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22.novembre.201722.11.2017 // Les Crises

Après Polanski, DSK, Weinstein… Haziza ! Sacré BHL, toujours prêt à défendre les opprimés…

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10 ans de combats de BHL contre l’Oppression et pour la Justice… (rétrospective de certains de ses soutiens)

I. « Pourquoi je défends Polanski » (Le Point, le 15 octobre 2009)

Source : le site de BHL, 7/10/2009

Abuser d’une fille de 13 ans est, évidemment, un crime grave.

Et être un artiste de génie n’a jamais constitué, pour quelque crime que ce soit, une circonstance atténuante.

Cela étant dit, et vu le vent de folie qui est en train de souffler sur les esprits, il convient aussi de rappeler les évidences suivantes.

1. L’illegal sexual intercourse – en français, détournement de mineure – dont Roman Polanski s’est reconnu coupable il y a trente-deux ans n’est pas, pour autant, le crime de sang, voire le crime contre l’humanité, que dénoncent, depuis dix jours, les vengeurs lâchés à ses trousses. C’est un crime, oui. Mais il y a des degrés dans l’échelle du crime. Et vouloir tout mélanger, essayer de nous faire croire qu’un viol serait un crime de même nature que celui, par exemple, dont fut victime Sharon Tate, sa femme, éventrée quelques années plus tôt alors qu’elle était enceinte de huit mois, prendre le risque, autrement dit, car c’est bien de cela qu’il s’agit, de voir Roman Polanski rejoindre Charles Manson dans le pénitencier dont celui-ci aura, au même instant, dès le 1er janvier 2010, la possibilité légale de demander à sortir, c’est une insulte au bon sens, une atteinte à la raison, la porte ouverte à toutes les confusions.

2. Cette affaire est d’autant plus insensée que la principale intéressée a choisi de pardonner, de tourner la page et, si possible, d’oublier. « Laissez-moi tranquille ! supplie-t-elle chaque fois que la Justice Spectacle, ou le Spectacle tout court, reviennent braquer leurs projecteurs sur ce pan de son passé, laissez-moi tranquille et oubliez, par la même occasion, cet homme dont je considère, moi, sa victime, qu’il a suffisamment payé ! ». Mais non. On a là des défenseurs des droits des victimes qui savent mieux que la victime ce qu’elle veut et ce qu’elle ressent. On est là face à des gens qui lui passeraient bien sur le corps, à la victime, plutôt que de lâcher leur proie et de renoncer à la délicate ivresse de punir. C’est honteux.

3. Quand la victime se désiste, n’appartient-il pas à la société, c’est-à-dire au juge, de poursuivre ? Oui, sans doute. D’un point de vue judiciaire strict, c’est en effet le droit de la société. Mais ce ne sera ni la première ni la dernière fois que le point de vue judiciaire strict manquera et aux exigences de la compassion et à celles de l’intelligence. Et de même que je ne me suis jamais privé de pointer, dans le Droit de cette Amérique que j’aime, des usages ou des peines qui, comme dans tous les systèmes de Droit, font entorse à la pure idée démocratique, de même il n’y a aucune raison de ne pas le dire : arrêter aujourd’hui un homme dont on a conclu, jadis, au terme de quarante-deux jours de prison, qu’il n’était pas un pédophile, le traquer comme un terroriste, l’extrader comme un ancien nazi, est peut-être conforme à la loi, mais certainement pas à la justice.

4. Serait-ce, comme on l’entend partout, que sa célébrité « sanctuarise » M. Polanski ? Non, bien entendu. J’ai passé mon existence à tenter de tirer de l’oubli des vies minuscules, des victimes sans visage et sans nom – et je tiendrais donc le même discours, exactement le même, si M. Polanski n’était pas M. Polanski. Sauf que… Je n’aurais pas à le tenir, justement. Car il n’aurait pas été arrêté. Son dossier serait enterré depuis des années. Et il ne se serait pas trouvé de magistrat pour, à la veille d’une élection (car les magistrats californiens sont des élus du peuple, comme les maires et les shérifs), décider cette arrestation médiatisée. La célébrité ne protège pas Roman Polanski, elle le dessert. Loin que Roman Polanski se cache derrière son nom, c’est lui, son nom, qui le désigne. Et s’il y a bien un « deux poids deux mesures » dans cette affaire, c’est celui qui fait de lui, Polanski, non pas un justiciable ordinaire, mais un symbole – et qui, de son éventuelle comparution, ferait un « grand bazar » politico-cathodique davantage qu’un procès équitable.

5. Car le fond de l’affaire est bien dans le parfum de justice populaire qui flotte autour de tout cela et transforme les commentateurs, les blogueurs, les citoyens, en autant de juges assermentés au grand tribunal de l’Opinion – les uns pesant le crime ; les autres le châtiment ; on a même vu l’un de ces vertueux, apparemment expert en castration chimique, proposer, pour ce nouveau Dutroux (sic), un traitement définitif… Étranges enragés qui ne trouvent rien à redire quand c’est un vrai puissant qui, sous nos yeux, se conduit en prédateur de mineures (ah, les « frasques » de M. Berlusconi…), mais deviennent implacables quand c’est un faux puissant qui n’a, comme Polanski, d’autre arme que son talent… Singuliers moralistes qui prennent un malin plaisir à se passer en boucle les détails de cette affaire sordide pour, ensuite, jeter la pierre…

Ce lynchage est un trouble à l’ordre public autrement plus sérieux que le maintien en liberté de Roman Polanski.

Cet acharnement de tricoteuses et de tricoteurs, cette volonté de voir au bout d’une pique la tête d’un artiste, sont l’immoralité même.

