une contrainte très forte, non dite, en œuvre.

    Mediapart est un gardien de portes pour des sujets très précis.
    Certaines portes sont fermées en permanence et d’autres à des moments clés.

    Plenel intervieweur officiel de Macron, cela ne fait pas un peu curieux?

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    • weilan // 17.06.2018 à 13h22

      Vous ne pensez quand même pas que Mediapart ne survit que par ses abonnements ?
      Comme le démontre très bien Lysbeth Levy plus haut, Mediapart fait partie de la galaxie des médias subventionnés par la Fondation Open Society de G. Soros. Une fois ce fait intégré, l’on comprend mieux leur atlantisme forcené et une russophobie indéracinable.

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      • Manuel // 17.06.2018 à 14h47

        Non il n’y a aucune démonstration, mais une opinion soulevée.

        Le commentaire de L.Lévy a certes piqué ma curiosité, mais loin de là convaincu. Il faudrait quelque chose de plus fouillé.

        Même si Soros finance à grande dose la ICIJ

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      • Mr K. // 17.06.2018 à 15h00

        @weilan
        Je n’ai rien dit de tel.
        Cependant je doute aussi que Médiapart ne vive que de ses abonnements, mais n’ai aucun élément pour une certitude.
        Je trouve curieux que leurs ennuis financiers récurrents se résolvent toujours.

        Ce qu’énonce Lysbeth Levy est vraisemblable et s’emboîterait bien avec mon avis donné sur Médiapart.

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    • ben // 17.06.2018 à 14h28

      Arfi a été co-signataire (avec Perraud) de l’article mettant en cause Mélenchon, accusé de se réjouir de l’assassinat d’un opposant à Poutine. Cet article particulièrement dégueulasse a suscité à l’époque une indignation massive de centaines d’abonnés ainsi qu’une vague de désabonnements. La russophobie de Mediapart est telle qu’aucun journaliste de la rédaction n’a publié d’article concernant l’accueil du nazi Parouby à l’assemblée nationale et au sénat. Plenel est un authentique chien de garde du système, et un allié objectif des néo-nazis ukrainiens. On se souvient aussi que Médiapart a fait une promotion intensive de Macron lors de la présidentielle. Le lectorat de ce journal semble être beaucoup plus à gauche que sa rédaction, mais celle-ci ne se prive pas de continuer à raconter des salades au sujet de la presse indépendante, et il n’y a pas de raison qu’ils cessent leurs fariboles puisque des naïfs paient pour lire ça. Ce journal est une escroquerie bien menée.

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    • Renard // 17.06.2018 à 15h45

      Je le redis car mon premier commentaire a été supprimé mais Plenel était soupçonné par un président et un ministre des affaires étrangères (Mitterrand et Dumas) d’être un agent de la CIA, c’est quand même pas rien..

      Et je le redis aussi Mediapart diffuse une idéologie nauséabonde en défendant une version communautariste de l’anti-racisme, qui vient étouffer le bon anti-racisme tendance universaliste.

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  • Mr K. // 17.06.2018 à 15h34

    Entretien intéressant.
    On apprend plein de choses sur l’affaire Sarkozy/Libye.
    C’est très bien de faire ces enquêtes depuis plusieurs années sur Sarkozy.
    Mais comme président Sarkozy n’a pas vraiment été bousculé dans son atlantisme forcené.

    Médiapart enquête-t-il actuellement sur le financement de la campagne de Macron, sur ses déclarations de patrimoine curieuses, sur ses relations très étroites avec les milieux d’affaires qui l’ont mis au pouvoir?

    Par ailleurs M. Arfi nous dresse un tableau idyllique de la presse et des médias aux USA et en Grande-Bretagne.
    On a vraiment droit au mythe depuis longtemps fané des médias anglo-saxons qui eux savent remettre en cause les pouvoirs, contrairement aux français qui n’arrivent pas à se libérer d’archaïsmes nationaux.

    Quelle blague!
    Il n’y a qu’à voir par exemple comment dans l’affaire Skripal, extrêmement douteuse, l’ensemble des grands médias a honteusement suivi les versions successives contradictoires du gouvernement britannique.
    Où aux USA les médias, soutenant Hillary Clinton à 98% pendant la campagne présidentielle ou répercutant tous la faribole du Russiagate montée de toute pièce…

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  • amer // 17.06.2018 à 23h49

    Une vidéo que j’avais trouvée à l’époque , elle date de sept 2011 :

    https://m.youtube.com/watch?v=NdBhjjbHd-M

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  • Nadine // 18.06.2018 à 07h29

    Bon, rien d’extraordinaire qu’on ne sache déjà. Essayer de gagner le pouvoir à l’aide d’une masse de plus en plus forte de pognon…ok. Mais ça soulève bien l’idée que peut-être sans ce moyen le pouvoir pourrait échapper à ceux qui y tiennent le plus…argument non évoqué. Les atteintes à la liberté d’informer…silence. Les soutiens et contrats commerciaux avec les divers gouvernements sans une once de scrupule…mouais. Seule chose que je garde dans les propos de ce journaliste…Sarko est le premier à faire l’objet d’une enquête. Quel progrès ! Alors au choix : ou Sarko n’est pas futé ou on veut donner au peuple l’impression de vivre en démocratie ! plus ce mot magnifique est utilisé plus il est dévoyé, alors continuons de faire les singes en votant.

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