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3.juillet.20193.7.2019 // Les Crises

Laherrère, Meilhan: Croissance, énergie, le point de non-retour ? Par Thinkerview

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Source : Thinkerview, Youtube, 19-06-2019

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Toutatis // 03.07.2019 à 15h26

En cas de pénurie de pétrole et de crise énergétique aigue, il ne me semble pas évident du tout que les « zones les plus riches » (en particulier les grandes métropoles) continuent de l’être. Elles dépendent en effet d’un système d’approvisionnement massif qui sera en pleine déliquescence. En particulier en ce qui concerne la nourriture, les productions locales prendront de plus en plus d’importance, et peu restera pour nourrir le client lointain. On reviendra à ce qui s’est passé pendant l’occupation, où les rapports entre la ville et la campagne se sont inversés avec le développement du marché noir.

26 réactions et commentaires

  • Sandrine // 03.07.2019 à 14h33

    Si j’ai bien compris : le battage médiatique sur le climat est une entourloupe destinée à faire avaler à la population le problème économique représenté par le pic pétrolier. L’énergie va devenir plus chère et nous devons en conséquence changer de modèle économique. C’est dans les pays riches que cette bifurcation risque de faire le plus mal :1) parce que l’état n’investira pas pour aider les plus pauvres à s’adapter (exemple : bornes de recharge électrique qui coûtent trop cher à installer sur tout le territoire) – 2) parce que des populations pauvres vont continuer à vouloir venir s’installer dans les zones les plus riches et qu’a priori rien n’est prévu pour encadrer ce flux (conséquence: augmentation paradoxale du taux de misère au sein des zones à forte concentration de richesses)

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    • Toutatis // 03.07.2019 à 15h26

      En cas de pénurie de pétrole et de crise énergétique aigue, il ne me semble pas évident du tout que les « zones les plus riches » (en particulier les grandes métropoles) continuent de l’être. Elles dépendent en effet d’un système d’approvisionnement massif qui sera en pleine déliquescence. En particulier en ce qui concerne la nourriture, les productions locales prendront de plus en plus d’importance, et peu restera pour nourrir le client lointain. On reviendra à ce qui s’est passé pendant l’occupation, où les rapports entre la ville et la campagne se sont inversés avec le développement du marché noir.

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      • Sandrine // 03.07.2019 à 16h03

        Avec cette différence que sous l’occupation, il y avait un blocus et non pas un régime de libre échange comme dans l’UE actuellement…
        Il n’y a qu’a voir le destin de l’agriculture vivrière en Afrique actuellement (anéantie par l’agriculture d’exportation) pour envisager ce qui pourrait se passer … et ça sera encore pire quand on devra produire du combustible à partir de productions végétales.
        On cherche actuellement à justifier la nécessité de baisser la consommation de viande car la production de viande produirait trop de CO2… m’est avis que ce qu’on cherche surtout par là, c’est à libérer des surfaces agricoles pour la production de ce type de carburant…

        La seule chose qui pourrait nous sauver en France contre ce genre de modèle économique, c’est notre culture de la bonne bouffe (que tous n’ont pas en Europe malheureusement , notamment les Allemands).

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        • Subotai // 03.07.2019 à 19h09

          Parce que vous pensez que le Libre Échange survivrait.
          Dans la situation décrite, il ne s’agit de faire pareil avec d’autres moyens, il s’agira simplement de s’essayer de faire avec ce qu’il y aura.
          Les tentative/tentations de « décroissance »(sous toutes ses formes) n’ont pas d’autres objectifs que d’essayer d’anticiper (à mon avis maladroitement) un mode de fonctionnement qui s’imposera de lui même.
          Ce que je reprocherai à la majorité des actions pour « gérer » le Grand Bordel Mondial, qu’elles soient institutionnelles ou privées, c’est qu’elles essaient de surfer la vague d’avant ou la vague d’après et pas celle sur laquelle on est…
          Prendre d’abord les décisions de MAINTENANT…
          Je sais, c’est pas simple…
          Procrastination…

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          • Sandrine // 03.07.2019 à 19h34

            On sera bien obligé de garder un peu de libre échange car je vois mal comment vivre en autarcie sur un territoire comme la France à moins de retrouver un niveau de consommation pré-industriel.
            Cuba vit plus ou moins en autarcie, mais sa population manque de beaucoup de produits que nous nous considèrerons comme de première nécessité… Et surtout c’est un pays organisé sur un mode sinon communiste, au moins communautaire, ce qui n’est pas le cas en France. La pénurie dans un pays capitaliste libéral comme le nôtre risque de se gérer par un accroissement des inégalités. Et les plus riches se trouvent chez nous dans les centres-villes, là où se dégage la plus value financière et industrielle.