De deux choses l’une, messieurs les justiciers. Ou bien Polanski était ce monstre – et il ne fallait pas lui donner d’oscar ni de césar ; il fallait boycotter ses films ; il fallait le dénoncer aux autorités chaque fois qu’il venait, en famille, passer des vacances dans sa maison de Suisse. Ou bien vous n’avez rien trouvé à redire, jamais, à ses apparitions annoncées sur tous les tapis rouges de tous les festivals du monde ; vous sentez bien, comme moi, la formidable hypocrisie de ce procureur, affamé de reconnaissance et de gloire, qui se réveille un beau matin pour le livrer, tel un trophée, à la vindicte d’électeurs chauffés à blanc – et il faut, comme sa victime, prier pour qu’on le laisse, enfin, en paix.

Bernard-Henri Lévy

Source : le site de BHL, 7/10/2009 (archive ici)

Bonus : Rappel juridique pour BHL, qui confond donc Détournement de mineure… et Viol :

Et sinon, c’est tout frais :

II. « Défense de Dominique Strauss Kahn » (Le Point, le 17 mai 2011)

Source : le site de BHL 16/05/2011

Lundi matin.

Je ne sais pas ce qui s’est réellement passé, avant-hier, samedi, dans la chambre du désormais fameux hôtel Sofitel de New-York.

Je ne sais pas – personne ne sait puisque rien n’a filtré des déclarations de l’intéressé – si Dominique Strauss-Kahn s’y est rendu coupable des faits qui lui sont reprochés ou s’il était, à cette heure-là, en train de déjeuner avec sa fille.

Je ne sais pas – mais cela, en revanche, il serait bon que l’on puisse le savoir sans tarder – comment une femme de chambre aurait pu s’introduire seule, contrairement aux usages qui, dans la plupart des grands hôtels new-yorkais, prévoient des « brigades de ménage » composées de deux personnes, dans la chambre d’un des personnages les plus surveillés de la planète.

Et je veux pas non plus entrer dans les considérations de basse psychologie – comme on dit basse police – qui, prétendant pénétrer dans la tête de l’intéressé et observant, par exemple, que le numéro de la fameuse chambre (2806) correspondait à la date (28.06) de l’ouverture des primaires socialistes dont il est l’incontestable favori, concluent à un acte manqué, un lapsus suicidaire, patati, patata.

Ce que je sais c’est que rien au monde n’autorise à ce qu’un homme soit ainsi jeté aux chiens.

Ce que je sais c’est que rien, aucun soupçon, car je rappelle que l’on ne parle, à l’heure où j’écris ces lignes, que de soupçons, ne permet que le monde entier soit invité à se repaître, ce matin, du spectacle de sa silhouette menottée, brouillée par 30 heures de garde à vue, encore fière.

Ce que je sais c’est que rien, aucune loi au monde, ne devrait permettre qu’une autre femme, sa femme, admirable d’amour et de courage, soit, elle aussi, exposée aux salaceries d’une Opinion ivre de storytelling et d’on ne sait quelle obscure vengeance.

Et ce que je sais, encore, c’est que le Strauss-Kahn que je connais, le Strauss-Kahn dont je suis l’ami depuis vingt cinq ans et dont je resterai l’ami, ne ressemble pas au monstre, à la bête insatiable et maléfique, à l’homme des cavernes, que l’on nous décrit désormais un peu partout : séducteur, sûrement ; charmeur, ami des femmes et, d’abord, de la sienne, naturellement ; mais ce personnage brutal et violent, cet animal sauvage, ce primate, bien évidemment non, c’est absurde.

J’en veux, ce matin, au juge américain qui, en le livrant à la foule des chasseurs d’images qui attendaient devant le commissariat de Harlem, a fait semblant de penser qu’il était un justiciable comme un autre.

J’en veux à un système judiciaire que l’on appelle pudiquement « accusatoire » pour dire que n’importe quel quidam peut venir accuser n’importe quel autre de n’importe quel crime – ce sera à l’accusé de démontrer que l’accusation était mensongère, sans fondement.

J’en veux à cette presse tabloïd new-yorkaise, honte de la profession, qui, sans la moindre précaution, avant d’avoir procédé à la moindre vérification, a dépeint Dominique Strauss-Kahn comme un malade, un pervers, presque un serial killer, un gibier de psychiatrie.

J’en veux, en France, à tous ceux qui se sont jetés sur l’occasion pour régler leurs comptes ou faire avancer leurs petites affaires.

J’en veux aux commentateurs, politologues et autres seconds couteaux d’une classe politique exaltée par sa divine surprise qui, sans décence, ont, tout de suite, dès la première seconde, bavé leur de Profundis en commençant de parler de « redistribution des cartes », de « nouvelle donne » au sein de ceci et de cela, j’arrête, car cela donne la nausée.

J’en veux, car il faut quand même en nommer un, au député Bernard Debré fustigeant, lui, carrément, un homme « peu recommandable » qui « se vautre dans le sexe » et se conduit, depuis longtemps, comme en « misérable ».

J’en veux à tous ceux qui accueillent avec complaisance le témoignage de cette autre jeune femme, française celle-là, qui prétend avoir été victime d’une tentative de viol du même genre ; qui s’est tue pendant huit ans ; mais qui, sentant l’aubaine, ressort son vieux dossier et vient le vendre sur les plateaux télé.

Et puis je suis consterné, bien sûr, par la portée politique de l’événement.

La gauche qui, si Strauss-Kahn venait à s’éclipser, perdrait son champion.

La France dont il est, depuis tant d’années, l’un des serviteurs les plus dévoués et les plus compétents.

Et puis l’Europe, pour ne pas dire le monde, qui lui doit d’avoir, depuis quatre ans, à la tête du FMI, contribué à éviter le pire.

