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12.mai.201812.5.2018 // Les Crises

[Vidéo] Santé VS Nourriture ? Isabelle Saporta, Par Thinkerview

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Source : Thinkerview, Youtube, 13-03-2018

Interview de Isabelle Saporta, journaliste d’investigation et chroniqueuse, en direct à 17h30 le 13/03/2018.

Source : Thinkerview, Youtube, 13-03-2018

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Commentaire recommandé

Suzanne // 12.05.2018 à 12h48

Très accessoirement, mais c’est très intéressant aussi, Isabelle Saporta fait ressortir les difficultés que rencontrent les gens actuels, hommes ou femmes.
A un âge différent selon les personnes, ça peut être 40 ans ou 50 ans ou même 35 ou 60, les gens se rendent compte qu’ils ont été floués, manipulés par la société occidentale, selon plusieurs axes.
On a détourné, par exemple mais ce n’est pas le seul, la magnifique libération sexuelle en une série d’exploitations des femmes et des hommes : chaînes insupportables des différentes hormones délivrées seulement sur ordonnances tous les 6 mois, après examen médical comme ça en même temps les médecins et les laboratoires s’en mettent plein les poches, établissement d’une culture du changement de situation qui incite fortement aux gens de se marier, puis aux gens de divorcer, puis de déménager, puis d’acheter, puis de vendre, puis etc. enfin peu importe du moment qu’ils changent de situation, parce qu’au passage des multinationales ou organisations diverses s’en mettent plein les poches. Et ça déstabilise fortement les homo sapiens que nous sommes, qui avons besoin de stabilité. D’où les interrogations sans fin sur le rôle des femmes, le rôle des hommes, le rôles des père et mère, on sait plus où on en est.

Tout cela d’ailleurs se rapporte exactement à ce que je disais plus haut : l’élevage d’une masse d’humains exploitables et réductibles à des formes plus ou moins visibles d’esclavage, pour que certains s’en mettent plein les poches, encore une fois.
Donc même les digressions de la fin de l’interview me paraissent très intéressantes, et concourent à renforcer cette impression pénible qu’on a constamment, d’être surveillés, managés, cultivés, élevés comme les pauvres bêtes des univers concentrationnaires de l’élevage moderne.

24 réactions et commentaires

  • LA ROQUE // 12.05.2018 à 06h28

    Ce que je retiens de cet interview est que encore une fois nous avons la preuve que les journalistes qu’ils veulent faire un travail d’investigation sont bâillonnés et ce même lorsqu’il s’agit de traiter des sujets de santé publique.Le business avant tout !

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    • philippe dumont // 12.05.2018 à 16h10

      Pourquoi ne faites-vous pas un article sur ce qui se passe aujourd’hui à carcassonne? une performance artistique de l’artiste Suisse Varini à posé des bandes jaunes sur la cité de Carcassonne de manière monumentale. la signification de la performance ? Elle représente une cible et radiation. Pour quelle raison ? Fin 2019 à MALVESI à côté de Narbonne l’incinérateur THOR sera mis en activité . Toutes les boues nucléaires européenne y seront brûlés. le triangle Toulouse Montpellier Perpignan sera irradier pour 250000 ans et Carcassonne en est le centre de la cible. 1000 ans après la Croisade albigeoise l’extermination des audois est programmée pour 250000 ans et pour 250000 € c’est une œuvre subversive d’une grande finesse intellectuelle

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  • calal // 12.05.2018 à 08h15

     » le systeme fonctionne bien pour les marchand de phyto et la grande distribution ».
    Ben oui, si ca continue c’est que ca fonctionne pour certains participants du systeme.
    Manger le moins possible pour diminuer la dose de poison ingeree…

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    • ai // 13.05.2018 à 10h59

      « la grande distribution »…
      Le reflexe pavlovien! La grande distribution DISTRIBUE, comme son nom l’indique, donc elle distribue ce qu’elle a à distribuer! Ce n’est pas la gd qui décide des taxes à l’import sur le commerce avec la Chine! Ce n’est pas la gd qui à fait une Europe dominée par l’allemagne! (vu l’importance croissante des entreprises allemandes au sein de nos rayons). Ce n’est pas la gd qui décide de la composition des produits lorsque les multinationales américaines détiennent 70% du CA d’un rayon! Ni la gd qui à décidé du calibrage des produits fruits et légumes! (sinon pourquoi serait-ce l’état qui le contrôle). Ni la gd qui fait qu’on se sert toujours plus de nos voitures!