            Je suis depuis longtemps interpellée par les images qui sont proposées en fond d’écran aux employés de certaines grandes entreprises (ou au recto des cartes de visite de leurs managers ): une ville avec des gratte-ciels gigantesques ultra-dense concentrée au bord de la mer avec en arrière-plan, tout contre, une montagne recouverte d’une forêt vierge sans aucune construction…
            Pas la moindre campagne peuplée de bourgs souriants en vue…

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            • Patrick // 04.07.2019 à 12h53

              Les riches des centres-villes risquent d’avoir la visite des « beaucoup moins » riches des banlieues qui viendront faire leurs courses là où ils savent trouver de quoi survivre.
              La situation va devenir explosive.

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      • Patrick // 04.07.2019 à 12h46

        je suis bien de votre avis.
        Une agglomération comme la région parisienne ( 12 millions d’habitants ) est totalement dépendante de tout ce qui vient de l’extérieur , aussi bien l’énergie que la nourriture. L’alimentation en eau potable dépend également de l’énergie à disposition , ainsi que le traitement des eaux usées ( il faut pomper .. et pas manuellement ).
        En 1940-45 , la population rurale était encore importante et les citadins avaient souvent des cousins à la campagne , ce n’est plus le cas actuellement , et un agriculteur qui fait de la monoculture avec des engins largement motorisés ne pourra pas devenir maraîcher ( sans pétrole en plus ) du jour au lendemain.

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    • Loki // 05.07.2019 à 08h42

      Il y a aujourd’hui 4 grandes crises qui vont arriver, et éviter l’une nous pousse vers une autre.Celles-ci sont :
      – la crise énergétique : nous dépendons massivement du pétrole dont les dernières grosses réserves ont été découvertes. Il est possible de transitionner vers plus de charbon, ce qui nous plonge dans une crise biologique et une crise climatique, soit vers de l’électrique, ce qui nous plonge dans la crise minière.
      – la crise minière : nous exploitons des filons de moins en moins riches, ce qui implique une consommation accrue d’énergie (ce qui nous pousse dans la crise énergétique), et il existe un certain nombre de métaux (lithium…) dont les réserves ne matchent pas avec nos ambitions.
      – la crise écologique : les activités humaines ratissent largement dans nos écosystèmes. Tant que les espèces de base survivent, ok. Si l’une tombe, nous tombons.
      – la crise climatique : le climat est un système généralement stable, mais il possède au moins un point faible : les gaz à effets de serre. Il en faut un minimum, mais aujourd’hui nous en produisons massivement. C’est suffisant pour altérer un peu le climat, mais c’est surtout largement assez pour faire fondre le permafrost, qui contient d’énormes quantités de méthane, ce qui va réchauffer violemment la planète. Le problème n’est pas qu’elle se réchauffe, c’est qu’elle se réchauffe beaucoup trop vite. Les écosystèmes n’ont ni le temps de migrer de plusieurs centaines de kilomètres par décénie, ni le temps de changer leur génome par sélection naturel : c’est donc une extinction massive qui se profile.

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  • Sandrine // 03.07.2019 à 14h50

    Commentaire sur l’augmentation future des black-out : l’Ukraine connaît actuellement un black-out partiel sur l’électricité. Comme la production est trop faible, l’électricité est coupée parfois des jours entiers dans certaines zones (les régions de l’est sont particulièrement touchées). Je vous laisse imaginer ce que ça peut donner sur les produits conservés au frigo en plein été…Évidemment vous imaginez bien que tout ça est la faute des Russes…
    Et puis tiens, justement vous reprendrez bien une petite dose de série télévisée sur Tchernobyl…

    Plus proche de nous, la campagne françaises : Orange qui a beaucoup de mal en ce moment à alimenter correctement certaines zones reculées… à cause de la chaleur dit-on (en tout cas c’est l’info que beaucoup de gens ont par chez moi).
    Pour les artisans qui ont maintenant l’obligation de passer par internet pour établir leurs factures (le simple fichier Excel n’est plus suffisant), c’est la galère…

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    • jp // 03.07.2019 à 16h21

       » Je vous laisse imaginer ce que ça peut donner sur les produits conservés au frigo en plein été » ça fait 10 jours que mon frigo est en réparation, il fait entre 25 et 30°c chez moi et je n’ai perdu aucune nourriture, et je n’ai pas de cave. Parce que je fais comme les Russes : des conserves à froid.

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      • Sandrine // 04.07.2019 à 07h34

        Vous n’avez rien perdu parce que vous étiez prévenu, ce qui n’est pas le cas en Ukraine… et puis en plein été on ne mange pas en général uniquement des conserves…sinon bonjour les carences.
        Et quand vous habitez au dernier étage d’un immeuble vous ne conservez pas vos denrées à la cave non plus…

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        • Patrick // 04.07.2019 à 12h48

          en été , le jardin produit.
          Les conserves c’est pour l’hiver.