Il y avait, d’un côté, les ultra libéraux purs et durs ; les partisans de plans de rigueur sans modulations ni nuances – et vous aviez, de l’autre, ceux qui, Dominique Strauss-Kahn en tête, avaient commencé de mettre en œuvre des règles du jeu moins clémentes aux puissants, plus favorables aux nations prolétaires et, au sein de celles-ci, aux plus fragiles et aux plus démunis.

Son arrestation survient à quelques heures de la rencontre où il allait plaider, face à une chancelière allemande plus orthodoxe, la cause d’un pays, la Grèce, qu’il croyait pouvoir remettre en ordre sans, pour autant, le mettre à genoux. Sa défaite serait aussi celle de cette grande cause. Ce serait un désastre pour toute cette part de l’Europe et du monde que le FMI, sous sa houlette, et pour la première fois dans son histoire, n’entendait pas sacrifier aux intérêts supérieurs de la Finance. Et, là, pour le coup, ce serait un signe terrible.

Bernard-Henri Lévy

Source : le site de BHL 16/05/2011 (archive ici)

Bonus : Jean Quatremer sur son blog, 11/07/2007

Même le Monde n’a pas pu cacher l’affaire :

III. Weinstein-2012 : « Quand le faiseur de rois de Hollywood préempte le film de BHL »

Le Serment de Tobrouk, Bernard-Henri Lévy et Harvey Weinstein

Quand le faiseur de rois de Hollywood préempte le film de BHL

par Maria de França, La Règle du jeu (site proche de BHL), 18 mai 2012

La Weinstein Company, coprésidée par Harvey Weinstein, le nouveau « faiseur de rois » de Hollywood, l’homme qui a fait le succès, aux USA, de The Artist et de Intouchables, vient d’annoncer, cette nuit, qu’elle a fait l’acquisition, pour les territoires américains, du Serment de Tobrouk de Bernard-Henri Lévy.

L’annonce a été faite par le Co-Chairman Harvey Weinstein lui-même qui explique, dans son communiqué, qu’il soutient totalement (“fully supports”) ce film et voit son acquisition comme “un geste politique pouvant apporter de l’espoir dans d’autres pays dans le même état de péril, y compris la Syrie » (« a political action that could provide hope for other countries in a similar state of peril including Syria »).

Ce film “merveilleux”, poursuit Weinstein, “montre l’incroyable courage de BHL” ainsi que “la détermination de l’ancien président français Sarkozy”. Il souligne aussi, ajoute-t-il, “le leadership du Président Barack Obama et de la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton ».

Bernard-Henri Lévy, interrogé cette nuit par l’AFP sur le sens qu’il donnait à cette nouvelle a souligné qu’Harvey Weinstein fit partie des rares Américains qui, au moment du lynchage de Roman Polanski, furent du bon côté de la barricade et s’opposèrent avec force aux modernes Sorcières de Salem. A la question de savoir l’effet que lui faisait l’acquisition de son film par l’homme considéré outre-Atlantique, et sur le marché du cinéma en général, comme le meilleur “Oscar maker” du monde, il a répondu que ses pensées, pour le moment, allaient surtout aux « Syriens massacrés ». Il a conclu : “Puisse ce film, avec cette nouvelle carrière américaine, contribuer, même modestement, à ce que stoppe l’effusion de sang dans les villes syriennes”.

Un axe Weinstein-Lévy contre Bachar al-Assad? Mais oui. Un film, aussi, peut changer le monde.

par Maria de França, La Règle du jeu (site proche de BHL), 18 mai 2012.

IV. Affaire Weinstein: « Ce que je n’aime pas, c’est que l’on traite un homme de porc », explique BHL

Source : Brut

IV. « Amitié à Frédéric Haziza »

« Qui nous fera croire qu’Haziza est le Weinstein francais ? Et comment mettre un signe égal entre ce qui lui est reproché et ce dont on accuse Ramadan? Amitié à Frederic #Haziza. » [BHL]

Profil d’une oeuvre :

Annexe DSK : La Code de conduite du FMI (1998)

IMF Code of Conduct for Staff

July 31, 1998

Introduction
The code of conduct applies to all International Monetary Fund staff. The code outlines in one document the guidelines for staff conduct, which are prescribed in various Fund rules and regulations.

4. You may sometimes find that the proper conduct in a given situation is not self-evident. […] Ask yourself these questions :

Is it legal?

Does it feel right?

Will it reflect negatively or positively on me or the IMF ?

What would a reasonable person think about my action ?

Would I be embarrassed if others knew I took this action ?

Is there an alternative action that does not pose an ethical conflict ?

Commentaire recommandé

bluerider // 22.11.2017 à 17h47

J’aime beaucoup BHL, il est notre boussole INVERSEE à tous. Les signaux du pouvoir qu’il envoie nous font gagner du temps pour savoir de quel côté est le droit, la justice, la solidarité, la vérité, la morale, l’entraide, l’empathie, la psychologie, le talent, le génie même, l’art, la modestie, la raison, le réalisme et le réel.. je suis sûr que vous pouvez compléter. Il y a un hic tout de même : chaque fois qu’il l’ouvre, il prend la place d’un autre forcément plus intéressant, et ses milliards prennent beaucoup de place dans les médias qu’ils polluent…

67 réactions et commentaires

  • LA ROQUE // 22.11.2017 à 17h42

    Le problème avec cet homme est que malgré ses visions à sens unique et ses pressions sur les différents gouvernements pour guerroyer il a accès à tout les médias.C’est cela le problème !

