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12.octobre.201912.10.2019 // Les Crises

Interdit d’interdire : Le Brexit rend-il fous les Britanniques ?

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Source : Interdit d’interdire, Russia Today France, 30-09-2019

Source : Interdit d’interdire, Russia Today France, 30-09-2019

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Je me marre // 12.10.2019 à 10h38

Le peuple britannique a pris une décision démocratiquement. L’impérialisme ue met tout en œuvre pour que le gouvernement britannique revienne sur cette décision du peuple avec la complicité des représentants britanniques qui ont été mis en minorité. Comme après le référendum français de 2005. Et après on vient encore nous parler de démocratie? Et faire la leçon aux autres? Belles hypocrisies de ces tyrans! Le peuple a mal voté, vote nul et non avenu. Il ne reste plus qu’à dissoudre le peuple et jeter ses décisions aux orties…

31 réactions et commentaires

  • Chris // 12.10.2019 à 09h55

    Un grand rêveur ce Collin. J’allais dire « illuminé européen » !
    Ce que j’en sais de mes amis et alliés britanniques, ils en ont hyper marre de ce cirque : Corbyn/Labor) perdra les prochaines élections de concert avec les Conservateurs.

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    • Chris // 12.10.2019 à 10h00

      Le Brexit rend-il fous les Britanniques ?
      La classe politique accrochée à ses prérogatives, certainement. Mais encore plus la clique politique bruxelloise qui n’en finit pas de raconter des salades et de faire l’autruche tellement elle a peur.
      Mais une certitude : Brexit il y aura. Il en va de la carrière politique de Bojo qui ne veut pas rejoindre Major dans les limbes et a plus de jugeote.

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  • Fabrice // 12.10.2019 à 09h55

    D’un côté on tacle les anglais avec un accord qui signifie que rien n’est changé sauf qu’ils n’ont plus voix aux chapitre et de l’autre on fait des accords commerciaux style Ceta ou les multinationales étrangères ont plus de droit que les états allez comprendre la folie européenne.

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    • jack_sosey // 12.10.2019 à 15h17

      Quand on te dit que sans l’U.E. se serait la guerre qu’est-ce que tu comprends pas ?
      T’as le choix entre la liberté qui cause la guerre ou la paix totalitaire. Choisis !
      Comprendrons jamais qu’on fait ça pour votre bien, bande d’enfants incultes.

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      • pietka // 13.10.2019 à 11h49

        Tien y pas qu’en France ou on nous sort des bobar comme ca! aux Pays Bas on a Franzje Timmermans qui nous sort les memes c’est probablement par hazard !?

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  • Je me marre // 12.10.2019 à 10h38

    Le peuple britannique a pris une décision démocratiquement. L’impérialisme ue met tout en œuvre pour que le gouvernement britannique revienne sur cette décision du peuple avec la complicité des représentants britanniques qui ont été mis en minorité. Comme après le référendum français de 2005. Et après on vient encore nous parler de démocratie? Et faire la leçon aux autres? Belles hypocrisies de ces tyrans! Le peuple a mal voté, vote nul et non avenu. Il ne reste plus qu’à dissoudre le peuple et jeter ses décisions aux orties…

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    • Jérôme // 12.10.2019 à 11h24

      Pas seulement et c’est bien pourquoi la situation est si complexe.

      En 2005, les français et les néerlandais ont juste voté contre un nouveau traité, pas pour sortir de l’UE. On aurait pu en rester aux traités antérieurs alors en vigueur.

      En 2016, les britanniques ont voté pour sortir de l’UE. Sortir implique nécessairement une remise à plat complète du cadre des relations commerciales entre le RU et l’UE. Or c’est extrêmement compliqué de se mettre d’accord entre un pays et une union à 27 autres pays quand ledit pays veut juste remettre en cause certains aspects de leur union passée alors que les 27 autres ne sont pas tous d’accord avec ce que demandent les britanniques.

