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15.novembre.201815.11.2018 // Les Crises

P. Servigne & J. Blamont : Introduction au siècle des menaces, par Thinkerview

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Source : Thinkerview, Youtube, 18-10-2018

Entretien avec Pablo Servigne et Jacques Blamont, en direct le 18/10/2018 à 15h30.

Source : Thinkerview, Youtube, 18-10-2018

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Commentaire recommandé

Caliban // 15.11.2018 à 10h14

@Kaki

70% de l’eau douce est utilisée pour l’agriculture
22% pour l’industrie
8% pour un usage domestique

Pour ce qui est de l’usage domestique, les sanitaires représentent 20% et la douche 39%
(https://www.cieau.com/le-metier-de-leau/ressource-en-eau-eau-potable-eaux-usees/quels-sont-les-usages-domestiques-de-leau/).

Le traitement « léger » des eaux de vanne n’est pas possible, de même que l’eau de douche avec les savons « merdiques » (Ushuiaia & Co) qu’utilisent la plupart des Français. + d’infos : http://www.eautarcie.org/02a.html

La solution durable :
• les toilettes sèches (donc recyclage)
• les savons / produits d’entretiens non polluants
… et bien sûr la sobriété.

49 réactions et commentaires

  • Kaki // 15.11.2018 à 07h23

    Mr Blamont parle des ressources en eau et préconise une malthusienne,il oublie le fait que 70% de la consommation d eau mondial passe dans les toilettes et la douches. Un circuit d évacuation secondaire pour traiter l eau des sanitaires et des douches avec un traitement léger permettrait d économiser un max les ressources, sans parler de la monoculture, du coca, des vaches etc… Donc avant le contrôle des naissances en Afrique, il y a quand même pas mal de marge, mais, comme aime à le rappeler Sky  » le mode de vie des américains est non negociable  » dixit la Busherie

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    • Caliban // 15.11.2018 à 09h47

      @Kaki

      Le contrôle des naissances devrait pour commencer s’opérer dans les pays du Nord, dont le mode de vie est en ce qui concerne l’atteinte à l’environnement, sans commune mesure avec celui des pays d’Afrique sub-saharienne.

      Se réjouir du sempiternelle « 2 enfants par femme pour le renouvellement des générations » et le maintien de politiques natalistes est une aberration du point de vue écologique. C’est du moins le point de vue défendu par M. Cochet : https://www.youtube.com/watch?v=1McqPk_GhMk&t=19s

      Les chiffres concernant la consommation de l’eau :
      https://www.youtube.com/watch?v=CmA4D2cu51g

      Et les solutions :
      https://www.youtube.com/watch?v=5t1Vfv4X3-M

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      • Tassin // 15.11.2018 à 10h15

        La fécondité de l’Europe entière est autour de 1,6 à 1,7 enfants par femme depuis 30 ans.
        En France ça fait 4 ans qu’elle est en dessous de 2.
        Problème réglé donc.

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        • kapimo // 15.11.2018 à 19h06

          A noter que la France mérite un bonus hydrologique, ses habitants se lavant moins que les allemands et nordiques, qui méritent donc quant à eux un malus.

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      • Caliban // 15.11.2018 à 10h27

        @Tassin

        Pas vraiment, la population continue à augmenter au Nord et donc la pression sur l’environnement continue à croître.
        La proposition de M. Cochet (suppression des allocations familiales à partir de 3 enfants) serait un début de solution pour baisser la population du Nord.

        Mais pour cela un changement de paradigme doit être accompli : les nouveaux venus sont un fardeau pour la Nature. Et en plus, ils vont en prendre plein la tête.

        https://youtu.be/-0f8Jh1b7nQ?t=80

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        • Emmanuel // 15.11.2018 à 14h17

          Pour la population du nord une vingtaine d’années de patience et la courbe s’efondrera le début de la fin pour les baby-boomer …..

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        • Caliban // 15.11.2018 à 19h46

          @Emmanuel

          Les 20 années en question sont cruciales pour notre devenir : laisser faire la pente naturelle ne me paraît pas une solution.

          Il faudrait de mon point de vue :
          • décourager les familles nombreuses pour accélérer le processus de décroissance démographique (spécialement en France, certains pays n’ont pas ou n’ont plus de politique nataliste)
          • agir dans les foyers d’instabilité et de pauvreté qui sont également (hasard ? certainement pas) les zones les plus procréatrices, comme l’Afrique sub-saharienne et certaines régions du sous-continent indien

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    • Caliban // 15.11.2018 à 10h14

      @Kaki

      70% de l’eau douce est utilisée pour l’agriculture
      22% pour l’industrie
      8% pour un usage domestique

      Pour ce qui est de l’usage domestique, les sanitaires représentent 20% et la douche 39%
      (https://www.cieau.com/le-metier-de-leau/ressource-en-eau-eau-potable-eaux-usees/quels-sont-les-usages-domestiques-de-leau/).