      +73

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  • bluerider // 22.11.2017 à 17h47

    J’aime beaucoup BHL, il est notre boussole INVERSEE à tous. Les signaux du pouvoir qu’il envoie nous font gagner du temps pour savoir de quel côté est le droit, la justice, la solidarité, la vérité, la morale, l’entraide, l’empathie, la psychologie, le talent, le génie même, l’art, la modestie, la raison, le réalisme et le réel.. je suis sûr que vous pouvez compléter. Il y a un hic tout de même : chaque fois qu’il l’ouvre, il prend la place d’un autre forcément plus intéressant, et ses milliards prennent beaucoup de place dans les médias qu’ils polluent…

      +133

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  • hgoerg // 22.11.2017 à 18h02

    Qu’est-ce qui justifie son ascension et sa présence médiatique ? Il n’a jamais eu de succès non ?

      +47

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  • bob // 22.11.2017 à 18h15

    Beau travail de synthèse. Merci les crises.

      +27

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  • zelda // 22.11.2017 à 18h29

    Eh, oui, Olivier… encore une énorme bourde de BHL, comme lorsqu’il parlait du fort connu philosophe Jean-Baptiste Botul…, et son ami DSK… « un simple troussage de domestique » (dixit J.F. Khan)…
    Mais attention aux « décodeurs » qui décodent sur le quotidien du soir qui fut de référence, et n’est plus que révérence envers certains, Olivier… les accusations d’antisémitisme risquent bientôt de fuser…allons-y sur la pointe des pieds.
    Ceci dit, devant toutes les turpitudes et les tartufferies dudit BHL depuis des dizaines d’années, je me demande, comme ce guignol a t’il fait pour faire parler de lui aussi longtemps, et avoir autant d’influence sur notre classe politico-médiatique hexagonale ?

      +42

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    • Fritz // 22.11.2017 à 19h20

      En effet, l’ennui est moins BHL que son influence indue. Philippe Cohen l’avait souligné dans les dernières lignes de sa biographie parue chez Fayard : « la bêtise ou la servilité dont elle témoigne dans l’espace public, ce honteux gaspillage d’une si précieuse liberté, bien plus que BHL lui-même ».

        +13

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      • Raphaël // 22.11.2017 à 21h20

        Sauf que parler de lui est encore trop d’honneur. Il fait partie de ces personnages à la Zemmour qui faute de talent existent à travers la détestation qu’on leur porte. Notre haine est leur seule manière d’exister, oublions les et condamnons les lorsque la loi permet de les coincer.

          +9

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        • dystoblaise // 23.11.2017 à 11h39

          Vous affaiblissez le thème de cette page en allant chercher une de vos détestations qui ne correspond en rien au bouffon BHL en ce que la personne en question est honnie des médias.
          Votre cible est en désaccord sur presque tout avec le botulien et contrairement à lui fait preuve d’un vrai courage physique en critiquant l’islam.

            +7

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  • Lysbeth Levy // 22.11.2017 à 18h42

    Oui rien à redire de cet article, tout le monde est offusqué des frasques de BHL et l’abjection de ces incessante « défenses » de tel « abuseur » violeur, ou « harasseur sexuel », mais il y a encore pire c’est l’impunité totale quand il appelle au bombardement d’un pays ou l’assassinat d’un présumé « tyran qui tue son propre peuple » et des exactions qui suivent !
    Et personne pour lui faire remarquer que ça fait la énième guerre, massacre et dernièrement la découverte (pour les médias) de la mise en esclavage des migrants réfugiés en Libye par milliers. Car c’est lui plus qu’un autre qui a justifié l’agression par l’Otan de tant de pays au nom de l’humanitaire, or depuis combien de destructions, morts ou esclavages voir trafics d’organes on suivit ces campagnes de propagande sur son journal et les médias dominants ?

      +67

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  • nicolas // 22.11.2017 à 18h45

    Il a de drôles d’amis ce BHL …
    Qui sera le prochain ?
    J’ai déjà hâte.

      +12

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    • Haricophile // 22.11.2017 à 23h02

      Des amis ou des petits cochons payeurs ? Vu sa carrière, serait pas un barbouze de la com fourrés dans tous les coups tordus ce BHL ? Pour moi ce ne sont pas SES amis, mais ses employeurs, ou les amis de ses employeurs.

        +10

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  • Christian Gedeon // 22.11.2017 à 18h51

    Sacré BHL,toujours à l’aise dans le style papier attrape-mouches. Faut dire qu’en ce moment,il n’a pas grand chose à se mettre sous dent…il est planté sur la Lybie,la Syrie,l’Ukraine et j’en passe. alors il essaye,entre deux brushings, d’exister.

      +21

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    • tepavac // 22.11.2017 à 22h58

      sacré bhl

      -Je ne sais pas, mais j’ouvre le cloaque quand même! [Mdoéré]

      Cet ectoplasme, même en y pensant très fort, impossible de l’imaginer exister,
      il faudrait le labelliser, le « béhachélisme » ,
      la mèche au vent qui a réussi à mettre le botulisme sur le piédestal de la philosophie.

        +14

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  • stef1304 // 22.11.2017 à 19h03

    Cet insubmersible réseau d’intriguant commencerait-il enfin à épuiser son crédit ?
    En tout cas, cela fait plaisir de voir ces coquins passer au pilori médiatique…

    Ps –
    Zut alors, après l’étiquette conspirationiste, les crises ne vont-ils pas désormais être affublé de l’étiquette antisémite ?

      +12

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  • rolland // 22.11.2017 à 19h35

    Rien que le fait que BHL ait toujours accès à la télévision française est une injure pour celui qui se respecte encore un peu, car si l’on reprend ses dires dans nos « grands médias » depuis les années quatre vingt et même avant, le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a eut à peu près faux sur toute la ligne, et tout ça sans parler de ses déclarations sur le diable : la lumière, le sauveur de l’humanité…..On est très loin d’une personne un temps soit peu équilibrée et c’est assez troublant de l’observer orienter l’opinion publique grâce à nos médias.
    On dirait que pour ces gens, la/les vie(s) humaine(s) ne comptes plus ???