      Les britanniques eux-mêmes n’arrivent pas à se mettre majoritairement d’accord sur les conditions de leur sortie de l’UE qui seraient acceptables par les 27 autres membres.

      Certes la commission européenne et certains pays jouent le pourrissement pour punir le RU. Mais les torts sont partagés et les problèmes et impasses sont multiples. Il n’y a aucune raison objective pour qu’un seul pays impose ses conditions aux 27 autres.

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      • Fabrice // 12.10.2019 à 12h46

        Le fait que le référendum des français n’était pas un vote pour sortir de l’Europe ne veut pas dire que passer outre soit plus justifié.(pour information j’ai voté pour la constitution, mais cette négation m’a réveillé sur la démocratie européenne)

        Le fait que ce soit le parlement qui soit passé outre donne une quelconque légitimité à ce qui nous a été imposé, il donne une forme une légalité, certes, mais comme on le sait tant de choses étaient légales (l’esclavage, la ségrégation, …) et pourtant l’histoire les a condamné et mis à bas avec le temps car tout acte qui va contre l’intérêt d’une partie ou totalité des peuples finit par être abattu.

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        • Jérôme // 13.10.2019 à 07h08

          Je suis d’accord avec vous. Mais j’expliquais que la comparaison avec les référendums français et néerlandais n’est pas pertinente pour expliquer l’imbroglio du Brexit. Il y a des contradictions internes au Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, et entre les différentes parties de cette triple monarchie, et entre les catégories sociales de la population.

          Ce n’est pas Bruxelles qui veut faire éclater le RU. Les tensions sont là.

          Le rétablissement d’un Parlement écossais puis le référendum sur l’indépendance de l’Ecosse, ce n’est pas Bruxelles qui les ont suscités.

          Objectivement, il y a un mouvement de reconstruction d’une identité écossaise qui s’est affirmé plus nettement. Et les désaccords sur l’UE sont un moyen, un argument de plus, pour illustrer et réaffirmer cette divergence entre l’Ecosse et l’Angleterre.

          Objectivement il y a une situation très particulière en Ulster. La très courte majorité protestante veut rester dans les RU mais, étant complètement enclavée, ne veut pas être coupée de l’Eire/république d’Irlande.

          Il y a bien une réalité politique spécifique britannique qui est à bien des égards similaires à celle de l’Espagne (sans la séparation linguistique).

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      • Fritz // 12.10.2019 à 23h30

        Votre première phrase est un sophisme. Ce n’est pas « l’abolition de la frontière » qui a mis fin aux Troubles, ce sont les accords du vendredi saint, en 1998, qui ont mis fin à cette période meurtrière, et assoupli la frontière entre l’Ulster et la république d’Irlande.

        Vous me rappelez un autre sophisme : « c’est l’Union européenne qui a mis fin aux guerres en Europe », alors que c’est la paix consolidée par l’équilibre entre les deux blocs qui a permis l’émergence de la CEE, du Comecon, etc., en attendant la malfaisante Union européenne.

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        • Fritz // 13.10.2019 à 00h17

          Et qui vous dit que je suis pour l’indépendance du Donbass ? Je suis contre !
          En revanche, j’étais pour l’indépendance de l’Écosse lors du référendum de 2014. Et je n’ai pas changé d’avis, contrairement à l’UE ! Je préfère que chacun soit maître chez soi : les Français, les Anglais, les Gallois, les Écossais, les Catalans.
          Reste l’épineuse question de l’Ulster.

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  • ManuUK // 12.10.2019 à 11h30

    Le grand problème du brexit (oui avec une miniscule) est de trouver des leader crédibles. Le peuple a choisi le brexit, mais les seuls représentants pour l’instant au pouvoir a été Theresa May (qui était pour le remain) et le grand blond avec une chaussure noire qui racontait tout et son contraire, arrivé avec les mains dans les poches à Downing Street.

    Le vote Brexit est un vote contestaire de multiples groupes sociaux différents et insaisissables.

    Le RU n’a pas encore trouvé son héros historique qui permettra à son peuple de retrouver sa souveraineté.