      Le traitement « léger » des eaux de vanne n’est pas possible, de même que l’eau de douche avec les savons « merdiques » (Ushuiaia & Co) qu’utilisent la plupart des Français. + d’infos : http://www.eautarcie.org/02a.html

      La solution durable :
      • les toilettes sèches (donc recyclage)
      • les savons / produits d’entretiens non polluants
      … et bien sûr la sobriété.

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      • Kaki // 15.11.2018 à 21h43

        En quoi est il compliqué de traiter de manière moins lourde les eaux des toilettes, sans ajout de sel d aluminium, sans ajout de chlore, etc…
        Pour les savons c est pareil pourquoi utiliser forcement quelque chose qui mousse?
        Pour les chiffres j en ai d autres issu de mes cours.

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      • Caliban // 16.11.2018 à 01h01

        @Kaki

        S’agissant des eaux de vanne, vous savez (et probablement mieux que moi si vous étudiez ou avec étudié la question) qu’il faut un traitement important pour :
        • ne pas polluer les sols avec les micro-organismes réputés pathogènes contenus dans les excréments
        • pouvoir rejeter l’eau filtrée dans le cycle naturel (= les rivières)

        Pour les savons et pire, les détergents chimiques, les solutions parfaites n’existent pas vraiment. Il faudrait utiliser des produits moins nocifs pour l’environnement.

        Bien sûr si vous avez des informations différentes, je suis preneur 🙂

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    • jdautz // 15.11.2018 à 16h10

      Pour l’eau a usage domestique. L’agriculture et l’industrie consomment largement plus que l’usage domestique. Sans parler de la fracturation hydraulique ou entre la consommation et les conséquences c’est carrément indécent.

      L’autre point c’est qu’on n’a pas besoin d’eau potable dans les toilettes et la douche pas plus que d’eau en bouteille pour boire.

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      • jp // 15.11.2018 à 21h22

        pas d’accord pour la douche. Il faut de l’eau potable pour se laver surtout les bébés. Id l’eau en bouteille pour les bébés, celle du robinet n’est pas assez propre pour faire un biberon.

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        • Kaki // 15.11.2018 à 21h44

          Et pour quelles raisons ne pourrait on pas se laver avec de l eau non potable?

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          • jp // 15.11.2018 à 22h32

            demandez à un médecin, un pédiatre ou un dermatologue !

            Je suppose que vous êtes un homme, jeune, en bonne santé et qui ne se blesse jamais.

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            • Kaki // 16.11.2018 à 06h56

              Affirmatif,
              jeune c est relatif en bonne santé, je pense, si l on part du principe que 60% à 70% des français n ont pas de problème cutané, alors cela permet déjà d économiser de l eau, ensuite je n’ai pas besoin de demander à un dermato pour savoir comment réagi ma peau, je me suis déjà baigne dans des rivières douteuses sans pour autant pouvoir me laver de suite. Pour illustrer : le gange, les enfants de la mer en Asie, Afrique, etc,,, je précise seulement pour se laver avec un traitement minimal cad, propre mais non potable.

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  • Xavier // 15.11.2018 à 07h51

    Cette interview démarrait très bien, avec une grande lucidité, mais à un moment, envisager une dictature pour infléchir la trajectoire de l’humanité sur la terre me paraît très révélateur de la grille de lecture de ce physicien.
    Quelque part il veut sauver la terre mais pas l’humanité, pas la conscience.

    Dans son histoire, l’homme n’a évolué qu’en s’opposant à une autre entité humaine.
    Il n’a jamais développé de réelles capacités coopératives, de capacités où, sans expansion, il peut vivre de manière stable dans son ensemble.
    C’est le défi de l’univers de l’humanité pour le XXIe siècle : Dans un monde décloisonner, réussir à coopérer la Will n’a pour l’instant su que dominer.

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    • Caliban // 15.11.2018 à 09h54

      @Xavier

      Pas certain que M. Blamont appelle de ses voeux la dictature, mais il envisage la possibilité de sa mise en place comme une conséquence de l’effondrement.