      +21

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  • nicolas // 22.11.2017 à 19h38

    Et c’est tant mieux je dirai …
    Ce sera salutaire pour la France.

      +10

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    • Fritz // 22.11.2017 à 19h44

      Non : il serait salutaire de ne plus penser la France en terme de « communautés », tout en ayant la liberté de parler des communautés sans tabous, sans insinuations, et sans malveillance.

        +14

      Alerter
      • Raphaël // 22.11.2017 à 21h23

        De toute façon on se comprends très bien. Le lobby-qui-n’existe-pas se croit au dessus des lois de la République et s’entre défend becs et ongles. Pour notre plus grand malheur.

          +32

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        • Raphaël // 22.11.2017 à 21h28

          Je vous dénonce sur le champs à la Kommandantur la plus proche pour avoir prononcé un mot paralysant !

            +3

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      • nicolas // 22.11.2017 à 23h23

        Les gens qui pensent en terme de communauté sont justement les gens qui disent à qui veut l’entendre qu’ils ne vivent pas eux même en communauté …
        C’est même la communauté qui se mélange le moins si vous me suivez bien …
        Ces même gens qui prônent l’immigration massive partout sauf … Dans leur pays  » de coeur  » qui borde les rives de la méditerranée et qui aurait l’armée  » la plus morale du monde  » …
        Souvent ces gens font la morale à tous les pays de la Terre et surtout en France d’ailleurs et il se trouve que le pays dont il se revendique souvent , applique une morale tout à fait inverse que celle qu’il prônent de part le monde et en France.
        Et ces gens n’y trouve rien à y redire et personne ne vient d’ailleurs leur mettre ce fait publiquement à la gu… dans une radio ou une télé.
        Je parle à demi mot bien sûr bien que ce soit malheureux dans le pays des droits de l’Homme de la soit disant liberté d’expression charliesque …
        Voilà ou nous sommes rendus aujorud’hui en France , à devoir ne plus avoir le droit de dire les choses comme elles sont.

          +28

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        • Bellot // 23.11.2017 à 06h19

          Vous dites tout et rien à la fois….
          Les gens, ce sont qui les gens, vous et moi? d’autres?
          Ici, on ne sait plus ce qu’est être « français » mais sitôt qu’on se retrouve à 10000 bornes de chez nous, voire tout simplement de l’autre côté du Rhin, ça devient d’une telle évidence: ce mode de pensée, d’être, de vivre est vraiment unique.
          La morale je la vois, l’entend partout, tout le monde est devenu juge, censeur de tout, de rien, consommateur de bêtise d’abord, d’un trop plein de quant à soi pour masquer un vide tragique la perte de sens, d’harmonie dans ce monde si merveilleux que nous avons individuellement renoncé à changer pris dans les affres de l’argent (juste la survie pour beaucoup), du pouvoir, du paraître.
          Il en est de BHL comme des affaires qui tombent en ce moment. Ce ne sont pas ces révélations qui m’étonnent personnellement mais bien davantage cette fausse indignation, cette surprise mensongère devant le résultat d’un monde qui met en avant le pouvoir, la richesse, la domination de l’un sur l’autre. Comment dès lors jouer les naïfs??? Car quiconque s’est trouvé un jour en situation de pouvoir ou de fortune sait qu’alors peuvent s’exprimer véritablement nos bas-fonds dès lors que nous n’avons pas, jamais, osé regardé au fond de notre cœur les plus belles fleurs mais aussi nos penchants les plus archaïques?
          Amitiés fraternelles

            +9

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  • Kiwixar // 22.11.2017 à 19h43

    Cet individu a une fonction précise pour l’oligarchie : en étant présenté comme « philosophe » et « penseur », il ridiculise la pensée, la réflexion, la philosophie. Par association, il détruit les potentiels penseurs opposants au Système. Il conforte les masses dans leur recherche de tittytainment, puisque « si c’est ça être penseur intelligent, autant être con ».

    Le mystère est : est-il acteur conscient, ou bien est-il invité sur les plateaux-télés parce qu « il a une bonne tête de vainqueur »?

      +24

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    • Raphaël // 22.11.2017 à 21h27

      Acteur véhément, organisateur de la décrépitude de la France et du monde entouré d’idiots utiles. A qui profite le crime ? ?

        +4

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    • RGT // 25.11.2017 à 20h41

      J’ai la certitude que l’on se trompe en le qualifiant de philosophe.

      Le terme « pipeausophe » serait à mon avis bien plus adapté pour qualifier ses pensées hautement désintéressées.

      Cette remarque n’engage que moi et le propriétaire des lieux ne devra en aucun cas être tenu responsable de mes propos.

        +2

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  • Fritz // 22.11.2017 à 19h43

    « Ce que je sais c’est que rien au monde n’autorise à ce qu’un homme soit ainsi jeté aux chiens. »

    Euh, j’ai mal suivi… Il parle de Kadhafi ?

      +61

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  • Alfred // 22.11.2017 à 20h42

    C’est bien peu de choses. Ces pauvres anges n’ont aucune autre taré qui serait passée sous silence c’est certain….
    (On a jamais vu l’impunité être mère d’une quelconque vertu et ces quelques messieurs sont dans bien des domaines intouchables – je parle de « surface financière et de réseau et non de « communauté »).

      +4

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  • Kiwixar // 22.11.2017 à 20h52

    Sa communauté, c’est l’oligarchie. L’argent n’a pas de religion, d’ethnicité, de couleur de peau. La communauté de BHL (les 1%) va très bien, de mieux en mieux.

      +24

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  • Louis Robert // 22.11.2017 à 21h11

    BHL? Mais de quoi parle-t-on?