          Si vous habitez en ville , les conserves c’est tout le temps 🙂

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    • Patrick // 04.07.2019 à 13h33

      Blackout !
      Attention ce n’est pas seulement une question de frigo.
      L’arrêt de l’alimentation électrique met tout en panne , ça peut être plus ou moins contraignant , surtout si ça dure au-delà de quelques heures , on ne parle même pas de quelques jours.
      – frigo .. ça a un peu d’autonomie , on peut manger pendant 2 ou 3 jours.
      – ascenseurs , portails électriques … gênant mais on peut survivre.
      – appels aux services de secours , organisation des secours ?? y’a plus
      – pompes à essence ? la dernière fois que vous avez vu une pompe à main , c’était quand ? en 3 jours plus de carburant , et plus d’approvisionnement , les raffineries sont en rade
      – alimentation en eau potable ? y’a plus de pompes !! idem pour les eaux usées
      – approvisionnement des grandes villes en nourriture ? plus de réseaux de communication , plus pompes à essence pour les camions , plus d’entrepôts frigo …. usines agro en panne

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      • vert-de-taire // 05.07.2019 à 14h22

        je me permets d’ajouter un détail à cette liste :
        les centrales nucléaires (et il y en a partout en France)
        http://www.cartesfrance.fr/geographie/cartes-energies/carte-centrales-nucleaires-2013.html
        nécessitent de l’énergie électrique pour ne pas diverger : en générateurs de radiations et de nucléides mortels dans l’atmosphère.
        Sans lignes électriques opérationnelles pas de production,
        sans production pas de courant,
        sans courant pas de refroidissement,
        DONC on a recourt à des gros moteurs diesel …
        … alimenté en diesel.

        sans diesel ….

        … la France devient inhabitable.

        On vit une époque formidable.

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  • serge // 03.07.2019 à 15h47

    Ben, à 3 fois (pour l’instant) l’économie virtuelle vs l’économie réelle, tous les indicateurs d’Etat(s) de « croissance », de « richesse », de « bonheur » sont quand même franchement aux fraises. Et comme on entre en pénurie d’à peu près tout (de l’énergie, de l’eau, de l’alimentation, des matières premières non énergétiques…) malgré des prix au 36ème dessous (toujours étonnant de le constater) on est vraiment en point de non retour.
    Reste que, vu l’éteignoir sous lequel tout cela est mis de manière quasi mondiale, au lieu de tenter une réduction lente et réfléchie de ce train, tous les gouvernements enfournent encore quelques pelletées de charbon dans la chaudière. Jusqu’au moment où devant la dernière part de gâteau et les 12 convives armés de fourchette autour, on éteint la lumière…

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  • moshedayan // 03.07.2019 à 20h53

    Sur Tchernobyl : Laherrère raconte n’importe quoi : les militaires russes n’ont rien à voir avec l’accident. L’AIEA a validé l’enquête : il s’agissait bien d’un essai , décidé par un ingénieur, essai stupide de sécurité consistant à créer un système complètement autonome de refroidissement contrôlé du réacteur sur sa propre énergie actionnant les pompes (certaines pompes), en débranchant les pompes de refroidissement de secours fonctionnant sur des groupes électrogènes et en baissant la réaction nucléaire du coeur pour éviter une surchauffe. Or le réacteur de type russe Tchernobyl est plus instable à bas régime qu’à moyen ou haut régime – d’après un excellent documentaire « Atomnie liudi » diffusé il y a 10 ans à la télé russe et slovaque « Les gens de l’Atome ».

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    • vert-de-taire // 05.07.2019 à 13h51

      OUI et le chef titulaire de la centrale était justement de repos. Rien que ce fait est ahurissant : lancer des tests très poussés SANS le chef de centrale !
      On sait par ailleurs que les ingénieurs sur place étaient plus que rétifs à certaines prises de décision du chef « testeur », pas compétent.

      A se demander donc si cet accident n’a pas été provoqué.
      Sans toutefois qu’on puisse envisager le souhait de provoquer une catastrophe mondiale …
      cela-dit ici comme ailleurs les incompétents pullulent.