      Pourriez-vous nous préciser le minutage dans la vidéo ? J’ai vu la vidéo il y a longtemps et peut-être ai-je loupé le passage en question 🙁

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      • Jac // 15.11.2018 à 12h01

        Je n’ai pas entendu qu’il y ait eu préconisation de « dictature ».
        Dans vos propos : « (…) mais il envisage la possibilité de sa mise en place comme une conséquence de l’effondrement » :
        Je parlerai plus de « sentiment d’effondrement » (justifié sans que beaucoup ne sachent l’expliquer et/ou l’interprètent très mal) qui engendre naturellement des angoisses insupportables, lesquelles sont refoulées par le racisme et les haines en progression comme toujours quand il y grosse crise de trop. Donc effectivement risque de dictature que le peuple angoissé installe naïvement et pour son malheur sur le trône du pouvoir.

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        • Xavier // 15.11.2018 à 20h17

          D’abord pardon pour les fautes d’orthographe, la reconnaissance vocale et un petit écran m’ont joué des tours…

          De mémoire à la moitié de l’itw il explique qu’il faut des structures verticales pour faire des changements technologiques, alors qu’avant il explique, pour le coup assez lucidement, que la technologie n’est pas la solution… Très respectueusement, c’est l’âge je pense.

          Ensuite, il me semble que la problématique majeure n’est pas seulement la planète, comme une expérience scientifique, mais le bien-être de l’humanité sur la planète.
          Et la verticalité qu’il évoque a toujours produit les grands massacres par ses visées expansionnistes !

          C’est cet angle d’analyse qui manque aux débatteurs : comment comprendre le lien expansion-hiérarchie.
          Ils n’ont visiblement pas lu ou compris Laborit…
          La recherche de la dominance et l’habituation* sont les mères de notre misère et de nos déterminismes.

          Seule leur compréhension, intégration dans une grille de lecture globale (donc biologique et pas seulement économique ou physique) permettra à d’autres génération je l’espère un vrai « progrès ».

          Je ne veux pas ici être de nouveau accusé de prosélytisme pro-laboritien mais quand on connait bien ses travaux on piaffe de ne pouvoir porter la contradiction ou du moins le complément de sa grille de lecture.

          *J’espère qu’Olivier acceptera que je remette ici le lien vers une réflexion sur ce thème : http://nouvellegrille.info/pdfLR2018-01.html car il manque cruellement aujourd’hui.

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    • Jac // 15.11.2018 à 11h08

      Qui a parlé de « dictature » ?! Ecoutez mieux, ne vs laissez pas envahir par vos émotions primaires. Moi aussi j’ai eu une fraction de seconde la même réaction que vous.
      Formidable cet interview ! On n’est pas obligé de suivre les conseils préconisés par le plus âgé -le sage- mais ce n’est pas idiot dans son sens, bien que les religions aient montré leurs limites dans l’histoire et ont toujours été récupérées par les pouvoirs dominants -les despotes d’abord les dictateurs ensuite-, trop commodes pour rendre les foules dociles; il évoque aussi le bouddhisme bien que lui préfère la religion catholique (c’est sa génération) mais, pour moi, le plus jeune est encore plus pertinent. Il me conforte dans ma confiance très optimiste en la jeunesse actuelle (je précise : je suis une vieille très athée…)

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  • DocteurGrodois // 15.11.2018 à 10h26

    « Rien n’indique mieux en quoi le catastrophisme des experts est bien autre chose qu’une « prise de conscience » du désastre réel de la vie aliénée que la façon dont il milite pour que chaque aspect de la vie, chaque détail de comportement, soit transformé en objet de contrôle étatique, encadré par des normes, des règles, des prescriptions.

    Tout expert devenu catastrophiste se sait dépositaire d’un fragment de la vraie foi, de la rationalité impersonnelle qui est l’essence idéale de l’État.  »

    Jaime Samprun, « Catastrophisme, administration du désastre et soumission durable »

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    • Jac // 15.11.2018 à 12h19

      Oui, mais je n’entends pas dans cet interview ce que l’on appelle « catastrophime » tel celui des gourous de l’apocalypse Il n’est question que de démontrer avec une analyse scientifique et logique ce vers quoi on tend – ou peut tendre- si l’on n’y remédie pas. Chacun peut y trouver ses solutions sans crier « au loup ». Certes, les dictateurs en devenir qui font feu de tout bois en font leur chou gras, d’où : “Catastrophisme, administration du désastre et soumission durable”. Cela est ainsi depuis la préhistoire. Mais on est moins dupe quand on est averti. Vous ne pensez pas ?

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      • DocteurGrodois // 15.11.2018 à 14h52

        Non.
        Il n’y aucun besoin d’avertir qui que ce soit de la menace d’un désastre futur alors qu’il y en a deja un en cours.
        Donc il n’y a pas besoin non plus d’avoir à choisir entre le totalitarisme et le nihilisme dans la peur (ou l’espoir pour certains) d’un hypothétique effondrement qui nous est vendu par les boutiquiers de la « collapsologie ».