    Influente créature de par le monde, dites-vous?\

    Faux. Il ne s’agit en l’occurrence que d’un étrange phénomène exclusivement français, une bizarrerie complètement inconnue hors de France. Si seulement, comme il se doit, les médias français n’en faisaient aucun cas, le monde n’en entendrait même pas parler, ses facéties n’intéressant à peu près personne, passant dès lors tout à fait inaperçues.

    Faites-en l’expérience: demandez sur les cinq continents ce qu’on entend par « BHL ». Bonne chance!

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    • Raphaël // 22.11.2017 à 21h50

      Sauf que derrière BHL il y a une puissance atomique (nous) qui lui est entièrement dévouée, ou qui en tout cas pense tout comme lui, allez savoir pourquoi. Donc oui, ce falot personnage change le cours de l’histoire en servant bien son maître américain. Mais ce n’est qu’un rouage servile, ne nous méprenons pas sur son rôle réel. Pour vous c’est le sud, mais lui saît très bien où est le nord sur la boussole de l’histoire.

        +9

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      • Louis Robert // 22.11.2017 à 22h19

        Je crois qu’un BHL est en fait un type de porte-voix bas de gamme, instrument qui n’a rien en commun avec la boussole. On n’a jamais vu un porte-voix qui pensait, encore moins qui changeait le cours de l’histoire, dont « la fin » est déjà annoncée du reste (Fukuyama).

        Dommage, j’espérais que vous me diriez comment et pourquoi une population voudrait ressembler à un tel instrument et irait même jusqu’à le tenter…

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    • tepavac // 22.11.2017 à 23h12

      « une bizarrerie complètement inconnue hors de France.  »

      Détrompez-vous, ils ont eût le même ectoplasme à la cour des Tsars, et qui parait-il, avait l’écoute de cette noblesse égarée.
      On en connait la finalité….

        +3

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      • Bogdan // 23.11.2017 à 18h18

        Raspoutine ? Une comparaison qui montre une méconnaissance profonde de L’Histoire d’il y a cent ans .
        Raspoutine déconseillait la guerre et annonçait,qu’en cas de conflit, la Russie s’écroulerait dans un bain de sang.
        ce qui se révéla exact.
        il fût assassiné .

          +5

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  • Pinouille // 22.11.2017 à 22h02

    On peut au moins reconnaître à BHL une forme de courage de prendre des positions à contre courant de l’opinion publique.
    Pour ce qui est de son tweet, il se contente de préciser qu’il ne faut pas mettre sur le même plan les actes de Weinstein/Ramadan et ceux de F Haziza.
    Cela me paraît censé.
    Suis-je le seul?

      +1

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    • Fritz // 22.11.2017 à 22h07

      Certes, et il faut réfléchir avant de donner des baffes, même à BHL.
      Mais QUI a fait le lien entre Haziza et Weinstein, entre Haziza et Ramadan ? C’est BHL lui-même. C’est lui qui met ces gens sur le même plan, c’est lui qui fabrique l’amalgame qu’il dénonce. Pour mieux flétrir la persécution des élites par le « populisme », je suppose.

        +12

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    • Louis Robert // 22.11.2017 à 22h34

      Ce plan commun est celui de l’abus sexuel.

      Vous me direz sans doute qu’il y a abus, Abus et ABUS…

      Je vous répondrai: qu’il fasse chaud, ou Chaud ou CHAUD, on s’entend pour affirmer qu’il ne fait pas du tout froid mais bien qu’il fait chaud. Ainsi donc, de même, lorsqu’il y a abus sexuel… etc. — CQFD.

      Le courage consiste à reconnaître quand il le faut qu’en effet, il fait chaud.

        +7

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    • gracques // 22.11.2017 à 22h35

      Il est ridicule de comparer le noir et le blanc….. mais qui le fait? Bhl

        +4

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    • Raphaël // 22.11.2017 à 22h49

      Oui vous êtes le seul. Quand BHL ne veut pas mettre sur le même plan les actes de ses amis, il le fait pour jeter un rideau de fumée devant le fait qu’on parle un peu trop de la même communauté qui se croit au dessus des lois (défense atavique). Deuxièmement, je subodore que ce retournement de situation n’est pas du gout des faiseurs d’opinions dont BHL pense faire partie et qui se frottaient les mains en pensant à toutes les belles divisions que cela aurait provoqué dans la société française.

      Bon, faut pas rêver, ça finira mal pour nous quand même.

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    • Trawash // 22.11.2017 à 23h03

      Il y a tant de choses à ne pas mettre sous le même plan.
      Il y quand même un point commun à ces histoires :
      Un individu qui pense qu il peut tout se permettre sur un autre individu et qui atteint à son intégrité sans son consentement.
      Cela violes t’il quelques articles de la DDH et de notre code pénal ou bien suis je un dangereux libertarien ? ( les deux propositions peuvent être vraies, notez bien )

        +4

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    • Fritz // 23.11.2017 à 00h37

      C’est BHL qui associe lui-même Weinstein, Haziza et Ramadan. On dirait qu’il fabrique ce qu’il dénonce ensuite : comme s’il voulait prendre la posture de l’intellectuel vigilant face à la « persécution » des élites par le « populisme ».

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      • Trawash // 23.11.2017 à 02h34

        Je suis totalement en accord vous. BHL fabrique ce qu il dénonce, c est une très jolie formule. Néanmoins, je suis vigilant et je ne tombe pas dans son piège grossier. Vous non plus d ailleurs.

          +7

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        • Trawash // 23.11.2017 à 02h53

          Plus clairement, que BHL dise n importe quoi en tous temps, tout lieu et circonstances ne m’autorise pas à en faire porter la faute sur toute une supposée ou réelle communauté.

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          • Fritz // 23.11.2017 à 10h22

            Entièrement d’accord avec vous.