    Peut être Jeremy Corbyn, même s’il a soutenu le remain dans sa partie, énorme erreur, mais imposé par son parti, il a voté contre l’entrée du RU dans la CEE, et il a voté contre toutes les lois anglaises pro-Europe.

    A l’instar d’un Kevin Livingstone, dit le Rouge, qui avait créé un Londres international, attractif, social, compétitif et souverain, Boris Johnson, quant à lui, courbera le RU au pieds de la finance, aux élites anglaises et étrangères et aux pieds des intérêts des États Unis.

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    • Kiwixar // 12.10.2019 à 14h21

      « Le vote Brexit est un vote contestaire »

      Vous répétez un des arguments de l’oligarchie contre le référendum : « vote contestataire = les peuples ne savent pas répondre à la question posée ».

      Les autres arguments des 1%-10% du haut pour refuser les résultats du vote quand il leur est défavorable (Trump, Brexit, référendum de 2005) :
      – le peuple n’a pas compris la question
      – le peuple a été mal informé
      – le peuple est alcoolique, raciste, xénophobe, antisémite, homophobe, antitransgenrien… en un mot : nazi
      – le peuple est contre le progrès
      – le peuple est obsolète

      Le point fondamental à enfoncer dans le crâne des 90% du bas : « ce n’est pas aux gens de pouvoir d’écrire les règles de pouvoir » (Chouard). Tant qu’ils écrivent les règles, on pédale dans la semoule.

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      • ManuUK // 12.10.2019 à 18h21

        N’importe quoi !!

        Ils ont dit qu’ils ne voulaient pas le pouvoir de l’Europe sur leur pays, donc ils contestent le pouvoir du Parlement Européen sur le Parlement britannique.

        Vous vous attardez sur un débat sémantique pour ne pas parler du fond. C’est exactement la technique des médias mainstream et des politiciens sans idées, ni convictions.

        Mais vous ne m’aurez pas avec vos techniques de manipulation grotesques.

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        • Pol ux // 13.10.2019 à 05h50

          Brexit signifie sortie de l’union européenne.
          Ce n’est pas un choix contestataire.
          D’autant que le RU n’est jamais rentré dans ce foutu machin et a toujours gardé sa monnaie pour rester souverain.

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          • Manuuk // 13.10.2019 à 07h00

            Je dois étoffer : vous êtes un Idiot utile

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        • Guillaume // 13.10.2019 à 10h09

          Vous interprétez le résultat du référendum.
          Si on s’en tient au fait, le peuple britannique souhaite sortir de l’Union européenne. Point
          Toute autre assertion n’est que votre interprétation

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          • ManuUK // 13.10.2019 à 12h38

            Je dois aussi étoffer : un deuxième idiot utile.

            Surtout n’analysez pas la situation et restez dans l’idiotie.

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            • Guillaume // 13.10.2019 à 14h21

              Je ne pense pas que les Britanniques soient stupides et n’aient pas compris la question.
              Ainsi je pense que c’est bien en connaissance de cause qu’ils ont voté la sortie, et pas seulement pour une histoire de contestation ou de mécontentement populaire. Ceux qui ont voté bêtement, ou avec leur tripes plutôt que leur cerveau, auraient plutôt eu tendance a suivre le remain vu tout le battage médiatique en faveur du remain.
              Je reconnais cependant que cette analyse n’est que mon analyse et peut être fausse.
              Apparemment le recul et l’humilité, c’est pas trop votre truc et vous préférez l’insulte et le permis au débat. C’est dommage.

              Ensuite que les députés ne veuillent pas appliquer le vote du peuple est une autre histoire, malheureusement habituelle.

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            • Manuuk // 14.10.2019 à 17h54

              Mais le pire dans tout cela, c’est que vous ne le faites pas exprès.

              Ils sortent de l’Europe pour retrouver leur souveraineté. Il y a quoi à analyser à part qu’ils considèrent que l’autorité de l’Europe est néfaste pour eux. Ils veulent etre autonome. Maintenant eat de savoir sils veulent être indépendant de l’Europe ou autonome d’elle. La différence est importante.