      Qu’elle ait désormais un rôle de prescriptrice, c’est indéniable, mais toujours brandir ce bouc-émissaire est réducteur et surtout contre-productif.

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  • AerosolKid // 12.05.2018 à 08h26

    Arrêtez de manger, pour mourir de faim plutôt que de bêtises. Ce sera plus rapide.

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  • LCH // 12.05.2018 à 10h56

    Franchement je suis pas étonné sauf pour son franc parlé ?
    Il faut dire que j’ai eu la chance d’avoir une jeunesse avec poule / lapin / cheval / chevre /etc…

    Et même aujourd’hui encore je suis en direct sur certains produits
    Les oeufs du poulailler des parents
    La viande en direct d’un producteur local sans OGM en nourriture pour la bestiole ?
    ( élevage en pleine nature )
    Le vin je suis direct producteur par certains salons et vu sur site l’exploitation durant mes vacances ?

    Choisir son lieu de vie et avoir eu une éducation de la terre est primordiale à mon avis

    J’ai peut être eu la chance d’avoir l’éducation car je ne me vois pas acheter des tomates en novembre ?

    Mais a noter qu’il s’auto musèle donc en définitive le mot journalope prends son sens ?

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  • Veloute // 12.05.2018 à 11h04

    C’est ce que j’avais retenu de cette vidéo : un vague sentiment de tenir la chandelle.

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  • Adéchoix // 12.05.2018 à 11h16

    « Miroir mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle ? »
    « Si à 50 ans on n’a pas des louboutin, c’est qu’on a raté sa vie. »
    J’ai coupé à 25mn.

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  • Chris // 12.05.2018 à 12h10

    Seul hic. Jardiner en ville ne supprime hélas pas la pollution massive qui y règne et que les plantes « digèrent » et nous aussi !
    Par contre, éviter d’ingérer des aliments super transformées (industriels) est un premier pas : ça va des produits laitiers et boissons teintés, aromatisés, reconstitués et bidouillés (avec ou sans calories, vitaminés, herbisés ou que sais-je ?) aux plats cuisinés « améliorés » par des agents qui n’ont rien à faire dans nos estomacs, en passant par les charcuteries gonflées aux polyphosphates et autres saletés. Même certains légumes surgelés sont conditionnés gustativement : bien lire la composition !
    Manger simple !

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  • Suzanne // 12.05.2018 à 12h33

    Très intéressante, cette interview. Elle met en lumière des questions essentielles, et Isabelle Saporta sait parfaitement les formuler. Par exemple :

    – Qu’y a-t-il de plus important qu’un agriculteur? Rien, personne. Remarques connexes : on laisse des nations étrangères acheter nos terres vivrières (un crime), un agriculteur ne gagne pas sa vie, en plus de la culpabilité d’empoisonner le monde, et l’humiliation d’être emprisonné dans un système étrangleur. Donc suicides. Des scandales, tout ça.

    – Nourrir local + bio, point. Rien d’autre. Et ça marche, et tout le monde y gagne, elle aide à le prouver par son travail d’éditrice, en confiant à un journaliste le soin de le montrer.

    – Etc. plein d’autres question du genre. Fabuleux.

    Evidemment, il n’est pas dit ici, parce que ce n’est pas réellement le lieu ni le travail d’Isabelle Saporta qui est juste là pour dénoncer, qu’il y a derrière tout ça des volontés sinistres : C’est VOULU, le fait de rendre les gens faibles et malades et ignorants, parce que la masse humaine est en train de devenir la seule ressource disponible.
    C’est la ressource de demain, ça n’est pas assez dit et répété. Tous les abus ne sont pas des accidents, ils font partie d’une tapisserie plus grande.
    Et la seule manière de résoudre ça est de faire en même temps une résistance personnelle et individuelle, d’une part, et de participer à mettre en place un pouvoir politique qui casse tout ça et reconstruit.

      +6

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    • jules vallés // 13.05.2018 à 12h12

      «  »– Nourrir local + bio, point. Rien d’autre » »
      Voilà une constatation qui l’air de peu est d’une « subversivité » totale, en effet ça signifie concrètement qu’il faut rompre avec le modèle urbain et déserter toutes ces métropoles mortifères, qui ne peuvent être bio, et encore moins produire local….