              +1

            Alerter
  • yann35 // 22.11.2017 à 22h38

    BHL président du comité de surveillance d’Arte France depuis 1993… fortune estimée à 150 millions d’euros en 2004.
    un certain universitaire de talent spécialiste des religions a préféré consacrer la fortune héritée de son père à des oeuvres éducatives …
    une nette différence de classe.

      +15

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    • Alfred // 22.11.2017 à 22h59

      Une nette différence en effet.
      Vous êtes en train de parler d’Odon Vallet. Autant le nomer et que ceux qui ne le connaissaient pas n’aient pas seulement en tête le nom de l’égoïste oisif et communautariste que vous savez.. Qu’un peu de place soit faite à un homme généreux, discret et qui a produit autre chose que des bouses (lui).
      Odon Vallet donc. Et oubliez l’autre.

        +35

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      • yann35 // 23.11.2017 à 09h24

        Il me déplaisait de citer cet homme, le « comparer » à l’histrion BHL me gênait. D’autant plus qu’en tapant « universitaire spécialiste des religions » dans google, vous tombez sur sa fiche en 2nd choix … La vertu craint la lumière, il faut la chercher à l’ombre, non sous le feu des projecteurs.

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        • Alfred // 23.11.2017 à 13h11

          J »ai volontairement commis une sorte d’attentat que vous aurez peut être la bienveillance de pardonner
          La vraie vertu craint pas même la lumière. Odon Vallet n’a plus rien à prouver (et il n’a même pas un « standard de perfection » à tenir).
          Par contre la vertu (difficile et rare) reste un modèle à opposer au vice (facile et très répandu). Les bébés philosophes à chemises ouvertes naissent comme des champignons alors même que la toxicité de l’aîné ne lui vaut aucun retour de bâton (bien au contraire). Les hommes et femmes qui sont dans la même démarche que mr. Vallet restent peu connus et somme toute rares (petites fortunes souvent). Les grandes fortunes restent souvent dans des démarches de pouvoir dans leurs « dons » et leurs fondations servent encore à orienter le monde. Il n’y a pas que devant tarte à la crème que Odon Vallet l’emporte à mes yeux mais aussi devant les François Pinault ou les Bill Gates (de très loin).
          Vous connaissez l’adage selon lequel la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. Odon Vallet est allé au delà de cela il me semble, dans l’intérêt d’étudiants méritants mais aussi finalement dans l’intérêt général.
          Quelle serait cette nouvelle perversion qui voudrait que dans le monde d’Hanouna les vrais « grands » doivent rester dans l’ombre pour rester immaculés. Ne pas être contaminés par la m… du show? Restons simples. Louons ce qui est bien.

            +10

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  • Bruno // 22.11.2017 à 22h58

    Ça s’appelle une boussole qui indique le sud.

      +1

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  • TuYolPol // 23.11.2017 à 00h14

    Vous fatiguez pas, ce guignol est aussi inoxydable que les raisons qui l’ont mis là où il est.
    Il sert son suzerain. Il ne fait pas souffler grand vent, disons que c’est juste un moulin, usé, bruyant, fatigué, pétaradant. Dès qu’il ouvre l’écoutille, il faut passer la serpillère. Sa farine frelatée est refourguée avec peine. Et pourtant il est là avec ses lingots et ses obligés.
    Bon, passons à autre chose

      +5

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  • jonn // 23.11.2017 à 03h26

    BHL n’a pas eu a défendre Pierre Bergé, autre ami délinquant, parce que les frasques sexuelles du milliardaire n’ont pas franchi la barrière médiatique française.
    NO NEWS :
    http://www.dailymotion.com/video/x66wjtb
    Fabrice Thomas, ancien employé et amant du couple Pierre Bergé-Yves Saint Laurent et auteur de  » Saint Laurent et moi : une histoire intime ». Son témoignage est édifiant. Pierre Bergé « très malade sexuellement », adepte d’un sadisme sans limite (allant jusqu’à faire bouffer ses excréments à YSL), abusant de ses employés, de garçons marocains,…

      +17

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    • Fritz // 23.11.2017 à 20h10

      Bergé ? Alors celui-là, je le mets très, très en-dessous de BHL.
      Son impunité m’a toujours sidéré.
      L’icône d’une certaine gauche…

        +4

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  • Vladimir K // 23.11.2017 à 04h26

    BHL n’aime pas que l’on traite des hommes de porcs, vraiment…

    https://youtu.be/mu9zucdE270?t=2m33s

      +4

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  • Alain // 23.11.2017 à 05h44

    Je n’aime pas non plus qu’on traite un homme de porc: c’est insulter ces braves bêtes qui n’ont rien de vicieux

      +14

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  • joebardoc // 23.11.2017 à 06h13

    Les nouveaux philosophes, ça ose tout…C’est même à ça qu’on les reconnait. Que voila un commentaire politiquement correct…?

      +7

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  • Lt Anderson // 23.11.2017 à 11h18

    Je bénis ce jour où BHL ne sera plus un sujet alors qu’il aura rejoint le panthéon des célébrités historiques oubliées au côté de Dühring… Quoi, vous ne connaissez pas Karl Eugen Dühring?

    CQFD

      +1

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  • Czerny // 23.11.2017 à 12h53

    Que la parole de ce criminel puisse avoir une telle résonance en France ne montre que l’état de décrépitude de celle -ci .

      +9

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  • Cyd // 23.11.2017 à 14h04

    Je ne peux qu’admirer la fidélité en amitié de BHL et son courage de s’opposer au lynchage
    C’est rare

    Il aurait pu juste se terrer voire pire lâcher « l’ami » et se racheter une conduite en participant au lynchage

    Par ailleurs, bien que férocement BHL-critique, je ne vois ici que peu de choses contestables dans ces plaidoiries

    BHL en tant qu’humain et personne privée, n’a manifestement pas que des défauts.