              Quand Sapir nous dit qu’un Brexit sans deal serait une catastrophe, ils ont raison de négocier très durement.

              Un vote est tout sauf rationnel et oui ils ont voté avec leurs tripes, car personne ne sait où ils vont et surtout comment…

              Et le meilleur symptôme, c’est que leur parlement titube.

              Mais qu’ils mettent du temps, ce n’est pas grave. Cela veut juste dire que les elites s’affrontent.

              Cela prendra le temps que cela doit prendre, mais ça se fera.

              Non je ne suis pas humble. Oui je suis un connard ! Et je m’en fous…

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  • gelmad // 12.10.2019 à 16h35

    Dire que le RU s’en sortira sans problème après le brexit c’est oublier que tant les écossais ( très massivement) que les « ulstériens » majoritairement ont voté contre le brexit !
    C’est aussi oublier qu’on avait menacé les écossais de ne plus faire partie de l’UE s’il votaient pour la sécession, avec le RU, il y a quelques années. C’est également oublier que l’évolution démographique en Ulster semble militer pour une majorité catholique à 10/20 ans! et donc Cameron, effectivement lui, a ouvert une boite de Pandore que personne ne sait comment refermer, et qui risque de conduire droit à un démantèlement du UK.
    Que l’UE se protège au maximum pour éviter que d’autres pays veuillent faire pareil et que le RU (UK) puisse avoir tous les avantages UE sans en voir les contraintes me paraît normal.
    Il ne s’agit pas de diluer la faute sur les autres (labour en particulier). C’est bien les tories qui ont initié ce marasme sans avoir de plan précis sur l’après!

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  • Fritz // 12.10.2019 à 16h45

    Ce qui est fou, c’est que les Anglais ne soient pas encore sortis de l’UE, trois ans et trois mois après leur vote.
    Ce qui est dément, c’est qu’ici même certains trouvent folle la décision souveraine des Anglais, et encouragent les eurocrates et des politiciens comme Hammond ou Corbyn à enterrer le Brexit.

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  • Michel Le Rouméliote // 12.10.2019 à 18h31

    Vivement que le Royaume-Uni sorte et qu’il démontre qu’il s’en portera mieux car il n’aura plus à obéir aux « recommandations » du conseil européen. http://data.consilium.europa.eu/doc/document/ST-10181-2019-INIT/fr/pdf
    Cela encouragera les « exit », à commencer par le frexit.

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  • Matt // 12.10.2019 à 19h29

    Quelle que soit l’issue ou la date de sortie du Royaume Uni, les eurobéats ont gagner leur pari : créer un précédent.

    C’est une stratégie éprouvée en Grèce : vous souhaitez une politique de relance ? On va vous massacrer ! Au tour du Royaume Uni : vous souhaitez sortir ? On va vous ré-ouvrir le conflit irlandais et promouvoir l’indépendance écossaise !

    A qui le tour ? Qui n’en veut de la politique de gauche ? Qui n’en veut de la sortie ? Qui a envie de se faire pourrir sa démocratie ?

    Evidemment, c’est une victoire à la Pyrrhus (https://fr.wikipedia.org/wiki/Victoire_%C3%A0_la_Pyrrhus). La détestation de l’UE croît partout, elle ressemble de plus en plus à l’UERSS. Un vieux truc qui se délabre et qui ne tient que par la coercition.

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    • Logique // 13.10.2019 à 00h03

      La Grande Bretagne n’est pas un pays, c’est une île.
      L' »Irlande du Sud », c’est la République d’Irlande. Aucune raison de conflit. D’autant moins en cas d’unification.
      L’indépendance de l’Écosse? Excellent!

      « Prêt à parier qu’ils seront encore là le 31 Octobre… »
      Le 31 octobre, oui, mais le 1er novembre?