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        • Kaki // 15.11.2018 à 21h32

          Tout a fait d accord, d ailleurs Mr Servigne casse un peu le mythe des survivalistes post apocalyptique. Voir son thinkerview solo, une bonne dose de bon sens commun est vérifiable dans 90% des cas de rupture de normalité.

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  • villegagnons // 15.11.2018 à 10h48

    Sur l’eau c’est sûr qu’on en manque ! Le corps a 80% d’eau et les 2/3 de la Terre est constituée d’eau !
    – Les pays du Moyen-Orient ont tous développé des usines de dessalinisation. C’est juste un changement de paradigme de l’approvisionnement. En revanche, les pays qui n’ont pas accès à la mer devront passer des accords avec des pays qui en ont accès. Reste à savoir combien le capitalisme va rendre cette eau, mais Coca-cola n’est plus nécessaire, Coca-Cola n’a juste qu’à vendre de l’eau. Mais au moyen-âge, en France, l’accès aux puits était déjà payant.
    – Sur les boucles de retro-actions, c’est l’introduction d’une cause finale qui en rend le fonctionnement possible. Quand les sciences introduisent des causes finales on est plus dans la science mais dans l’idéologie.
    – Pour finir sur la spiritualité ! On croirait lire la mystique d’Hans Jonas !

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    • Jac // 15.11.2018 à 13h29

      Je suis d’accord avec vous sur le fait qu’il y a des solutions. Et sur le fait que « quand les sciences introduisent des causes finales on n’est plus dans la science mais dans l’idéologie ». Cela est si je ne m’abuse le propre du scientisme (qui en devient une religion laquelle nie la philosophie, ce qui pour moi n’est pas recevable) et le physicien avoue lui-même qu’il « a été » scientiste. Aujourd’hui il préconise la religion catholique, c’est dans sa logique. Pourquoi pas. C’est son point de vue, pas le vôtre apparemment ni le mien. Peu importe. Un scientifique est un être humain comme tout un chacun et il a ses opinions comme nous avons les nôtres. On n’est pas obligé d’en faire son gourou. Je pense qu’un gourou (voire un prophète) ne l’est que par la manière d’être écouté, non par ses seuls propos.
      Et c’est sûr, Coca-Cola comme les autres multinationales récupéreront toutes solutions quelles qu’elles soient, comme elles l’ont toujours fait. On n’est pas obligé d’acheter !
      Malgré cela, j’ai trouvé cet interview très bien.

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      • Jac // 15.11.2018 à 13h52

        J’ajoute : je l’ai trouvé très bien de par la dichotomie jeune et âgé, 2 versions qui sur plusieurs points se rejoignent et se complètent. Ma préférence est celle du jeune, qui me semble bien plus pertinent et forcément bien plus dans son époque. Sinon, je n’écoute jamais les solutions de scientifiques. Leur démarche professionnelle est dans l’observation et l’analyse, c’est là qu’ils sont intéressants. Leurs solutions valent celles de Tartempion, elles peuvent s’accorder aux nôtres ou pas, être stupides ou pas..

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      • villegagnons // 15.11.2018 à 14h23

        Oui c’est possible, mais pour moi quand on passe de la science directement à la religion sans passer par la philosophie, c’est que l’on veut court-circuiter la Raison. On attend, au contraire, de l’âge avancé un discours plus raisonnable. Quant aux jeunes, comme le disait Hésiode, à l’âge de fer, ils naissent déjà vieux. Je n’ai pas réussi à déterminer qui était le plus vieux dans cette vidéo (le vieux con ou le jeune qui pousse la tête à l’envers )…

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        • herve_02 // 15.11.2018 à 15h16

          Je crois que servigne à modifié son discours pour se conformer à l’ambiance. D’ailleurs il est déjà venu seul à thinkerview, todd est venu aussi seul.Todd, dit que hormis l’afrique, le soucis démographique est terminé. Dans son interview servigne explique que le changement ne peut venir QUE de l’individu en coopérant en dehors de la sociéé capitalise (et donc en dehors d’un état qui est par nature capitaliste).

          Il ne pousse pas à l’envers, il est jeune et pris dans le ‘respect’ pour celui qu’il met sur un piédestal. Ce vieux qui est conseillé bénévole de macon cela permet de situer un peu le bonhomme. On voir d’ailleurs la porté de ces conseils en terme de stratégie spatiale.

          Je pense que cet interview était un piège pour servigne. et que thinkerview rève d’une société ‘dirigiste’, dirigée par une élite dont il a l’impression de faire partie, à la mode du logiciel libre dont le chef est un dictateur bienveillant.