    Enfin sur la séquence « harcèlement », et bien que les phénomènes de lynchage m’écœurent, je ne peux que m’amuser de tous ces tartuffes (Weinstein, Ramadan, Haziza, MJS-UNEF), donneurs de leçons aux manants et aux réacs, qui tombent par là où ils accusaient.

    J’y inclus toute la clique rebellitudeophile qui savait mais qui couvrait.

    Qui couvrait parce que c’est tellement dur de s’apercevoir qu’ils ne sont finalement pas mieux que les autres (les beaufs), alors qu’on s’était persuadé d’être le Camp du Bien

    Que celui qui a des oreilles pour entendre entende

      +0

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    • Sirius de Véga // 23.11.2017 à 22h30

      « Je ne peux qu’admirer la fidélité en amitié de BHL et son courage de s’opposer au lynchage
      C’est rare  »

      Pouvez-vous préciser ce que vous nommez « fidélité en amitié » ?

      Lors de l’affaire Weinstein, BHL déclara (France-Inter avec Léa Salomé) qu’il ne l’avait rencontrer qu’une fois et qu’il ne le connaissait pas qu’à peine (https://youtu.be/_0jF2t1Hkeg à 8:31).

        +2

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  • sissa // 23.11.2017 à 15h59

    Ne vous fatiguez pas, BHL peut tout se permettre. Alors que, venant de tout autre, ces défenses de personnes fortement soupçonnées d’être des prédateurs sexuels auraient conduit leur auteur à une opprobre généralisé et une dénonciation en règle de la part des associations féministes, on peut être sûr et certain que notre « philosophe » s’en sortira sans encombre.
    Et la raison pour laquelle il surnagera quoiqu’il arrive se trouve justement dans ses prises de position en faveurde ses amis: il applique sans doute une bonne vieille méthode: se montrer d’une reconnaissance sans faille avec ceux qui vous servent ou vous aident.

      +1

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    • Alfred // 23.11.2017 à 16h36

      C’est peut être effectivement une façon de marquer son territoire. Tant que rien ne lui revient dans les dents c’est que c’est le boss.
      J’avais été très frappé par la liste des spectateurs de son dernier « opus ». Bien entendu ce truc a été un four comme les autres mais le public était composé exclusivement du gratin du gotha, de gens avec en théorie beaucoup de pouvoir.
      Quand on a vraiment du pouvoir, a t on vraiment besoin de montrer patte blanche, de montrer trombine et de subir un long et pénible pensum? Il faut croire que pour tout ces gens si « importants » leur temps n’était pas assez précieux pour se faire porter pale. Que même des milliardaires, des ministres et le président de la république perdent leur temps de façon douloureuse devant une boursouflure de collégien égotique a été une révélation pour moi.
      Le pourquoi restant un mystère.

        +4

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  • Paul // 23.11.2017 à 17h33

    La cuisine du grand chef Riton
    ‘’ La béchamel au beurre manié ‘’ ( recette <Sykes Picot )
    Beaucoup de beurre de Palestine, c’est celui qui exsude le plus de bon ‘’babeurre ‘’ .
    À petit feu régulier dans un grand chaudron communautaire faire suer le beurre,ou les beurres,si ceux ci sont de différents fermages.
    Remuez très fortement le contenu à l’aide d’ustensiles appropriés ; cuillère de grenade,crosse de fusil ou de mitraillette ,vous obtiendrez ainsi du ‘’ beurre pommade ‘’ sans grumeaux auquel il sera facile d’incorporer du sable fin.
    De mains fermes, touillez énergiquement puis y ajouter petit à petit de la bonne eau du Jourdain.
    Maintenant faites bouillir à grand feu sans oublier ,avec l’outil choisi de bien racler le ‘’ fond ‘’du
    chaudron, ceci afin d’éviter que celui-ci attache, brûle et gâte l’apparence du produit final.A la consistance idéal,retirez du feu ,continuez toujours vigoureusement de touiller .
    Une fois à température ambiante ,versez le produit fini dans du coffrage en bois de chêne du Liban .
    Voilà ! Sous peu vous êtes prêt à emménagez dans la joie et la paix fraternelle d’ une nouvelle colonie .

      +3

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  • Michel Ickx // 23.11.2017 à 18h43

    Après tout, avec ses150 millons d’€ ce n’est quand même qu’un nanoSoros!

      +3

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  • pitipitipa // 23.11.2017 à 19h10

    Un cinéaste, un politique, un producteur et un journaliste, défendu par un intellectuel…

    Ah non il y a quelque chose d’autre je crois, mais personne ne le dit !

      +3

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  • stef1304 // 23.11.2017 à 21h14

    Personne n’a signalé le destin rebelle de sa soeur qui, elle, en quête de paix, pour échapper à toute cette médiocrité et cette fange médiatique et sociale, s’est convertie avec passion au Christianisme.

    Quoi qu’il en soit, il est clair que ce courtisan inspire… avec une constance étonnante les réactions de détestation et de mépris.

      +4

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  • Cyrano78 // 23.11.2017 à 21h41

    Bonjour tout le monde
    Le vieux monde bouge ! Vous n’avez pas remarqué que Libé a osé « critiquer » notre idole:
    http://www.liberation.fr/direct/element/lhallucinante-defense-de-frederic-haziza-par-bernard-henri-levy_73929/
    Libé appartenant à Drahi dont BHL fit l’homme de l’année dans son journal:

      +0

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  • Cyrano78 // 23.11.2017 à 21h51

    Juste un mot pour dire que l’affaire Ramadan est à la fois un pare-feux mais aussi dans la continuité des affaires. Nous sommes aussi en crise des valeurs d’où le succès mérité de « balance ton porc ». Succès mérités par les porcs bien entendus!

      +0

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