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      • Suzanne // 13.05.2018 à 14h57

        Effectivement, je suis loin d’être sûre que c’est encore possible, qu’il reste encore assez de terres libres dans les couronnes des villes pour la nourrir. Si on compte : une AMAP nourrit combien de gens? Allez, quatre cent, cinq cent? Pour une grande ville, il en faudrait donc mille?? Impossible.
        Quant à tous émigrer à la campagne, j’ai un gros gros doute. Sur la manière dont on serait reçus. Sur le temps qu’il nous faudrait pour obtenir une récolte, un an minimum de crève-faim, si le temps le permet et que personne ne s’est amusé avec des missiles nucléaires. Sur la qualité de l’eau. Etc.
        On a un problème, oui.

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        • patrick // 13.05.2018 à 16h08

          les grandes agglomérations n’ont aucune résilience, trop de gens à nourrir, trop d’énergie pour faire tourner l’ensemble, trop de gens dépendant des subsides de l’état ( en faillite ).
          La démarche ne peut qu’être individuelle/familiale.
          Mais pour devenir autonome ( démarche en cours ), il faut plusieurs années de travail donc il vaut mieux commencer rapidement.

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  • Suzanne // 12.05.2018 à 12h48

    Très accessoirement, mais c’est très intéressant aussi, Isabelle Saporta fait ressortir les difficultés que rencontrent les gens actuels, hommes ou femmes.
    A un âge différent selon les personnes, ça peut être 40 ans ou 50 ans ou même 35 ou 60, les gens se rendent compte qu’ils ont été floués, manipulés par la société occidentale, selon plusieurs axes.
    On a détourné, par exemple mais ce n’est pas le seul, la magnifique libération sexuelle en une série d’exploitations des femmes et des hommes : chaînes insupportables des différentes hormones délivrées seulement sur ordonnances tous les 6 mois, après examen médical comme ça en même temps les médecins et les laboratoires s’en mettent plein les poches, établissement d’une culture du changement de situation qui incite fortement aux gens de se marier, puis aux gens de divorcer, puis de déménager, puis d’acheter, puis de vendre, puis etc. enfin peu importe du moment qu’ils changent de situation, parce qu’au passage des multinationales ou organisations diverses s’en mettent plein les poches. Et ça déstabilise fortement les homo sapiens que nous sommes, qui avons besoin de stabilité. D’où les interrogations sans fin sur le rôle des femmes, le rôle des hommes, le rôles des père et mère, on sait plus où on en est.

    Tout cela d’ailleurs se rapporte exactement à ce que je disais plus haut : l’élevage d’une masse d’humains exploitables et réductibles à des formes plus ou moins visibles d’esclavage, pour que certains s’en mettent plein les poches, encore une fois.
    Donc même les digressions de la fin de l’interview me paraissent très intéressantes, et concourent à renforcer cette impression pénible qu’on a constamment, d’être surveillés, managés, cultivés, élevés comme les pauvres bêtes des univers concentrationnaires de l’élevage moderne.

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    • ai // 13.05.2018 à 11h42

      Ouais enfin on peut discuter le fond; par contre, la forme, et c’est bien sûr très personnel, m’exaspère: elle minaude et baragouine comme une ado d’il y a 20 ans mais use d’anglicismes à tout va (« winemaker » entre autres). Et sur le fond, face à un bon interlocuteur, on perçoit aussi vite ses limites techniques. En fait ses opinions ne sont fait que de rencontres et d’anecdotes. Pas d’approfondissement derrière. Bref elle n’a pas le niveau pour porter le fer bien haut, malheureusement.

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  • Brigitte // 13.05.2018 à 07h03

    Tout à fait d’accord. L’agriculture devrait être une matière enseignée à l’école. C’est aussi important que la philo ou les maths. Et il y a plein d’innovations à faire et de nouveaux métiers à développer dans ce domaine. C’est l’avenir.
    Par contre mr de constance, le français s’apprend aussi à l’école…..

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    • ai // 13.05.2018 à 11h05

      En exagérant un peu, je dirais que même les élèves en agriculture ne l’apprenne plus. Ni l’économie de leur secteur non plus. Ainsi ils sont dépendants, premièrement, des semenciers et des marchands de machines agricoles toujours plus chères, et deuxièmement des principaux syndicats agricoles. Ah çà par contre, nos jeunes agriculteurs apprennent l’anglais… on veut ptet en faire des traders sur le marché à terme international du blé?