          Il faut regarder les autres interview de servigne :

          https://www.youtube.com/watch?v=6J1Lzs-iYAI
          https://www.youtube.com/watch?v=3q54510-HW8
          [modéré]

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        • bigglop // 16.11.2018 à 05h44

          Très dommage qu’il manque un troisième interlocuteur, François Roddier, astrophysicien, qui a développé la théorie de thermodynamique de l’évolution plus crédible, à mon sens.
          http://maisouvaleweb.fr/thermodynamique-de-levolution-existe-t-science-futur/
          Bonne lecture…

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  • herve_02 // 15.11.2018 à 13h28

    La vieillesse est un naufrage.

    Un bon malthusien qui s’ignore. Les gouvernements ne PEUVENT rien car la population augmente et consomme de trop. On croirait du macron dans le texte.

    L’augmentation des taxes est alors le seul moyen. #déprimant

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    • Caliban // 15.11.2018 à 19h54

      Qu’est-ce qu’un « malthusien qui s’ignore » ?

      Un personne qui considère que le poids de la démographie sur la biosphère est un problème ?
      Ou c’est plus grave docteur ?

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      • herve_02 // 15.11.2018 à 23h57

        Oui, une personne pour qui le poids de la démographie est un problème fait partie de ceux qui se pense une élite capable de décider ce qui est bon ou mal. En général les malthusiens se tournent très rapidement vers ceux qui font des enfants (les pauvres et les noirs) pour dire comment c’est le mal. parce que c’est mathématique. N’est-ce pas. Bon il faut le démontrer mais tout le monde s’en fout.

        Pourtant la famille en Érythrée qui crève de faim et de soif dans son désert, avec une subsistance qui n’est plus assurée car le mondialisme à détruit leurs équilibres, consomment de la nature, à eux 20, moins que ce qu’il a fallut pour maintenir en vie ce vieux de 92 ans et probalement moins qu’il ne faut pour juste le vêtir.

        Le monde peut tout à fait accueillir bien plus de monde qu’il n’y en a actuellement. Mais pas s’ils prennent l’avion, pas s’ils doivent travailler à 50km de chez eux, pas si la société ne leur laisse que la consommation (sorties, réseaux sociaux…) pour avoir une vie sociale (et donc au moins heureuse) (car le capitalisme libéraliste à détruit les cellules sociales). Pas si le sol est tellement détruit qu’il faut 1 hectare pour produire 200 euros de blés avec probablement autant de pétrole.

        Oui le vieux malthusien qui a consommé dans sa vie probablement plus d’énergie qu’un village entier de ces pauvres noirs qui sont la nouvelle peste parce qu’ils se reproduisent comme des lapins est bien mal placé pour parler de démographie sur la biosphère. SON mode de vie est un problème, pas le nombre d’humains sur terre.

        Si demain on veut faire des communautés autonomes avec une qualité de vie apportant bonheur et santé, il faudra être bien plus et pas bien moins. lorsque les réserves disponibles ne seront plus là. le bon petit riche dans son ranch sans électricité, avec ses voitures sans carburants il sera bien emmerdé tout seul. Je ne parle pas du bon petit vieux de 92 ans (l’espérance de vie est de à la louche 80 pour les cadres et 70 pour les ouvriers) devrait remercier la nature de lui avoir permis de vivre (et consommer) bien au delà de la moyenne.

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      • Caliban // 16.11.2018 à 01h07

        @herve_02

        « Le monde peut tout à fait accueillir bien plus de monde qu’il n’y en a actuellement. »
        A condition de vivre comme avec les modes de consommation du XIXe ou … comme dans les pays pauvres.

        Dilemne :
        • soit vous demandez au Chinois et Indiens d’arrêter de nous envier notre confort (fort improbable qu’ils acceptent)
        • soit vous trouvez un moyen de réduire la consommation d’énergie de la population mondiale.

        Et la réduction des naissances, en priorité dans les pays du Nord, est une des nombreuses pistes à emprunter car toutes les solutions menant à cet objectif de réduction de la consommation d’énergie me semblent bonne à prendre.

        Donc le malthusianisme, c’est comme la charité : pour bien l’ordonner, il faut la commencer par soi-même 🙂

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        • herve_02 // 16.11.2018 à 13h54

          Personne ne vous interdit de vous suicider…

          c’est comme la charité : pour bien l’ordonner, il faut la commencer par soi-même

          ps : soit c’est de la mauvaise fois, soit de la bêtise (ca peut être les deux), mais associer confort et consommation d »énergie est une vaste blague. on peut avoir du confort en consommant, on peut consommer sans confort (allez au travail à 50 km dans une voiture ou le chauffage ne marche pas, vous verrez votre confort) et on peut avoir du confort sans consommer d’énergie (regarder les éco-hameaux à énergie positive).