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  • catherine // 03.07.2019 à 23h40

    Les conclusions de ces messieurs sont assez proches de celles de Pablo Servigne.
    Concernant Cuba, je me suis faîte la même réflexion que Meihlan, m’y étant rendue il y a peu, ce pays ne souffrira pas là ou nous allons agoniser.
    Il y a une politique volontariste de ne pas dépendre des énergies fossiles. Pour acheter n’importe quelle voiture (avec l’argent de membres de la famille à l’étranger) il en coûtera 100 000 euros (sic). J’ai été frappée par la part importante de la traction animale. Le cheval est partout ( et pas bien traité), les bœufs attelés sont encore utilisés pour la labour, avec des socs de charrues en bois.
    Oui, contraints ou forcés, nous reviendrons à une forme de moyen âge, mais d’une manière assez brutale, sans …transition.
    Saurons-nous rester gais, solidaires (du chirurgien au cantonnier, tout le monde gagne la même somme ridicule) et conviviaux comme la plupart des cubains ? A voir.

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    • Patrick // 04.07.2019 à 12h51

      Certains pays comme Cuba ont un avantage. Leur système politique ayant contraint la population à une pénurie chronique , tout le monde s’est adapté. Un peu comme les Russes au moment de l’effondrement de l’URSS . Plus rien dans les magasins ? ben c’est comme d’habitude !!
      En France , la population n’a pas cet entraînement, ça risque de faire mal.

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      • vert-de-taire // 05.07.2019 à 13h54

        A Cuba la pénurie est surtout due à une politique de boycott des États-Unis.
        Idem Venezuela : Si on avait les mêmes sanctions en France, les survivants mangeraient des racines …

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    • christian gedeon // 04.07.2019 à 16h38

      Et il faudra se vêtir de peaux de bêtes,et envisager un retour au cannibalisme aussi peut-être? le retour en arrière plus ou moins fantasmé,à grands renforts de films hollywoodiens sur « le jour d’après ».On peut dire que Cuba ou pas Cuba,le système hollywoodien perturbe gravement nos concitoyens. Je n’en reviens pas.

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      • Loki // 05.07.2019 à 08h46

        Les famines peuvent provoquer des phénomènes de cannibalisme, oui. C’etait le cas sur le front de l’est pendant la seconde guerre mondiale, une époque pas si lointaine.

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  • Christian Gedeon // 04.07.2019 à 13h00

    C’est fou…encore la « crise énergétique »elle a bon dos et les épaules larges. 45 ans qu’on nous rebat les oreilles et un baril au prix réel d’il y a…je vous le donne en mille,45 ans . Satanée Mirza,on la cherche partout ( désolé pour le référence qui date un peu?).

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  • Patrick // 04.07.2019 à 13h01

    L’interview fait l’impasse sur une autre crise qui arrive en même temps ( voire même plus tôt ) que la crise énergétique : la crise financière et économique.

    Cette crise peut mettre par terre tout le système économique à l’échelle de la planète et précipiter la crise énergétique : plus de sous , plus de pétrole même si le prix baisse.
    En cas de crise , le prix du pétrole va baisser ( moins de demande ) , donc le pétrole de schiste américain risque de mettre la clef sous la porte. Ce qui réduira l’offre mais avec une demande au raz des pâquerettes ça ne fera pas remonter le prix.

    Alors le climat en 2100 sera le cadet de nos soucis

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    • vert-de-taire // 05.07.2019 à 14h01

      On appelle cela une crise systémique :
      – énergie
      – finance
      – économie
      – ressources (eau, mines )
      – pollutions de tout
      – biodiversité
      – climat
      (avec interdépendances)

      et SACHANT tout cela, il ne se passe rien.
      Le capitalisme ne le VEUT pas (accords bidons) car il ne le PEUT pas :
      celui qui remue un cil se fait détruire,
      ça réduit les initiatives.

      C’est donc la catastrophe assurée
      en toute connaissance de cause.

      CQFD

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  • vert-de-taire // 05.07.2019 à 14h11

    Il m’agace ce Laherrère : il reproche aux écolos de ne pas rouspéter et il reproche aux écolos de rouspéter.
    Alors que les écolos ne sont pas au pouvoir donc ne sont rien.
    Sauf accord octroyé par le Système fou pour perdurer : exemple allemand décrit par Meilhan.

    Et Laherrère  ne propose qu’une chose : la fuite en avant pétrole PLUS nucléaire.
    Et il ose se dire écolo en isolant sa maison : BRAVO !
    Mais depuis 40 ans que cette manière logique et connue de tous de réduire une grosse quantité d’énergie perdue : RIEN ne se passe. On dirait qu’il oublie ce fait trivial le capitalisme PROFITE de cette folie de gaspillage énergétique et tous les autres .. et qu’il n’en tire aucune conséquence.

    Il veut le nucléaire :
    ça tombe très bien, on demande toujours des volontaires comme viande à neutrons à Fukushima
    La catastrophe est en cours pour quelques siècles … un faux problème évidement.

    Il est gentil avec les échecs : oui, il faut essayer et accepter de se tromper.
    Mais il y a un échec irréversible : la mort .. quand c’est celle des autres …

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