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  • RGT // 13.05.2018 à 10h49

    « il y a un milliard de conneries à la minute.
    Je suis désolée, je suis très grossière »…
    Isabelle Saporta n’est pas, et de loin, la plus grossière…

    Les plus grossiers sont bien tous ceux qui nous OBLIGENT à devoir subir leurs « lubies » (très rémunératrices) et pourrissent notre quotidien sans avoir à en subir la moindre conséquence.

    C’est AUSSI ça le capitalisme et sa « nouvelle philosophie » le néo-libéralisme.

    On privatise les profits et on socialise les pertes (en tentant d’augmenter les profits en privatisant tous les biens communs, assurances santé comprises).

    Le « business » serait plus « respectueux » s’il devait assumer les conséquences de ses conneries à leur juste hauteur.

    Cet hiver, mon épouse a perdu ses deux ruches, en même temps, alors qu’il ne faisait pas particulièrement froid et elle avait bien protégé ses ruches contre les rigueurs de l’hiver.
    Les casiers étaient PLEINS de miel, les naissains remplis de larves et les colonies bien peuplées. Sans aucune trace de maladie particulière ni de présence de prédateur particulier.
    Elle n’est pas la seule dans ce cas, si vous l’ignorez cette année a connu une hécatombe en Isère (je ne sais pas ailleurs).
    Les apiculteurs sont désespérés et se demandent bien ce qui a pu se passer.
    Et ce phénomène dure depuis bien trop longtemps déjà, avec des ruches qui sont exterminées sans raisons apparentes tout au long de l’année, même quand la saison devrait être particulièrement clémente pour ces petits insectes.

    Certains apiculteurs et biologistes dénoncent les néonicotinoïdes, insecticides récemment apparus qui commettent des ravages dans TOUTES les populations d’insectes.

    Je tiens à vous rappeler que les abeilles et les insectes butineurs (il en reste d’autres ???) sont indispensables à la reproduction de TOUTES les plantes à fleurs (angiospermes)… Plus d’abeilles, plus de plantes à fleurs, et en conséquence une chute drastique de biodiversité et une carence de nourriture pour tous les êtres vivants qui s’en nourrissent, puis carence des prédateurs,… Jusqu’à l’homme.

    Et dire que la nature a prévu des « insecticides naturels » très performants et sans danger pour l’environnement : Les prédateurs (oiseaux, guêpes, coccinelles etc…
    Manque de bol, ces prédateurs ne sont pas brevetables et leur utilisation est gratuite.
    Heureusement ces prédateurs sont aussi empoisonnés par les insecticides ce qui permet d’éliminer une « concurrence déloyale ».

    Quant aux « insecticides bios », ne m’en parlez surtout pas, ils sont tout aussi nocifs tant pour les humains que pour l’environnement.

    Avec mon épouse, nous possédons un potager et un verger dans un petit village de montagne dans lequel poussent des végétaux LOCAUX adaptés au climat.
    Sans engrais, sans pesticides, et sans irrigation (la pluie suffit). Il faut juste se retrousser les manches pour arracher les « mauvaises herbes » (qui sont bien mieux adaptées à l’écosystème que les végétaux consommables) et de lâcher les poules pour aller faire le ménage parmi les limaces, escargots et insectes variés.
    Nous avons d’autres alliés, particulièrement dans les salades : Les pince-oreilles font des ravages parmi les pucerons et autres insectes végétaliens. Quand nous coupons une salade nous faisons attention à bien faire sortir tous ces « petits amis » afin qu’ils aillent protéger d’autres plantes…

    Finalement, si on est pas trop exigeants sur les « rendements » (juste ce qui est nécessaire à notre alimentation) il est possible d’avoir des végétaux NATURELS (pas « bio ») sans se fatiguer, ça pousse tout seul…
    De plus, en se nourrissant d’insectes, les poules sont très heureuses et nous donnent en retour des œufs splendides avec des jaunes de couleur intense, couleur qui varie en fonction de leur alimentation et qui peuvent même être orange foncé.

    N’oublions pas que l’homme est un être vivant « naturel » et que la seule alimentation qu’il peut absorber DOIT être naturelle sinon il meurt…

    Allez faire comprendre ça à un énarque où à un financier..