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        • Caliban // 16.11.2018 à 15h36

          « Personne ne vous interdit de vous suicider… »
          Merci pour votre bienveillance 🙂

          Euh ? Vous me reprochez de la bêtise et / ou de la mauvaise foi.
          « associer confort et consommation d”énergie est une vaste blague »

          Relisez-vous … et n’oubliez pas d’éteindre le PC après chacune de vos réponses.
          C’est pas très confortable mais vous économiserez de l’énergie 😉

          Je veux bien échanger avec vous mais avec des éléments rationnels :
          • on ne peut pas nier que la vie est bien plus confortable dans notre société thermo-dynamique qu’au XIXe
          • on ne peut pas généraliser à l’ensemble de la population la situation des éco-hameaux, à moins que vous ne considéreriez Paris et ses 2 millions d’habitants comme un grand village ?

          En revanche si votre objectif est d’avoir absolument raison quitte à changer de sujet et à raconter n’importe quoi, on peut interrompre la discussion, cela économisera de la bande passante 🙂

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          • Caton l’Ancien // 18.11.2018 à 19h51

            Si je puis reprendre, cela m’intéresse :

            “associer confort et consommation d”énergie est une vaste blague”

            Je n’aurais pas dit « vaste blague » mais ces thèses me laissent perplexes. Ou alors cela dépend énormément de ce que l’on appelle « confort ». Bien sûr que si on regarde le passé on va voir un fort lien entre PIB et énergie et un fort lien entre PIB et confort : quand l’énergie est abondante il est relativement rationnel d’en faire une usage abondant, et donc l’énergie consommée sera proportionnelle à la somme des activités en tout genre ; quand l’énergie se raréfiera, il est imaginable qu’on établisse des priorités et qu’on supprime prioritairement les activités qui apportent le moins en qualité de vie. Certes ce n’est pas très probable au vu des structures actuelles du pouvoir mais alors cela fait de l’équation « Energie=qualité de vie » une équation vérifiée à cause de raisons politiques et donc une équation avec laquelle on peut rompre alors que vous semblez en parler comme une équation vraie pour des raisons sinon physiques, en tout cas incontournables.

            Enfin surtout j’en sais rien mais disons que je n’ai jamais vu d’arguments qui me permettrait d’exclure qu’en établissant des priorités claires entre les activités économiques selon leur utilité réelle, on pourrait, par exemple, réduire fortement la consommation énergétique sans faire baisser drastriquement l’espérance de vie. Je suis assez d’accord pour dire que la production industrielle devra diminuer mais d’un autre coté on gaspille énormément donc est-ce que entre réduction du gaspillage, une éventuelle reprise d’un artisanat moins gourmand en ressources, un sens des priorités, des innovations… j’imagine qu’en cas de diminution de 50% de l’industrie, si on fait porter 10% par la diminution du gaspillage, 10% par … et 10% par les gains de productivité liés à l’innovation, on peut imaginer que ça ne soit pas une catastrophe en termes d’espérance de vie.

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  • calal // 15.11.2018 à 13h30

    quand un « vieux » de 92 ans commence a dire qu’il y a trop de gens sur la planete et donc qqprt qu’il faut leur refuser ce que lui a eu soit 92 ans de joie de peine etc je me mefie.Que les malthusiens se suicident en premier!

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    • Caliban // 15.11.2018 à 19h52

      Euh ? discréditer le propos d’une personne en se fondant sur son âge avancé ne me paraît pas une bonne manière de raisonner.

      Quant à l’invitation au suicide des malthusiens … j’aimerais bien savoir ce que vous entendez par malthusien. Pour savoir si je suis concerné 🙂

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      • Alfred // 15.11.2018 à 20h43

        N’hésitez pas. C’est Violent ? C’est à la mesure de la violence de ce que l’on peut ressentir à lire vos propos que l’on peut trouver outranciers (et que vous réitérez longuement). Je suis choqué par cette façon de décréter que nous sommes trop nombreux. Personnellement je préfère faire cinq enfants et revoir radicalement ma manière de vivre (quitte à avoir l’empreinte écologique d’un malien) que de me voir imposer la politique de l’enfant unique ou des deux enfants pas plus ou que sais-je pour pouvoir se permettre de poursuivre notre mode de vie absurde.
        Alors effectivement que toute personne qui trouve qu’on est trop nombreux commence par elle même.