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  • moshedayan // 12.10.2019 à 21h58

    A lire les réactions, visiblement la France aime l’UE et l’histoire du Frexit est un simple épouvantail.
    Bref; on en reparlera, si le Brexit a vraiment lieu… Et quand l’euro sera tellement une monnaie « semelle de plomb » que les financiers seront au bord « de la crise de nerfs »… un petit effort pour cela, on n’en est pas loin…
    Et si le Brexit n’a pas lieu, et bien l’UE aura prouvé qu’elle est une immense prison.
    Quant à ceux qui croient que l’on peut « jouer » avec l’unité de la Grande-Bretagne, là aussi je demande à voir… Une Ecosse indépendante ? Si j’étais Britannique, ce serait un cas de guerre avec l’Allemagne… Edouard Husson a raison de pointer Merkel… et pour moi il ne dit pas tout…

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    • Jérôme // 13.10.2019 à 07h22

      Merkel fait à peu près la même chose que Kohl en son temps.

      Les dirigeants allemands ne recherchent pas directement à provoquer le chaos dans les autres grands ou petits européens. Mais ils estiment ne pas avoir non plus la légitimité ni le pouvoir d’empêcher ces autres pays de prendre des décisions absurdes et nuisibles à leurs intérêts. Et si au surplus ces décisions nuisibles aux intérêts britanniques (Brexit) ou français (l’acharnement de Mitterrand et Delors à vouloir un euro sans union de transferts budgétaires) sont néanmoins favorables aux intérêts nationaux allemands, eh bien l’Allemagne finit par s’y résigner et par encaisser les avantages.

      La CEE devenue UE n’est pas un pays. C’est un ensemble de pays qui organisent non seulement certaines coopérations mais aussi les conditions de la concurrence économique entre eux. Et un concurrent n’a guère de raison d’empêcher un autre concurrent de se tirer une balle dans le pied.

      C’est ce que les milieux d’affaires allemands ont fini par dire à Kohl sur le projet d’union monétaire et qu’ils doivent dire aujourd’hui à Merkel.

      Il est grand temps d’expliquer à nos dirigeants et à notre peuple qui aimeraient tant vivre dans un monde bisounours que le monde est darwinien et le restera. Les allemands ont renoncé à la violence militaire mais pas à la violence/concurrence économique.

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      • moshedayan // 13.10.2019 à 09h55

        Les Allemands ont renoncé à rien du tout ! Ils ne sont ni pire ni meilleur que les autres peuples… C’est juste une question d’environnement et de circonstances. Si les choses empirent pour leur économie, ils reviendront à d’autres formes d’ambitions, y compris la violence militaire, c’est juste une question de temps, de circonstances… La lente ré-écriture de la IIe WW qu’ils opérent discrètement n’est absolument pas un hasard -pour certains Allemands et d’autres historiens allemands s’en effraient…!
        C’est comme cela que l’on examine l’affaire ukrainienne en Slovaquie orientale à 80 km de la frontière et avec des amis russes ou russo-ukrainiens même… (ps : une intégration réussie de l’Ukraine à l’UE aurait retardé la crise qui pointe en Allemagne)

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        • Jérôme // 13.10.2019 à 19h19

          Il n’y a pas de possibilité d’intégration réussie de l’Ukraine à l’UE ou à quelque autre ensemble que ce soit (Russie par exemple).

          L’Ukraine est un bazar invraisemblable. La population baisse, l’économie s’effondre. Il n’y a pas d’identité ukrainienne (il y a plusieurs identités en Ukraine, l’Ukraine est un État plus artificiel que ne l’était L’ex Yougoslavie), l’Ukraine étant une expression géographique. La partie la plus évoluée de l’Ukraine, ce sont les zones orientales peuplées de gens qui sont foncièrement des russes et qui vont désormais vivre sous le protectorat de facto de la Russie.

          L’Allemagne est un pays de vieux qui n’aspire qu’à accumuler des excédents pour faire trimer les autres et ainsi assurer le paiement de ses retraites.

          La population allemande va s’effondrer en une génération : on ne conquiert pas l’Europe avec 60 millions de vieillards.

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