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    • Suzanne // 13.05.2018 à 14h49

      L’énarque ou le financier, ou la majorité des gens, ne se rend pas compte du tout de l’importance de ça, parce qu’ils n’ont pas eu de proximité avec les plantes vivantes.
      Ayez un arbre fruitier, observez avec angoisse si les abeilles vont enfin venir cette année, parce que sinon des fleurs, oui, plein, mais aucun fruit,et là vous avez compris que sans pollinisateurs on est tous morts.

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      • Hong Xiu Quiang // 13.05.2018 à 21h07

        J’ai un jardin au milieu de champs en friches, l’agriculture est ici (bande littorale du Languedoc) mourante, dévorée par la spéculation immobilière. J’y ai planté de la phacélie (entre autre) pour attirer les abeilles. Il n’y est venu que des bourdons, nombreux. Effet du temps ou de la disparition des abeilles, mes arbres (amandiers, pêchers, abricotiers…) ne porteront que peu de fruits. Quelques abeilles charbonnières sont venues butiner les pommiers. Il y a donc bien eu pollinisation mais par d’autres insectes, ceux qui ne font pas de miel…Curieusement il y a eu plus d’abeilles dans mon autre jardin, en gros la bande réglementaire de 4 m de large qui entoure mon petit pavillon de banlieue (je suis un privilégié). Elles raffolent du céanothe. J’en planterai plusieurs dans le grand jardin…on verra bien. J’observe mais je ne sais faire la part des choses car les années ne se succèdent jamais à l’identique. Cet automne et cet hiver ce sont bien des arbres pourtant d’ici qui sont morts de sécheresse, la pluie n’étant venue qu’en Janvier…
        Bon, tout ça n’a rien à voir avec le sujet… je vais quand même regarder l’interview…mais quelque part, il me semble bien savoir tout cela…

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    • Vjan // 13.05.2018 à 19h09

      @RGT entièrement d’accord avec vous sur la priorité d’une alimentation saine, cad naturelle, variée, mesurée.
      Ça paraît une évidence dit ainsi, n’est-ce pas ?
      Et pourtant :
      – le bio est une fausse bonne idée, récupérée par les grandes industries pour les gogos-bobos qui se donnent à bon compte -où innocemment, c’est pire – l’illusion d’entretenir leur santé et leur planète.
      (Qui disait dans un article des Crises « Ils sont le problème et se présentent comme la solution » ?)
      – les jeunes générations sont élevées au sucre. Manger sain, c’est y renoncer et au vu de l’inflation galopante du nombre de gens obèses ou en surpoids, c’est pas gagné.
      – nous sommes désormais trop nombreux pour que la terre nous nourrisse tous, à moins d’un changement drastique d’alimentation (dans l’hemisphère nord).
      – le changement climatique risque d’impacter fortement nos capacités agricoles, même familiales.

      Pour les abeilles, elles se font rares chez moi depuis des années.
      Un copain apiculteur du coin a perdu cette année plus de la moitié de ses ruches. Ça craint. ?

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      • Vjan // 13.05.2018 à 19h21

        J’ajoute un 5ème point qui posera problème à moyen terme : l’eau, l’or bleu, risque bien de devenir la source prochaine de toutes les convoitises… et de tous les conflits.

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  • Devauchelle // 15.05.2018 à 13h57

    Heureusement qu’Isabelle Saporta est une forte personnalité! Il me semble que la moitié de ce qu’elle aurait pu nous dire a été enlevé vu l’orientatIon de cette interview. A quoi servait de lui demander de nous parler de ses goûts en matière de vins? De la couper deux fois plus que les hommes interviewés ? De nous parler quatre fois de son portable, comme si il fallait montrer qu’elle devait assurer pour ses enfants en permanence? Heureusement qu’elle a pu nous parler un peu de ses combats, car sinon j’ai trouvé cette interview un peu beaucoup séductrice- machiste. Est- ce parce que l’interviewer ne pouvait pas laisser de côté qu’il s’agit d’une jolie femme? Avez vous déjà vu les interviews de Thinkerview prendre cette tournure?

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  • Axelle // 16.05.2018 à 15h32

    « A quoi servait de lui demander de nous parler de ses goûts en matière de vins? De la couper deux fois plus que les hommes interviewés ? De nous parler quatre fois de son portable, comme si il fallait montrer qu’elle devait assurer pour ses enfants en permanence? j’ai trouvé cette interview un peu beaucoup séductrice- machiste »

    Entièrement d’accord, le machisme patent de l’interviewer surtout quand l’invité est une femme est maintenant INSUPPORTABLE.

      +2

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