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      • Caliban // 16.11.2018 à 01h23

        Avoir l’empreinte écologique d’un malien … Cela revient pour votre famille à réduire votre consommation d’énergie par 3 et votre espérance de vie de 30 ans. Au moins vous aurez la chance de ne jamais devenir un vieux schnock 🙂

        Par ailleurs, si vous souhaitez réellement mon point de vue :
        • imposer quoique ce soit aux pays pauvres est hors de propos, la population du Sud n’est pas « polluante » comparativement à celle du Nord. En outre, la réduction des naissances ne se décrète pas, elle s’éduque … il va falloir du temps, de la solidarité économique et moins d’instabilité politique, bref des tas de chose qu’on n’est pas prêt de réunir, notamment dans la zone sub-saharienne.
        • en revanche mettre fin aux politiques natalistes dans les pays du Nord est une mesure urgente et facile. Les allocations familiales pour 1 enfant ok, pour 2 non, pour 3 malus. Aujourd’hui c’est pile-poile l’inverse et c’est une spécificité française (historiquement – depuis le XIXe – la France a conservé sa hantise de la dépopulation face aux Reichs allemands)

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        • Alfred // 16.11.2018 à 12h45

          « éduire votre consommation d’énergie par 3 ». Et pourquoi pas? Quand à l’espérance de vie c’est un petit peu plus compliqué et montre un peu le coté simpliste de votre raisonnement par simple analogie. Ceci dit, que l’espéance de vie descende ne me choque pas. Par contre votre obsession de la dénatalité ça fait vraiment vieux schnoock sans enfants à la Macron. A la limite la fin des allocations je peut comprendre mais un MALUS à partir de trois enfants?!? C’est un truc de khmer vert… C’est un truc de taré totalement extrémiste et déconnecté des réalités. Vous préférez que les gens qui ont trois enfants (une fois qu’ils sont là ils sont là (un peu comme les migrants hein)) ne puissent pas les éduquer correctement? Il faut pas les inciter a faire des gosses alors ils faut qu’ils en chient? D’une part c’est aussi peu humaniste que de vouloir laisser crever les migrants en mer « pour pas les inciter »; d’autre part cela risque d’avoir un coût énorme pour la société et pour vous. Je suis sidéré; au secours. stop les idéologies.

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          • Caliban // 16.11.2018 à 16h09

            @Alfred

            Je me permets de vous demander de réfléchir sereinement à votre vive réaction.

            Dans quelle mesure n’êtes-vous pas le jeu d’une « idéologie » (tout particulièrement prégnante en France) qui consiste à :
            • associer grandeur de la nation et taux de fécondité (le fameux 2 enfants par femme)
            • et derrière, à entrer dans le jeu croissantiste de l’économie libérale, assimilant démographie et santé économique

            C’est ce paradigme dont il faudrait se défaire pour pouvoir envisager la démographie de manière rationnelle au regard des enjeux environnementaux. Il faut dans les pays dits développés la décroissance économique et la décroissance démographique.

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        • Caliban // 16.11.2018 à 15h46

          @Alfred

          Vous être dans les slogans pas dans le raisonnement logique et argumenté. Vous avez beau jeu de dire « stop aux idéologies » :p

          Je n’aime pas Macron et [modéré], je suis pour l’accueil des personnes qui partent de Libye si c’est conforme au Droit d’asile (et cela me semble être le cas, https://www.youtube.com/watch?v=N6yzLWse410).

          En revanche je ne suis pas pour la baisse brutale de l’espérance de vie. C’est pourquoi je préconise le changement de paradigme concernant la natalité : il faut la limiter au Nord (d’abord) car ce sont nos sociétés qui saccagent la planète. Soit dit en passant, le Malus ne devrait évidemment pas avoir d’effet retro-actif 🙂

          C’est paradoxal mais c’est ainsi : les politiques natalistes dans les pays du Nord sont criminelles au regard de la Nature.

          Plus les générations qui suivent seront nombreuses plus elles auront des raisons de nous en vouloir. Et surtout plus elles auront de difficulté à vivre dignement.

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  • Chris // 15.11.2018 à 14h58

    Blamont a très bien identifié les menaces qui pèsent sur le XXIe siècle :
    1) les conflits armés, dans la perspective inévitable d’un recours aux armes de destruction massive,
    2) l’expansion d’épidémies, favorisée par la mondialisation,
    3) l’épuisement des ressources.

    (2) Pour ne prendre qu’un exemple : la rougeole.
    En 2017, l’Ukraine représentait à elle seule les ¾ des cas de rougeole en Europe. Un pays en guerre, extrêmement pauvre (merci l’OTAN !) dont le PIB par habitant est équivalent à celui du Nigéria (2639 $).
    Si l’Ukraine est une menace sanitaire sérieuse dans l’Europe transhumante, alors que dire des déferlantes migratoires qui nous viennent de pays encore plus pauvres ?!
    D’ailleurs, les chiffres s’accélèrent : depuis le début de l’année 2018, plus de 41 000 personnes ont contracté la rougeole, soit deux fois plus que sur l’ensemble de l’année 2017…
    Je vous fais grâce de la recrudescence de la tuberculose, qui de plus, est antibio-résistante, etc…
    Malthus se grime en Camarde !

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  • Jean // 15.11.2018 à 15h07

    Cette obsession de la surpopulation ne s’explique que parce qu’elle permet de donner bonne conscience à la surconsommation qui nous fera disparaitre, en tant qu’espèce, bien avant que la surpopulation devienne un problème. Alors continuons la fuite en avant, la Nature reprendra ses droits quoiqu’il advienne, la seule question qui s’impose est de savoir si ce sera avec ou sans nous.

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  • Jac // 15.11.2018 à 16h41

    Mes conclusions de cet entretien :

    La population augmente drastiquement :
    il est sûr que tant que la majorité des humains sera pauvre ou misérable, sans aides sociales, sans moyen de subvenir à ses moyens, devant produire ses misérables ressources …etc, celle-ci aura toujours besoin de plus d’enfants pour avoir plus de bras.

    il faudra que 14 milliards d’humains puissent se nourrir :
    C’est sans compter avec l’extraordinaire adaptation de l’humain qui bat les records de l’ensemble de la faune.

    Les populations en augmentation veulent toujours se développer :
    pas vous ? Pourquoi les uns pourraient et pas les autres ? On constate cette recherche constante de développement dans la nature elle-même, flore comprise. Ce sont des scientifiques qui le disent. Par la sélection naturelle, par l’adaptation aux ressources selon environnement ou climat… mais toujours pour être « plus » (fort, grand, nourri …) Les quelques rares jungles encore sauvages ne laissent pas 1cm2 où un homme pourrait se poser. Imaginez quand elles étaient sur la majorité du globe : L’homme ayant les mêmes objectifs, il a bien fallu qu’il débroussaille !

    Les pénuries d’eau engendrent les conflits :
    Non pas les pénuries elles-mêmes si on regarde bien, mais plutôt qu’en temps de pénurie ce sont les plus riches (les plus « forts ») qui s’accaparent le peu de ressources restantes. Car l’humain, naturellement, est capable de survivre avec très d’eau et très peu de nourriture en attendant la pluie… D’où l’invention des citernes par exemple, des silos, des greniers à grains …et bien d’autres en prévision. A condition que ces réserves soient partagées.

    Il faut un pouvoir central fort pour réguler parce que l’humain est cruel (versius J.Blamont) :
    Pourquoi pas, donc, l’église catholique, qui a enseigné dans ses missions de par le monde l’art de cultiver, sélectionner, élever « par le haut ». (C’et bien) Jusqu’à l’Inquisition » et les atrocités qu’elle a engendré: pour aussi élever les âmes….brrrr
    Versius P.Servigne : il faut des pouvoirs et non pas un seul pouvoir pyramidal. Des mini sociétés en quelques sortes: Il y a longtemps, cela s’appelait des tributs puis des clans, lesquelles se guerroyaient sans cesse. Certes en préservant la nature…

    Une des multiples solutions pour mettre mon grain de sel ?

    Que les états donnent l’exemple en construisant par l’impôt (payé par tous au lieu de créer des taxes partout qui coûtent plus cher aux pauvres qu’aux riches) des HLM d’un montant de loyer correspondant au 5 ème max du revenu des locataires, isolés (sol, murs, toît, fenêtres), toilettes sèches (ou avec une chasse d’eau branchée sur les tuyaux d’écoulement des eaux usées des éviers et lavabos, par exemple), et système de chauffage photo voltaïque … C-à-dire tout ce que peuvent se payer les riches. S’en suivra que si les pauvres se mettent à vivre mieux (en ayant de la sorte plus de moyens pour se nourrir « bio »), les classes moyennes et les riches feront moins de jaloux et, qui sait : moins de violence, plus de « civilités », plus de respect, plus de partage…. Et ils feront moins d’enfants…..
    Un rêve ?

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    • Jac // 15.11.2018 à 17h22

      « et, qui sait : moins de violence, plus de “civilités”, plus de respect, plus de partage…. »

      Bon, la violence, le manque de respect, de civilités, de partage… ce n’est pas que chez les pauvres. C’est dans toutes les classes sociales. Ce n’est pas avoir peu de moyens qui engendre le plus de violence, mais avoir trop de biens, trop de luxe …etc qui rend parano.

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  • Kaki // 15.11.2018 à 21h27

    300 litres en moyenne par habitant soit 120 litres pour la douche, 60 pour les sanitaires et les 120 litres restant ?

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